Chapitre 26 : Caroline Et Le Photographe.

Au retour de notre voyage de noces au Kenya, je rappelle à Caroline ses déclarations et ses engagements pendant la nuit de noces.
Elle souhaite m’accompagner dans mes délires libertins, mais il lui faut du temps. Ses expériences avec son troisième mari l’ont apparemment marqué. Et pourtant en peu de temps ils ont eu six partenaires différents…
Je suis candauliste, j’ai tellement pris de plaisir avec Marie, que je souhaite faire apprécier cette pratique sexuelle à Caroline. Je veux prendre du plaisir en voyant Caroline faire l’amour avec une tierce personne.
Dans tous les cas, la décision de cette pratique doit être commune dans le couple, afin de le préserver.
En réalité, je suis très excité lorsque quelqu’un pose les yeux sur Caroline.
Le candaulisme est très lié à l’excitation que cette vision procure.
Très souvent, je suis désireux de voir ma femme être admirée, ou avoir des rapports sexuels avec un autre homme selon les situations.
Caroline adore s’exhiber, être admirée, c’est une véritable passion pour elle, l’exhibition. Elle aime dans ces moments se soulager dans différents endroits plus ou moins insolites.
Mon fantasme repose sur le fait de voir ma femme avec un autre. Donc normalement je pense que nous pourrions concilier nos deux envies et nos deux passions.
Mon plaisir n’est pas lié nécessairement à l’acte sexuel puisque le seul regard d’un autre homme sur elle peut suffire à faire monter mon désir sexuel. Le fait d’exhiber Caroline aux yeux des autres, de les voir envieux, et désireux d’elle me procure un sentiment de puissance et me donne du plaisir.
Nous parlons ouvertement des désirs de chacun, des craintes, avant de prendre la décision de s’orienter vers cette pratique sexuelle.
Il faut que Caroline soit consciente et accepte ma déviance sexuelle tant désirée.
Mon seul et unique objectif c’est d’augmenter le désir et le plaisir sexuel dans notre couple.


Pour Caroline, il existe également un risque de voir surgir une sorte de jalousie, comme elle l’a déjà vécu avec son troisième mari.
Elle doit avoir réellement envie, sans qu’une pression soit exercée sur elle.
Je lui suggère de contacter son ex-amant « Gigibé », avec lequel j’ai pu échanger le jour de notre mariage. Mais elle refuse, elle a réellement envie, mais exprime des craintes pour la suite de notre couple. Et me demande de ne pas forcer les choses.
Donc en attendant nous reprenons nos défis divers et variés. Au hasard, nous allons ensemble dans un photomaton et nous prenons une série de clichés osés. Lui relevant le haut avec soutien-gorge et sans, en dévoilant sa poitrine, puis nous adaptons la pose aux fesses de Caroline et puis ensuite au sexe.
Bien sûr nous attendons une quinzaine de minutes après la sortie des photos du photomaton avant de les récupérer, histoire que d’autres personnes puissent éventuellement profiter de nos jeux.
C’est très excitant de voir la tête des personnes…
Nous fréquentons également ensemble un sex-shop. Nous choisissons chacun un costume pour l’autre et nous les essayons, Caroline fait beaucoup d’effet aux autres clients de ce sex-shop de Rouen, « le Carré Blanc » qui est grand, spacieux, lumineux. Il dispose d’une très belle collection de lingerie fine et sexy allant de la juste coquine à la tenue SM avec ses curieux accessoires. Nous sommes allés dans les salles de projections de film porno où il est possible d’imaginer des « rencontres » coquines discrètes, mais nous faisons que des exhibitions, pour exciter certains clients sympathiques. Nous nous installons pour regarder le film quand il n’y pas trop d’hommes à l’intérieur, souvent quelques groupes de deux ou trois qui jouent entres eux, en se frottant les bites l’une contre l’autre. Il y a aussi les célibataires qui se frottent ouvertement la queue en regardant le film. Nous nous caressons, provoquant souvent des déplacements autours de notre rangée, c’est une situation très excitante, parfois risquée…

Nous organisons d’autres défis, se déroulant dans des jardins publics assez fréquentés, avec des gages qui doivent être l’enjeu du défi.

Par exemple, Caroline doit déboutonner son chemisier jusqu’au bouton qui est situé bien en-dessous de ses seins et rester comme cela jusqu’à notre retour chez nous. Je me délecte de voir le regard des hommes sur sa belle poitrine offerte à leurs vues.
Autre exemple, je demande à Caroline d’ôter son string, et à chaque fois que je lui dis de se pencher, elle doit toucher la pointe de ses chaussures avec ses doigts, sans plier les genoux. Je peux lui dire « penches-toi » au moment que je veux et aussi souvent que je le désire, ce petit jeu nous a beaucoup amusé à une période, car certains hommes regardait bien franchement les belles fesses de ma Caroline qui faisait semblant de ramasser son mouchoir.
Autre défi que nous avons apprécié, elle doit ôter son string et s’asseoir sur un banc, la jupe suffisamment relevée et les jambes assez écartées pour que quelqu’un qui passe et regarde entre ses cuisses puisse apercevoir son sexe. Elle doit rester assise dans cette position jusqu’à ce qu’un grand nombre de personnes soit passées devant le banc. De temps en temps, il arrive que des hommes viennent s’asseoir à côté de Caroline et engage la conversation lui proposant de prendre un verre et plus…
Dans le même style, elle doit marcher dans les allées du parc ou jardin public, en ôtant son string et marcher le maximum de pas en tenant sa jupe retroussée…

Et puis les défis c’est bien, cela nous amuse un temps, et par hasard en faisant du rangement dans mes documents, je retrouve la carte du photographe de la cathédrale de Rouen que j’avais conservé à dessein, (à relire au Chapitre24), je dispose de l’adresse et du numéro de téléphone de cet homme.
L’homme par lequel le destin d’exhibitionniste de Caroline a été scellé définitivement en ma présence. Après de nombreuses discussions avec elle, je souhaite témoigner « ma reconnaissance » à ce beau photographe, et à ma grande surprise elle me donne son accord, en m’affirmant que finalement c’est une bonne idée de faire des photos dénudées.

Je prends donc contact avec cet homme, lui laisse un message sur son répondeur, lui précisant que je suis le mari de la « femme joueuse » de la cathédrale.
Peu de temps après, l’homme me rappelle, se souvenant bien de Caroline, qu’il me surnomme Sharon, vue la grande ressemblance avec l’actrice à cette période, et surtout avec la surprise qu’elle lui avait faite, c’était une première dans sa grande carrière de photographe qu’une femme en pleine rue s’expose ainsi.
Je l’invite donc chez nous, sans en préciser la raison, je lui demande de prévoir son matériel, et que simplement une surprise l’attendait.
Il fut surpris, embarrasser même au téléphone, me demandant des détails, mais je lui répète que je ne l’oblige à rien qu’une surprise l’attend. Donc il m’affirme que mon épouse est tellement jolie qu’il va se déplacer, et qu’il va se dépasser pour magnifier la belle Sharon.
Nous avons rendez-vous un samedi chez nous à quatorze heures. Toujours aussi à l’aise que devant la cathédrale, mais quand même intrigué, François, c’est son nom est très ponctuel et arrive vraiment à l’heure.
Nous lui offrons un café avec des petits biscuits, nous discutons en faisant les présentations, il est relativement surpris par notre parcours, lui n’est pas libertin, marié avec deux s, il nous révèle n’avoir jamais trompé son épouse et ne pas en avoir envie.
Pendant que nous discutons et nous bavardons, Caroline s’est progressivement et imperceptiblement dénudée comme elle sait si bien le faire.
Oh, c’est facile, elle porte un chemisier et une jupe et pas de sous-vêtement. Il lui suffit de détacher un à un les boutons du haut pour exposer sa poitrine.
Par réflexe professionnel, François notre ami photographe saute sur son appareil à photo, ce qui donne le temps à Caroline d’ôter sa jupe. Totalement nue, la vision de Caroline dans cette tenue me procure une excitation incroyable. Le regard de François sur mon épouse me procure un immense plaisir comme vous pouvez l’imaginer.

François demande à Caroline de prendre la pose qu’elle veut.
A ma grande surprise, c’est alors qu’elle lui demande de lâcher son appareil et de rester debout devant elle, les jambes écartées.
François et moi, nous nous demandons où Caroline souhaite aller, je suis surpris, mais certainement pas autant que le photographe, je souris en direction de Caroline qui semble ravie de notre surprise.
Elle ouvre prestement la braguette de François, qui ne bronche pas, et se laisse faire.
Comme toutes les femmes, elle est évidemment impatiente et très curieuse de ce qu’elle va découvrir.
Mais surtout, elle veut lui faire plaisir, lui signifier à sa manière toute sa reconnaissance pour avoir accepté de jouer le jeu devant la cathédrale de Rouen. C’était notre première exhibition en ma présence, ce moment est encore inoubliable pour nous.
Elle se met à genoux, et elle entreprend de dégager son sexe et ses testicules.
J’observe le spectacle sans bouger, sans rien dire, tout à mon plaisir avec beaucoup d’interrogations, car nous avions simplement prévu de faire réaliser à François des photos de nue de Caroline.
Elle dépose sa salive sur son gland, et elle commence de sa main droite, à le branler, tandis que sa main gauche palpe ses boules.
J’observe en lui, un très léger recul d’étonnement, lui qui n’a soi-disant pas envie de tromper sa femme, suivi immédiatement d’une profonde décontraction, en me regardant, en même temps que sa queue se dresse avec une rapidité qui semble surprendre Caroline.
Son brillant photographe se montre à la hauteur de la situation.
Elle prend son temps. Elle veut faire durer la situation, l’entendre frémir et gémir de plaisir tout en le regardant dans les yeux.
Et c’est dans une parfaite complicité de nos trois regards croisés que Caroline s’est entrainée à l’avaler en gorge profonde, à titiller puis à pénétrer son anus et pour finir, à le faire éjaculer dans sa bouche.
Je suis tellement excité de voir enfin Caroline avec un autre homme que je me masturbe violemment, provoquant mon éjaculation rapide trop rapide.
Voila, Caroline très excitée maintenant, mais François reprend ses esprits, satisfait semble-t-il par cette bonne pipe de salope et lui propose de reprendre le shooting photos avec peut-être quelques vêtements supplémentaires comme s’il ne s’était rien passé entre eux.
- Passons aux poses lingeries !!! Si vous le voulez bien…
Caroline est cette fois assez étonnée, visiblement, elle espère que notre photographe vienne explorer de plus près son intimité et ne manifeste aucune désapprobation.
- Oui bien sûr, très bonne idée… Lui dit-elle…
Puis, se tournant vers moi, toujours toute nue…
- Euh, Éric, moi je n’ai pas du tout prévu cela, je n’ai rien préparé, et puis, quoi mettre, je ne sais moi. Dit-elle maladroitement…
- Eh bien, mets un bel ensemble, tu en as de si beaux…C’est l’occasion de faire de belles images, nous en avons discuté avec François…
Le problème en fait venait de Caroline, elle avait surtout envie de tout montrer à François et souhaitait me faire plaisir en baisant avec lui devant moi. Mais François ne souhaite pas tromper son épouse. Donc je fais bonne figure malgré tout, et suis résolu à jouer le jeu.
- J’aimerais que tu poses avec la guêpière que j’adore, tu sais celle qui est rose…
- Je vois très bien ce que tu veux, c’est une très belle guêpière en effet…Me répondit elle…
Caroline part dans notre chambre revêtir cette belle guêpière, rose pâle avec de fines bretelles noires, formant un triangle autour de chaque sein…nu.
Cela doit être très agréable à porter parce qu’elle est très serrée, épousant parfaitement son corps de rêve, elle lui prend bien les hanches en les soulignant juste comme il faut. Elle la porte les seins libres, ce qui doit lui être agréable.
Elle choisit d’enfiler une paire de bas noirs voile, et de chausser des mules du même rose ornées d’un pompon de plume du même rose.
Elle a dû ajouter une pointe de rose sur ses paupières, c’est ce que j’ai remarqué quand elle est redescendue au salon, elle s’est glissée dans un déshabillé de satin noir, la ceinture nouée fermement autour de sa taille, comme un boxeur quittant son vestiaire pour rejoindre le ring…
Elle ne fait pas de détour et rejoint directement le canapé.
- Je suis revenue !!! Je suis là !!! Messieurs… J’espérais secrètement que François allait changer d’avis et allait peut-être me rejoindre dans notre chambre…Chéri !!!
Devant cette interrogation et la gêne de François, je ne peux que balbutier…
- Veux-tu un thé…Chérie ?
- Ah non, je préfère une coupe de champagne, il me semble que cela va m’aider davantage à effacer ma déception…Répondit elle.
Nous passons François et moi dans la cuisine, il m’interroge sur nos intentions de départ, je ne sais trop quoi lui répondre, effectivement j’espérais que Caroline accepte enfin de baiser devant moi avec un autre homme, mais vu ses réticences depuis notre première rencontre, il n’y avait rien de prévu. C’est la situation qui a donné des envies à Caroline.
C’est François qui arrive le premier dans le salon avec sa coupe de champagne à la main. Caroline l’en remercie sans plus, assise sur le canapé, son déshabillé bien fermé.
- Ah…Tu es sublime ma chérie, ce satin noir, ces mules rose, c’est parfait, parfait !!!
Je tente de détendre l’atmosphère, François se positionne derrière l’appareil resté sur son pied. Il commence à shooter.
Les éclairs dans le dispositif sont doux, je me suis reculé hors du champ, les mains sur les hanches à la contempler avec contentement.
De son côté, Caroline varie les poses en veillant à ce que le nœud de satin reste bien en place, elle ne veut pas offusquer François…Jusqu’au moment où François dit…
- Peut- elle se mettre un genou sur le canapé, et l’autre posé au sol…
- Oui, Caroline, aller, change de pose, c’est une excellente idée !!!
- Oui, c’est exactement cela Caroline, c’est très bien…Peux-tu maintenant saisir les deux bouts de la boucle du nœud de ton peignoir ?
Caroline adopte une gestuelle la plus délicate possible, et cela nous donne un spectacle magnifique.
- Oui, c’est exactement cela, oui écarte un tout petit peu tes doigts…le vernis de tes ongles prend très bien la lumière…c’est parfait. Lui lance François.
Au moment où François lui a demandé d’écarter ses doigts, j’ai remarqué qu’elle avait compris qu’il fallait écarter les…cuisses, puis elle s’est ravisée.
Elle tente de tenir sa position, alors que plusieurs déclenchements retentissent dans le silence de la pièce. La satisfaction de François se lit dans son regard, et j’avoue que moi-même je prends également beaucoup de plaisir.
- Caroline, maintenant peux-tu tirer sur les deux bouts de la ceinture que tu tiens entre tes doigts ? Demande François…
Caroline n’eut d’autre réponse que « Oui », malgré sa déception, et semble finalement prendre maintenant du plaisir à prendre son temps pour se dévoiler à nouveau.
Elle s’est que nous sommes arrivés au moment probablement attendu.
Le nœud se glisse facilement au fur et à mesure qu’elle en écarte les deux bouts de la ceinture de satin noir.
A présent, son peignoir est ouvert, la ceinture est tombée, un genou posé sur le canapé, l’autre jambe à angle droit, le pied par terre.
Les deux pans de son déshabillé sont retenus par la rondeur de ses seins.
Entre ses seins, apparait le satin rose de sa guêpière qui tranche avec le satin noir.
- Oui, c’est bien Madame, euh…Caroline, à présent, pose tes mains sur tes hanches…
François est manifestement troublé, le photographe professionnel refait surface en appelant Caroline…Madame…A moins que ce soit à la vue du spectacle offert par Caroline.
Rien de bouge, elle surplombe la situation, j’aperçois la forme de ses mamelons à travers le tissu tendu et à peine retenu du déshabillé.
- Parfait, ne bouges pas…
Nous échangeons des regards complices avec Caroline, et j’en profite pour venir m’installer dans le profond fauteuil qui fait face au canapé.
- Continue François, c’est vraiment très bien…Dis-je sans quitter des yeux Caroline.
- D’accord, Éric, merci…Me répondit François, l’œil sur son écran de visée.
- Caroline…Maintenant…Après un long silence François reprend…
- Oui, maintenant ouvre complètement ton déshabillé…
Nous y sommes, enfin, Caroline le regardant fixement à travers son objectif, ouvre largement les deux pans de son peignoir de satin.
Ses seins nus, placés à travers chaque triangle faits de chaînettes noires reposent tout en rondeur sur le tissu soyeux rose de sa guêpière.
Le silence règne. Les déclenchements de l’appareil ne cessent pas.
- Mets-toi debout…Tournes-toi…Demande François.
- Bien, c’est bien, maintenant, écarte davantage tes pieds…Pose une main sur l’accoudoir du canapé et retourne toi en me regardant…Lui ordonne François.
Caroline tente de faire de son mieux, toujours avec des gestes très sensuels et un regard très coquin me laissant imaginer son état d’excitation.
- Éric, puis-je continuer ? Me demande François.
- Mais oui, continue, Caroline est magnifique n’est-ce-pas ? Lui répondis-je…
- Oui, absolument très belle…
- Caroline, redresses-toi…restes de dos…Oui parfait.
- Puis-je te demander de faire glisser ton string au sol, s’il te plait ?
Caroline m’adresse un regard d’étonnement et je cligne des yeux pour approbation.
Elle fait donc glisser son string au sol et le ramasse pour le poser un peu plus loin hors du champ.
- Parfait, assieds-toi sur le canapé…Poursuit François.
Il se saisit de l’appareil en main et s’approche vraiment de Caroline.
Il déclenche, déclenche…puis il retourne à son trépied installé.
- Maintenant, bien adossée face à l’objectif, je veux que tu poses un pied sur l’assise du canapé, les cuisses bien écartées…Lui demande encore François.
Elle est totalement offerte à la vue de nous deux, pauvres hommes…Moi, son mari, je détaille chaque millimètre de ses courbes et François, ce photographe que j’ai invité, très appliqué et manifestement très heureux de ce que Caroline lui a offert précédemment, sa fellation, son sexe avalé en gorge profonde, son anus titillé et pénétré par Caroline et pour finir, elle l’a fait éjaculer dans sa bouche.
Caroline continue à prendre des poses de plus en plus osées, essayant d’inviter François à poursuivre d’autres activités, mais notre ami, range son matériel et nous quitte en nous remerciant chaleureusement.
Pendant un certain temps, Caroline, François et moi, formons un trio inséparable. Elle s’exhibe tant et plus. François multiplie les prises de vue, se contentant à chaque fois de sa fellation, c’est son tarif…Me concernant, je classe soigneusement les photos.
Pas de triolisme, que non ! Mais grâce à François, nous avons fait un large pas vers cette pratique, Caroline à maintenant vraiment envie d’un autre partenaire pour nous faire plaisir, pour prendre simplement du plaisir l’un et l’autre. C’est le début d’une belle aventure, fait de belles rencontres et moments complices.
Nous avons tous les trois formé une petite équipe parfaitement soudée par notre pacte de ne jamais divulguer les images de Caroline…Parfaitement respecté par François.
Nous concernant, nous nous sommes créés un profil sur un site bien connu diffusant à l’époque régulièrement les photos de Caroline…



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