Chantal Et Mon Pote Complices (4)
La promenade pour René
Un soir, alors que je suis au salon devant la télé, le téléphone sonne. Cest Chantal qui répond. Elle a lair gênée ; elle parle à mi-voix, et va vite sisoler dans la chambre. Elle revient au bout de quelques minutes, écarlate, nerveuse, le visage crispé. Sans me regarder, elle passe en cuisine préparer le repas. Quand je linterroge quelques instants après, elle a retrouvé son calme. Elle me dit que cétait son frère. Je nen crois rien mais je passe. Quand elle me rejoint au lit, je fais une tentative de rapprochement, je la caresse pour faire lamour, mais elle me repousse prétextant la fatigue !
Je décide de ne rien entreprendre.
Le lendemain soir, elle mavoue que cest René qui la appelée hier. Je la sens nerveuse, mal dans sa peau. Elle nose pas me parler. Je la laisse venir mais je sens quelle hésite à mavouer quelque chose.
Après le dîner, au moment de prendre le café, je lui demande ce que voulait René. Dun seul coup, elle se met à parler, je sens quelle a pris une décision.
- « Il ma demandé de faire un truc impossible. Jai dabord refusé, il a insisté ».
- « Cest quoi ce truc impossible, lui dis-je en essayant de garder la maîtrise de ma voix »?
- « Il veut que jaille seule le rejoindre au Musée de lérotisme».
- « Quand ? Maintenant ? Et moi alors » ?
Je me sens me mettre à trembler. Jai peur, et en même temps un sentiment de jalousie me reprend. Comme toujours alors je sens que ma bite se dresse dans mon pantalon. La dernière fois, on est allés ensembles au restaurant et javais participé à lexhibe dans la rue, en auto puis à la baise avec le japonais. Je nétais pas exclu alors, et je pouvais jouir de la situation sans danger. Et quel rapport avec le Musée de lérotisme ? Son histoire avec linconnu ? Comment René est-il au courant ? Toutes ces questions sans réponses.
Comme elle ne réagit pas, cest moi qui reprends la conversation.
- « Alors, cest pour quand ? Je peux peut-être venir, ou te suivre, juste pour regarder », dis-je dune voix très mal assurée. Je me rends pourtant compte du ridicule de ma proposition, mais je ne peux rien faire. Je suis .
- « Tu ne penses quà toi, dit-elle en criant presque ! Je ne sors jamais indemne des séances de cul où je me laisse entraîner. Je ne peux résister à ce mec, je suis sans défense devant lui ».
- « Il est temps que tu me dises tout sur vos relations, Chantal. Jai bien vu que lautre soir au restau avec le japonais il y avait entre toi et René une complicité que je ne mexplique pas. Je crois que tu ne mas pas tout dit sur votre première rencontre ».
- Je nai pas envie den parler. Je taime et tu dois te contenter de ça ! ».
Plusieurs fois je reviens à la charge et enfin un soir, à peine couchés, elle finit par se confesser.
- « Après cette première fois René ma plusieurs fois relancée. Jai toujours refusé mais à chaque jétais plus troublée. Il me disait au téléphone des mots qui mexcitaient. Puis un jour, il ma dit que jallais enfin lui appartenir. Il ne ma pas donné plus de détails. Et la soirée du restau est arrivée. Quand je lai vu mettre ce cachet dans mon verre, je lai laissé faire. Je ne comprends pas pourquoi mais sur le moment, je savais que jétais prête. Pas trop à quoi mais prête. Depuis le restau, il me téléphone souvent et me tient des propos qui mexcitent toujours plus. Il me dit que cest avec ta complicité et que cela texcite. Jai bien vu ton comportement lautre soir. Tu as bien jouit de me vois baisée par ce porc. Et pour du fric en plus !
Depuis, pourtant, je ne lai pas revu. On a simplement échangé des conversations au téléphone quand tu nes pas là. Il faut que tu saches que quand il me parle au téléphone, sur le moment, je prends du plaisir à me laisser aller à la débauche. Mais au réveil, je ne peux mempêcher de me dégoûter. Il fait de moi une pute ! Une pute de luxe, mais une pute ! Et cest cette idée-là qui est mon fantasme, ce qui mexcite immédiatement.
En disant ces mots, je la sens qui éprouve presque du plaisir. Elle se contorsionne dans le lit. Je ne reconnais plus ma femme.
- « Il ne veut pas simplement que je vienne le rejoindre, figure-toi. Il ma demandé de ne porter que des bas et un imperméable », finit-elle par me dire, dune voix tremblante. Elle ajoute, comme libérée davoir avoué le plus difficile :
- « Limper ne devra pas être boutonné, simplement retenu fermé par sa ceinture. Pas de culotte ni de soutien gorge. Il veut que je parte de la maison dans cette tenue, nue et sans la possibilité de me cacher ».
A ces mots, je suis pris dune énorme érection, et Chantal sen aperçoit de suite. Elle se redresse et vient sagenouiller devant moi. Lentement, elle dégage ma queue qui jaillit toute tendue, et sans attendre la porte à ses lèvres. Elle la lèche avec quelques coups de langue et finit par lengloutir dans sa bouche. Elle se dégage soudain et elle me dit :
- « Cela texcite, de savoir que je vais mexhiber. Tu bandes à lidée que des salauds me touchent et me regardent. Demain, je vais sortir à poil sous un simple imperméable, et des gars pourront me voir, nue, soumise et sans défense ».
En disant cela, je la vois qui porte sa main entre ses cuisses et elle se caresse. Souvent je lui ai demandé de se caresser en la regardant et elle a toujours accepté de le faire pour me faire plaisir. Mais ce soir, cest delle-même quelle se branle. Pour son propre plaisir.
- « Oui, cest vrai, et je voudrais être là, quand tu vas leur montrer ton cul et tes seins. Jai envie de sentir lodeur de ta mouille, quand ils vont te branler, te doigter. Vas y ma belle, laisse toi toucher, peloter, reluquer, ouvre tes cuisses, ta chatte ».
Tout en parlant elle accélère sa branlette et me suce de plus en plus vite. Et dun seul coup, jéjacule toute ma semence dans sa bouche et je lui maintiens la tête contre mon ventre pour la forcer à tout avaler.
Je suis rassuré, car je sens quelle a pris du plaisir dans cette étreinte rapide, avec moi, dans nos fantasmes communs maintenant. Je crois bien quelle maime malgré lattirance quelle a pour ce mec. Et, il faut bien lavouer, cela marrange bien car enfin jai, grâce à lui, la femme que jai toujours désirée.
Au lit, avant de sendormir, elle me précise que René doit lui téléphoner demain matin, pour donner des précisions sur sa promenade cul nu dans les rues de la capitale, jusquau Musée. Elle mavoue que cela lui fait peur, mais quelle ne se sent plus la force de refuser, pour elle-même, son amant, et son mari
- « Ce type quand il me regarde, jai les jambes qui se mettent à trembler, elles ne me portent plus. Jamais auparavant je navais ressenti ce malaise. Je suis comme électrisée. Jamais tu ne mas fait cet effet. Ce nest pas de lamour, mais une dépendance, comme une drogue. Je lutte, jessaye de ne pas y penser mais cest plus fort que moi. Jai peur. Ce type est vicieux et il a très bien compris lemprise quil a sur moi. Il sait que je suis sa chose. Je dois ten parler ! Toi qui as toujours souhaité me faire entrer dans tes jeux sexuels ! Peut-être comprendras-tu et même être ravi ? Je la sens plus complice, rassurée de ma compréhension, ma coopération. On a maintenant les mêmes fantasmes.
- « Pourquoi il veut que viennes au Musée ? Quel rapport ?
- « Cest moi qui lui ai raconté que tu mavais amenée au Musée et que certaines images mavaient troublée. Et comme il connaît bien ce lieu ».
Elle ne me disait pas tout sur son passage dans cet endroit.
Dès le lendemain, elle mappelle au travail. Cest pour demain samedi. Elle me dira tout ce soir.
En regagnant la maison après une dure journée de travail je la trouve toute excitée et sans attendre elle me raconte.
René lui demande de venir la rejoindre en plein jour au Musée, simplement vêtue dun imperméable court (mi-cuisses), chaussures à talons et bas qui tiennent seuls.
Aller dans un magasin de sous vêtements. Montrer dans la cabine quelle est nue, en laissant innocemment le rideau de la cabine entrouvert. Repartir sans rien acheter.
Aller et entrer dans le sex-shop en face du Musée. Se montrer intéressée par des objets pour branleuse. Sil y a des hommes, et il y en aura, leur montrer quelle est à poil sous son vêtement. Se laisser toucher mais ne pas toucher. Les seins, les fesses, un doigt dans la chatte, cest tout ! Si la situation nest pas trop craintive, ouvrir limper et se montrer en les regardant se branler.
Il lui a donné une foule dinstructions précises à suivre. Je la sens excitée et en même temps nerveuse. Elle va franchir un autre pas dans la débauche. Encore plus bas.
Le lendemain, samedi, après le petit déjeuner, elle mannonce quelle va à en ville cet après midi. Cest aujourdhui que René lattend.
Après déjeuner elle passe dans sa chambre et je lentends qui se prépare.
Quand elle vient me rejoindre au salon, elle est superbe. Bien coiffée, légèrement maquillée, elle porte son petit imperméable simplement attaché par une ceinture. Elle obéit totalement à son amant.
- « Tu es bien nue en dessous ? » je lui demande, la gorge serrée. Pour toute réponse, elle dénoue la ceinture et me montre sa nudité. Elle sest coiffé le pubis. Les poils coupés courts mais pas complètement rasés sont bien arrangés formant un triangle parfait. Ils laissent apparaître les lèvres roses de son sexe. Je bande instantanément. Elle fait semblant de ne rien remarquer, et tournant les talons, elle me demande de laccompagner à la gare du RER en voiture.
Sur le chemin elle fait exprès de laisser souvrir limperméable pour me montrer combien il ne cache rien de sa nudité. Elle sait que cela mexcite, elle me fait plaisir.
- « Je taime tu sais, ne tinquiète pas je te raconterai tout avec les détails que tu attends » me souffle-t-elle.
En sortant de lauto, elle sarrange pour exhiber ses jambes nues quun type ne manque pas de mater. Elle séloigne alors que son train entre en gare. En rentrant à la maison, seul, la jalousie et lexcitation sont au maximum. Je ne puis résister à lenvie de me branler en imaginant ma femme nue sous un simple vêtement dans les rues de la ville pour rejoindre son amant.
Jai passé laprès midi et la soirée à attendre son retour. Jai du mal à me concentrer pour faire quoi que ce soit. Jattends, ne sachant quimaginer.
Vers deux heures du matin, le moteur dune auto me sort de mon demi sommeil. Une porte claque et jentends ses pas qui sapprochent. Elle ouvre la porte et vient tout de suite dans la chambre où je suis couché. Elle a les traits tirés et semble très fatiguée.
- « Si tu veux bien jaimerai dormir maintenant. Je suis si fatiguée. Je te raconterai tout demain. Je taime encore plus ».
En disant ces mots elle enlève son imperméable. Elle na plus ses bas et nue elle se couche et vient se blottir tout contre moi. La forte odeur de sperme qui se dégage delle me fait revenir à la réalité. Elle sest faite baiser et toute pleine encore de la semence de ses amants elle vient se coucher contre moi. Comme je bande, elle me prend délicatement la bite pour la caresser tendrement sans essayer de me faire jouir. Je lentends qui sendort presque immédiatement. Doucement, je glisse ma main entre ses cuisses et remonte jusquà son sexe et bien sûr, il est encore tout trempé de foutre et je sens le sperme qui sécoule encore de sa chatte. Les poils de son pubis sont collés par du sperme séché. Et jimagine quelle a dû se faire baiser il y a peu de temps et sûrement même dans la voiture qui la raccompagnait.
Le lendemain, dimanche, cest le bruit de la douche qui me réveille. Elle se lave. Je vais préparer le petit déjeuner.
Après un petit baiser tout chaste, on mange sans dire un mot. Je la sens mal à laise. Elle sait que je vais lui demander de raconter. Elle se sent mal.
Une fois fini de manger, elle se lève, vient me prendre par la main et me conduit dans la chambre. Elle me fait allonger et vient rejoindre sous les draps. Délicatement elle me prend la bite entre ses doigts et la caresse doucement.
- « Ecoute, dit-elle, je vais tout te raconter et cela va être long ! »
Et tout en me masturbant lentement elle a commencé son récit.
« Dans le train javais la peur au ventre. Javais le sentiment que tous les voyageurs savaient que jétais nue sous mon imperméable. Je le tenais fermement serré contre moi. Dans le métro également je faisais attention dans les couloirs et les escaliers. Mais plus je mapprochais du Musée plus jétais excitée et plus je laissais le vêtement me découvrir. A la première boutique de chaussure que jai trouvée je me suis précipitée, tout excitée.
Quand je suis entrée dans la boutique, tout de suite deux mecs se sont empressés de venir à ma rencontre. Dragueurs. Jai tout de suite montré que je nétais pas beaucoup habillée en dessous. Tu aurais vu leur tête !
Il y avait un grand black, très beau mec et un autre type, arabe plutôt rigolo. Je me suis sentie en sécurité car ils étaient très sympas.
Ils mentraînent au fond de la salle et me font asseoir sur une chaise dessayage avec un tabouret devant. Il ny a pas beaucoup de monde dans la boutique. Le grand black sabsente quelques instants et revient avec plein de boîtes de chaussure de sport. Cest vraiment une boutique de mecs ! Je massois, le black se pose sur le tabouret à mes pieds. Il me prend une cheville et me lève la jambe. Il la fait exprès pour confirmer ce quil avait déjà vu ! Je vois son regard fixer mon entrecuisse. Il doit tout voir. Un troisième vendeur sest approché, alerté sans doute par leurs copains. Cette situation mexcite et je sens que je mouille. Les deux autres sont bien en face de moi et visiblement ils matent mon ventre nu. Le pied chaussé, le black le dépose par terre, mais, le vicelard, il sarrange pour lécarter de lautre et mouvrir les jambes. Je me laisse faire et même je laisse mes genoux sécarter naturellement. Je sens alors mes lèvres qui souvrent doucement et lair frais me fait du bien. Quand il me prend lautre pied, je laisse souvrir limperméable qui dénude mon ventre. Je laisse lair caresser lintérieur de mes cuisses. Les trois vendeurs restent interdits. Le jeune arabe rigolo laisse éclater un rire nerveux. Ils ont tous les trois les yeux braqués sur ma chatte. Au fond de la boutique, un client vient dentrer. Une trentaine, il a dû comprendre ce quil se passait car sans attendre il se dirige vers nous. Je me cache de peur du scandale. Mais bien vite il se joint au groupe avec la ferme intention de ne rien perdre du spectacle. Je me rends compte que je prends plaisir à exciter les hommes. Je ne me reconnais plus.
Le grand noir toujours à mes pieds a compris mon envie de me montrer. Il glisse sa main le long de lintérieur de mes cuisses et sempare de ma chatte. Un frisson parcourt mon corps. Un instant, je ferme les yeux pour mabandonner. Je sens ses doigts écarter mes petites lèvres et me pénétrer. Je sens que je vais crier, je prends peur, mais lexcitation est trop forte. Je me laisse faire. Soudain un bruit me rappelle à la réalité. Rapidement je serre les cuisses en signe darrêt. Il retire sa main et je me lève rapidement, je fais quelques pas devant la glace pour regarder les chaussures de sport quil ma passées. Je regarde autour de moi. Rassurée, je me rassois en ouvrant bien mes jambes pour reprendre le spectacle. Je lève un pied, enlève lentement la chaussure en marrangeant de bien les laisser voir. Jenlève lautre. Les trois larrons restent devant moi bouche bée, comme hypnotisés par ma conduite. Je remets lentement mes chaussures et quand je me lève, je fais semblant dajuster mon imper, mais en réalité, je louvre rapidement pour leur montrer que je suis entièrement nue. Je les laisse quelques instants mater mes seins, mon sexe, mes cuisses, puis je me retourne en faisant un tour complet rapide sur moi même en levant larrière de limperméable pour leur montrer mon cul. Ils poussent tous les quatre un sifflement dadmiration. En souriant je me faufile vers la sortie. Ils nosent pas bouger et en quelques pas je me retrouve dans la rue.
Je traverse lavenue bourrée de monde en ce samedi après-midi. Il fait beau ; les hommes se retournent sur mon passage. Ils doivent sentir la femelle en chasse. Cette impression me rend comme folle. Je nai plus aucune retenue. Je suis devenue une obsédée sexuelle. A chaque fois quun homme pose ses yeux avides sur moi je pense à René. Car cest pour lui que je fais tout cela. Je me sens fière de lui obéir. Crois-moi, je taime toujours mais tu es exclu de ces jeux. Cest René qui occupe mes pensées quand je montre mes seins à un étranger et cest pour lui que je rentre dans cette boutique de sous-vêtements sexy. Je lui obéis tout simplement et jaimerai quil me voie ainsi soumise à ses caprices.
Dans la boutique où je viens dentrer, il y a quelques personnes. Des hommes accompagnés de leur épouse. Une vendeuse sapproche de moi et me propose de maider. Je lui demande de me montrer des gaines qui laissent voir la pointe des seins. En lui disant cela, je sens comme une onde de chaleur qui monte de mon ventre. Cela mexcite de parler librement de sexe avec une autre femme. Jamais je naurais pensé cela. La vendeuse est une femme jolie, la cinquantaine. Elle a une allure un peu vulgaire qui convient parfaitement à ces lieux. Mais cela a le don de me mettre à laise sans offusquer mes penchants bourgeois. Au contraire, mes jambes tremblent quand je la suis au fond de la boutique. Les hommes me regardent en coin et me suivent du regard.
Elle me présente deux corsets et minvite à venir les essayer dans une cabine. Celle-ci est au fond de la boutique. Elle tire un léger rideau rouge et pose les vêtements sur un banc. Elle me fait entrer mais reste sur le pas de la cabine en laissant le rideau ouvert. Nos regards se croisent. Elle soutient mon regard, alors elle tire le rideau à moitié car elle a compris. Elle me tourne le dos comme pour me cacher. Je vois bien doù je suis que lon me voit très bien de la salle surtout quune grande glace couvre (et ce nest pas par hasard) la paroi du fond de la cabine renvoyant lautre face de mon image. Lidéal pour sexhiber aux clients de la boutique.
Je nhésite que quelques secondes et rapidement je défais la ceinture de mon imper et me tournant vers la glace, je feins de ne pas savoir que jexpose mon dos et mes fesses nus dressée sur mes hauts talons, aux clients et clientes de la boutique. Mes jambes tremblent encore de plus belle et elles se dérobent presque sous moi. Je suis sur le point de jouir car jimagine soudain René qui me regarde lui obéir. Je continue de faire semblant de ne rien savoir de ce qui se passe dans mon dos mais jai deviné que la vendeuse sest déplacée laissant le loisir aux clients de me regarder. Je prends mon temps pour passer un corset noir. Il laisse mes fesses nues. Sur le devant mes seins sont soutenus par un balconnet qui les met en valeur. Je contemple le résultat dans le miroir, ce qui me permet de voir les yeux braqués sur moi. Je tourne sur moi même, me regarde sur toutes les faces. En réalité joffre mon corps gainé de noir aux yeux cupides de la salle. Je sens ma chatte tout humide de sécrétions. Je mouille à mexhiber. Jôte le premier vêtement et au moment où je me penche pour passer le second jentends la vendeuse qui derrière moi me demande si cela se passe bien. Elle a cette fois tiré le rideau pour louvrir complètement. Je fais comme si rien ne me choquait. Derrière elle je vois les spectateurs qui se sont rapprochés pour maintenant regarder sans se gêner. Même leurs compagnes assistent au spectacle.
La vendeuse entre dans la cabine et prétextant de maider elle ajuste le vêtement sur ma peau. En passant, innocemment elle me caresse les seins puis les fesses. Elle sait que je suis daccord, et quand elle me prend les seins dans ses deux mains pour cette fois les peloter, je ferme les yeux et me laisse faire. Elle les fait ballotter pour montrer quils sont fermes, elle joue avec les pointes. Je ferme les yeux, mabandonne. Cest la première fois quune femme me touche en public. Je sens mon ventre qui se comble de chaleur, lexcitation me gagne et je vais jouir. Soudain elle me retourne vers la salle pour mieux me montrer aux autres quand une main quitte la poitrine pour se glisser entre mes jambes et sempare de mon bouton quelle se met à branler doucement. Ses doigts écartent mes lèvres pour montrer le rose sang de ma vulve tout brillante de cyprine. Je ne contrôle plus ma respiration et soudain une décharge de plaisir me submerge et je mentends crier au milieu de cette boutique en public. La fille me tourne la tête vers elle et je sens sa langue qui force ma bouche. Sans hésiter je lui rends son baiser et nos langues se mêlent pour un long baiser. Une fois la jouissance passée, je lui souris, elle sécarte lentement pour me remercier et dire doucement quelle également avait jouit. Dans la salle, les hommes qui ont vu séloignent discrètement, visiblement comblés par ce quils ont vus.
Jenlève alors le bustier et remets mon imper, montrant que je repars nue comme je suis venue. En sortant de la boutique, la vendeuse dépose un petit baiser chaste sur mes lèvres et minvite à revenir quand je le désire.
Cette aventure homosexuelle ma troublée longuement. En marchant dans la rue je pensais que jamais je naurais pensé jouir sous les caresses dune autre femme.
Mais mes pas me rapprochent encore plus de mon amant. Je suis possédée, soumise. Il ne me reste quune épreuve avant de le rencontrer.
Le Musée est maintenant visible quand je passe devant un sexe shop. Cest une grande boutique fermée par un rideau qui empêche de voir à lintérieur. Jhésite car là jai peur. Les hommes qui fréquentent ces endroits sont tous plus ou moins des obsédés sexuels et je ne sais pas encore leffet que peut leur faire une femme seule dans un pareil endroit. Qui semble peu habillée qui plus est. Je passe devant sans marrêter. Après quelques pas, je fais demi tour et devant, je me dégonfle à nouveau. La peur est trop forte. Jai remarqué quun homme dun certain âge avait remarqué mon manège. Je passe, marrête, et sur le point de fuir une nouvelle fois, je me ravise et cette fois je me lance sous le regard de lhomme incrédule.
Je pousse le rideau rouge ; la salle est immense. Sur la droite un homme de type arabe est derrière un petit comptoir. Il lit un livre ouvert devant lui. Il me regarde et madresse un sourire courtois en me détaillant ; il me salue dun bonjour chaleureux et me laisse entrer. Sur la droite contre un mur des DVD vidéo sont alignes. Sur les jaquettes, des gros seins, des bites, des culs
des consoles sont placées éparses au milieu de la salle. Des revues pornos, des cassettes
encore des images. Sur la gauche un étalage dobjets sexuels divers sétend sur deux ou trois mètres. Certains sont en boite, dautres exposés. Des fouets, des cravaches, des godes de toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes les tailles, des sous-vêtements, des menottes, des liens. Il y en a pour tous les fantasmes.
Je repère tout de suite deux hommes en train de choisir des revues. Au fond de la salle, un panneau propose de visionner des films pornos pour cinq euros les dix minutes. Japerçois par une porte entrebâillée, un homme assis sans doute en train de visionner un film. Il se balance sur sa chaise à un rythme régulier. Je devine rapidement quil doit se branler.
Tout en faisant semblant de flâner, je passe devant les cassettes, les revues. Lhomme de la caisse ne me quitte pas des yeux. Jai les jambes qui tremblent et malgré les aventures que je viens de subir je me sens à nouveau en état dexcitation. Je ne suis pas sevrée, au contraire, cette atmosphère glauque de sexe, de perversion, de vice mexcite. Et je pense encore à René !
Soudain le rideau de la boutique souvre laissant entrer brutalement le soleil qui éclabousse les rayons de la boutique. Cest lhomme de la rue qui a repéré mes hésitations pour entrer. Il me fixe sans vergogne, mais reste à distance ; mon cur se met à battre à deux cents tant je suis excitée, je me sens rougir sans rien pourvoir empêcher. Mon trouble bien visible est remarqué par le propriétaire. Il me sourit et me demande si jai besoin daide. Sa voix a pour effet de faire tourner la tête de lhomme de la cabine de visionnage. Il me voit, fait un geste rapide que jinterprète comme le fait quil rentre sa bite dans son pantalon et sans même refermer sa braguette, il sort et vient tout près de moi. La peur mêlée à lexcitation, mes jambes se mettent à trembler. Sans un mot, il sapproche de moi figée de peur, comme tétanisée. Et là sans rien dire, il écarte les bords de mon imper pour regarder mes seins et constater que je suis à poil. Il se retourne et adresse un sourire gras au caissier qui se lève pour sapprocher. Lhomme du trottoir suit le mouvement. Ils sont maintenant tous les trois autour de moi. Cest larabe qui défait la ceinture de limper. Je reste immobile consentante. Ils ont vite compris ce que je suis venue faire dans cette boutique. Celui de la cabine sempare de mes seins quil malaxe sans ménagements. Lhomme de la rue me pétrit les fesses, je sens son doigt qui force ma raie à la recherche de mon petit trou quil trouve rapidement. Je me surprends alors à me pencher vers lavant pour faciliter lintroduction de son majeur dans mon fondement. Très vite il lenfonce profondément, ce qui me fait un peu mal mais sans attendre il se met à me branler le trou du cul, ce quaucun autre homme ne mavait fait comme cela. Larabe a glissé une main devant moi et il me fouille sexe par devant. Lui aussi maintenant à introduit son doigt dans le vagin et il me doigte le con. Ce sont les mots quils emploient en me travaillant pas les deux bouts. Celui qui soccupe de mes seins sest mis à me les sucer. En même temps, il a sorti sa bite et se branle. Son gland vient plusieurs fois frapper la peau de mon ventre en y laissant des traces de mouille. Jai peur mais je suis sur le point de jouir sous leurs attouchements. Et soudain jai envie dune bite, de la toucher, de la sentir. Je me surprends à saisir celle de lhomme qui se branle devant moi et jentreprends une fougueuse masturbation. Mais cela ne me suffit pas jai envie de faire baiser. Et cest larabe qui sest placé derrière moi qui a maintenant sorti sa bite qui me semble énorme. Il me penche vers lavant et je me trouve nez à nez avec la bite du branleur qui me prend par les cheveux et me la colle contre les lèvres. Je lentends dire douvrir la bouche et de le sucer. Jhésite, il me caresse le visage avec son gland tout luisant de sécrétions. Plusieurs fois il essaie de forcer ma bouche mais sa bite sent très fort et cela me dégoûte. Larabe par derrière me caresse le cul avec sa bite. Il écarte les fesses pour contempler mon orifice. Le troisième homme soccupe à son tour de mes seins qui ballottent sous moi, penchée en avant. Lhomme derrière moi glisse un pied entre mes jambes pour les écarter. Jai peur de me faire baiser. Je résiste mais il force tout en me travaillant le con. Ils égrènent des mots salaces qui ne font que mexciter encore plus. Soudain je pense à René et je suis sûre quil souhaite que je me fasse baiser ici en ce lieu public par ces inconnus. Alors soudain je cède, jengloutis le sexe devant moi et laisse celle derrière moi me pénétrer dun seul coup. Mon amant se met à limer violemment, sa bite est grosse et me fait un peu mal. Mais lidée quelle me remplit entièrement ajoute à mon plaisir. Le type que je suce se cabre soudain et je sens le sperme se déverser par saccades dans ma bouche. Il me maintien fermement la tête contre lui par les cheveux et quand il a fini de jouir il se maintient en moi pour mobliger à avaler sa semence. Alors seulement il sécarte. Lhomme derrière se met à râler à son tour et sa jouissance déclenche la mienne et je me surprends à crier en même temps que lui se vide les couilles dans mon ventre.
Me voilà souillée maintenant, mon corps est rempli de sperme par les deux bouts et cette semence je vais la garder en moi longtemps avant de pouvoir me sentir purifiée. Cela mexcite encore plus.
Les deux hommes qui ont joui, repus sécartent. Le monsieur âgé de la rue a sorti sa bite et se caresse en me regardant. Timidement, il me demande simplement de me montrer et sous ses ordres je prends des poses vulgaires ; je lui tends mes seins, mouvre devant lui les fesses, la vulve. Le caissier mapporte un gode et me demande de me lintroduire. Je naime pas beaucoup cela mais cette fois avec cet homme qui se branle en me regardant cest différent! Je me lintroduis dans le con, me branle puis comme le vieux me le demande, je me retourne et me le plante dans le cul. Je me branle en même temps que lui et je sens une jouissance menvahir à nouveau. Je jouis en même temps que lui et il éjacule contre mes seins et mon visage.
Je suis crevée. Le patron nous propose de boire un verre. Je me rhabille, je bois rapidement et je les quitte sans dire un mot.
Je suis fière de moi et je suis impatiente de tout raconter à René. Lui dire que jai fait tout cela pour lui, que je lui suis soumise et que cette pensée ma aidée à chaque pour jouir encore plus. Je veux quil sache que je suis sous son emprise et que je ferais tout ce quil voudra.
Il est bientôt 19 heures et je vais le rejoindre au Musée comme il me la demandé
Arsenne
A suivre (si vous aimez, je peux vous la montrer et raconter)
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