Surpris Par Ma Belle-Fille.

Hier matin, je travaillais un peu plus tard que d’habitude. Ma femme était déjà partie et je me suis surpris à repenser à la soirée du samedi précédent où nous étions allés au sauna Amphibie, un sauna mixte et à tendance bisex masculine. Je dois avouer que depuis que ma compagne m’a fait découvrir ce versant de moi-même, nous nous en régalons tous les deux. Elle adore le sexe, la pluralité masculine et rien ne l’excite plus que de me voir servir le plaisir de 2 ou 3 mâles virils actifs. Comme elle le dit elle-même : elle « m’emmène sucer des queues ». En général, après que je me sois copieusement fait enspermé la tronche, elle demande à nos partenaires de la prendre à son tour et jouit à de nombreuses reprises tandis que ses amants m’humilient avec sa complicité en me traitant de cocu, juste bon à me branler et à sucer des bites pendant que ma femme se fait baiser par d’autres.
Effectivement, ce jeu de cocu soumis nous excite énormément tous les deux.
L’autre matin donc, je commençais à me branler doucement en repensant à cette soirée. J’avais un peu de temps devant moi et je me suis dirigé vers le PC pour alimenter mon esprit brûlant en images pornographiques. Je regardais des extraits de films amateurs dans lesquels des femmes enculent leurs maris au gode ceinture. Ma robe de chambre était largement ouverte et je me masturbais sans retenue en commentant à haute voix ce que je voyais. Je bandais à fond et me maintenais sur la crête du plaisir depuis un bon moment lorsque j’ai plus ou moins senti une présence derrière moi. Je tournais la tête et je vis l’extraordinaire tableau de ma belle fille, les yeux rivés sur mon sexe tendu, le pantalon ouvert et une main dans la culotte à s’astiquer le bouton.
Elodie est une superbe jeune femme de 23 ans, grande mince, un cul parfait, des petits seins arrogants et, … une vraie cochonne, comme sa maman. Elle a quitté la maison depuis seulement 3 semaines pour s’installer chez son petit copain mais n’a pas encore déménagé toutes ses affaires.

Elle était donc venue en récupérer qui lui manquaient.
Dès que je l’ai vue, j’ai bien sûr immédiatement interrompu ma masturbation et refermé ma robe de chambre. Elle s’est aussitôt approchée m’empêchant de refermer mon vêtement et disant avec une certaine autorité : « Non, continue ! Tu m’excites trop. Depuis que je vous entends baiser comme des bêtes maman et toi, je n’en peux plus de me toucher. Et puis je sais que tu es un PD et que tu aimes te faire enculer, je vous ai vu plusieurs fois alors que vous pensiez être seuls à la maison. Je sortais en disant que je rentrerais tard, mais je revenais sans faire de bruit. Je t’ai vu à 4 pattes sur le lit et maman qui te baisait avec son gode ceinture pendant que tu couinais comme une salope cherchant à t’empaler encore plus profondément sur sa bite. Et même une autre fois tu étais sur le dos sur la table de la salle à manger. Maman te branlait en même temps qu’elle te baisait et je t’ai vu te jouir dessus. Je t’ai vu lécher ses doigts couverts de ton sperme. »
Elle m’avait tout sorti d’une traite, sans même reprendre son souffle, et moi qui avais commencé à débander sous l’effet de la honte à me faire surprendre la bite à la main, j’avais à nouveau la queue tendue. Aussi étonnant que cela puisse paraître pour une aussi jeune femme, elle ne semblait pas trouver nos pratiques extravagantes.
Elle reprit : « continue à te branler je vais te dire ce que j’attends de toi. » Je tentais de me défendre en bredouillant lamentablement un : « Mais ….. » Elle venait de me surprendre en train de me masturber devant des images parfaitement explicites et m’avait assommé par ses révélations. Je n’étais pas en position de négocier quoi que ce soit. Je baissais les yeux et recommençais à me branler doucement en attendant la suite.
«Ne t’inquiète pas, je ne te demanderai pas de coucher avec moi. Je veux juste que tu m’apprennes à me servir d’un gode ceinture. Eric adore que je lui mette un doigt dans le cul quand je le suce ou bien quand il me baise, je sais que comme toi il est un peu PD sur les bords, et moi, j’ai vu comme maman jouit quand elle t’encule, je voudrais bien essayer aussi.
»
J’en suis resté bouche bée. Elle voulait juste m’enculer un peu comme ça pour voir !
La balle était dans mon camp, je reprenais la main. J’étais à la fois excité, inquiet et flatté de cette marque de confiance. J’ai décidé d’accepter.
« Tu sais où ta mère range ses godes ? »
Elle m’a fait un immense sourire puis a détalé vers notre chambre. 3 secondes plus tard elle était devant moi avec les godes à bout de bras me demandant lequel chausser. Je lui expliquai les qualités et défauts des différents modèles et lui laissai choisir celui qui correspondait à l’expérience qu’elle voulait acquérir. Elle s’est déshabillée puis s’est harnachée avec un gode double qui lui permettait d’être prise aussi. Ensuite elle a été une élève parfaite. Elle savait ce qu’elle voulait et était prête à payer le prix de la leçon.
Je lui ai expliqué qu’un anus devait être réparé avant d’être pénétré. Je l’ai guidée pour qu’elle m’ouvre progressivement avec 1 doigt, 2 et puis 3 doigts., tout en lui expliquant que la sodomie était très souvent liée étroitement à des jeux de pouvoir et que le plaisir pouvait être au moins autant cérébrale que physique. Je lui ai dit que pour son petit copain, l’enjeu n’était pas le même de jouir avec le bout d’une phalange dans le cul pendant qu’il la baisait ou de se retrouver à genou devant elle, la croupe tendue à attendre d’être sailli en prenant des claques sur les fesses et à se faire traiter de PD. Elle a bien compris que prendre le pouvoir sur son mec et le sodomiser ne signifie pas nécessairement être violente ou brutale.
J’ai du insister un peu pour qu’elle comprenne que pour que la pénétration soit pour moi satisfaisante, elle devait aussi entretenir mon excitation et me branler en même temps qu’elle m’ouvrait le cul. Après un instant d’hésitation elle a saisi ma queue et l’a branlé doucement au rythme où elle m’enculait de ses doigts. Après un bon quart d’heure de ce traitement, je lui ai dit que j’étais prêt à me soumettre à ses assauts.
Je me suis positionné les mains posées sur le bureau, légèrement penché en avant, offert et à sa disposition pour sa première expérience au gode ceinture. Sur mon invitation elle a lubrifié son phallus et est venue le pointer sur mon anus. Je lui ai dit :
« A partir de maintenant, fais comme tu le sens, je te dirai si ça va pas »
Elle m’a pénétré avec détermination mais en prenant le temps d’apprécier chaque millimètre qui lui faisait prendre possession de moi. Ses mains ont saisi mes hanches puis par des va-et-vient de plus en plus profond elle m’a enculé jusqu’à ce que son ventre soit contre mes fesses. Là elle s’est arrêtée un instant pour apprécier la situation. « Ça y est, je t’encule petite salope ! Tu avais raison, maintenant tu es à ma merci, c’est moi qui décide de te baiser doucement ou vite, du bout de la bite ou jusqu’aux couilles. » Ses mouvements mimaient ses paroles, elle me baisait comme une reine. Quel pied ! Ma belle fille se servait de moi comme cobaye pour tester ses qualités de maîtresse dominante enculeuse, et sans aucun doute elle avait trouvé son créneau.
Elle a pris son temps, s’occupant essentiellement de son plaisir, elle m’a limé ainsi 20 bonnes minutes, commentant ses sensations et à deux reprises elle a glissé une main vers ma queue, qu’elle a trouvé tendue : « Tu aimes ça te faire enculer petit PD, je vais te la mettre ma grosse bite dans ton trou de femelle » là je me suis dit qu’elle avait effectivement du nous entendre sa mère et moi. J’ai bandé encore plus fort en l’imaginant derrière la cloison à se branler pendant que je me faisais enculer.
Elle a accéléré ses mouvements : « Je vais jouir dans ton cul salope ! je vais me vider les couilles au fond de toi ! » Elle s’est planté en moi aussi loin qu’elle le pouvait, tirant sur mes hanches de toutes ses forces et j’ai senti les spasmes violent de son plaisir pendant près d’une minute. Je n’ai pas résisté à son orgasme. De deux doigts je me suis touché le gland et à peine 10 secondes plus tard je déversais mon sperme sur le bureau en grognant.
Je l’ai senti s’écrouler sur moi, ses seins sur mon dos et son souffle sur ma nuque. Elle m’a serrée dans ses bras et m’a murmuré à l’oreille un « merci » qui m’a ému.
Elle s’est retirée doucement de moi et est allée se doucher. Je me suis rhabillé. Peu après, alors qu’elle allait partir, elle s’est approchée de moi :
« Tu sais, il n’y aura pas d’autre fois. »
« C’est certain. »
« Merci. »
« Eric a beaucoup de chance, j’espère qu’il sera à la hauteur. »

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