Semaine Marocaine 2

Nous nous rendons à pied au bureau d’Omar pour caller les excursions de la semaine, je suis habillée d’un haut léger, seins nus dessous, d’une jupe plissée pas très courte et d’un micro string rose, le trajet est parsemé d’autochtones assis sur les trottoirs ou même au sol, mon mari s’amuse à me mettre la main sur les fesses et même à faire remonter très haut cette jupette, nous sommes très régulièrement suivi du regard et aussi accosté par un jeune plus vif que les autres et surement un peu en manque, mais nous poursuivons notre chemin. La boutique du Marocain est situé dans un quartier chic, une sorte de parvis nous accueille, les immeubles formant comme un abris a cet emplacement inondé de soleil malgré qu’il ne soit que 9h00, nous trouvons porte close, une fontaine toute proche nous attire, la fraicheur relative de l’eau apporte une douceur de miel à ce soleil, je m’assoie sur le rebord du bassin et ma jupe remonte, Benjamin dégaine son appareil photo, l’objectif me dévisage, cliquette, avant de chercher les coins secrets de mon anatomie, je sens le zoom se développer avant de viser le haut de mes cuisses, j’entrouvre celles-ci, me laisse emporter par l’objectif, j’ouvre encore plus les jambes au mépris des fenêtres qui donnent sur le jet d’eau, ma main ne peut contenir un geste d’excitation, je me passe un doigt sur mon string puis l’écarte doucement, naturellement même, je suis déjà ouverte.
Benji range son APN, voyant arriver le responsable d’agence, Ahmed nous fait entrer et nous invite à nous asseoir, je lui demande les toilettes, d’un geste naturel il m’indique une porte, l’homme se mets derrière son ordinateur et tape nerveusement sur les touches, mon mari s’étonne de cet empressement et discrètement tourne sur le coté du bureau, pour voir l’écran. En fait l’écran est relié à une caméra dans les toilettes et l’associés d’Omar ne manque rien de mon pipi, d’autant plus que ma culotte étant trempée j’ai décidé de la quitter, lorsque je reviens dans le bureau, Ahmed est rouge pivoine, et manque s’ quand il voit que je donne une petite boule de tissus à Benjamin, il comprends que c’est mon slip qui à changé de main.

Les formalités prennent un temps fou, Ahmed a de plus en plus de mal à se fixer sur son travail on le sent fiévreux, pendant qu’il réponds au téléphone, mon homme m’explique, la situation m’amuse et je décide de l’accen et même d’accroitre encore la gêne de notre hôte, je me lève et me tourne vers la table basse ou traine quelques revues d’excursions, j’accentue le mouvement en faisant tomber une pile de tracts que je me mets à ramasser, les fesses en l’air, comme offerte, puis naturellement je me retourne pour voir l’effet produit, le Marocain a la bouche ouverte, la mâchoire comme décrochée, alors je m’accroupie face aux hommes et écarte légèrement les genoux comme pour reprendre mon équilibre, cela écarte les lèvres de mon minou qui continue à s’humidifier. Je cesse ce petit jeu pour reprendre le cours des explications, au bout d’une ½ heure, nous voila parfaitement renseigné, tout la semaine est prévue.
Après avoir quitté l’agence, nous décidons de descendre à la mer, nous hélons un taxi, en ouvrant la portière, ma jupe s’envole et j’aperçois Ahmed, je lui décoche mon plus allumeur des sourires et m’amuse encore de le voir rougir.
Nous sommes là à nous tremper les pieds dans une eau pas très chaude quand un marchand ambulant vendant quelques statuettes nous interpelle, c’est un garçon de 25 ans maximum, sympathique et charmant, des yeux noirs et une stature impressionnante. Nous refusons ces bibelots mais celui-ci insiste et nous propose ses services comme guide, c’est une chose courante au Maroc, il dit nous emmener dans des restaurants typiques au cœur de la Médina, Benjamin accepte, notre guide passe devant et nous reprenons un taxi, on arrive, Medhi s’empresse de m’ouvrir la porte de la voiture, involontairement, j’ouvre les jambes et montre mon intimité à notre guide, celui-ci affiche un sourire étincelant et coquin auquel je réponds sans crainte, nous arrivons devant une porte cochère sans indication particulière, Medhi nous explique que c’est un accueil chez l’habitant et que l’on mange bien mieux que dans un resto,
Il ouvre la porte et nous indique un escalier qui monte au premier, confiante je passe en premier et m’incline suffisamment pour exposer mes fesses en pleine lumière, ce qui plais à Benji et à tendance à l’exciter tout autant que moi, la maitresse de maison nous montre l’endroit ou nous allons déjeuner, une table basse avec des coussins autours, pas facile pour moi en jupe mais….
. Je m’arrange pour me retrouver en face de Benji, mon homme adore mater toutes les femmes et moi en particulier, en m’asseyant je prends soin de bien relever ma jupe, celle-ci est libre de se soulever à loisir, et la position étant loin d’être confortable, je suis obligée de soulever mes fesses pour faire passer mes jambes à plat puis de relever les genoux pour mon confort, ma petite chatte se retrouve toute ouverte, mes lèvres intimes se gonflent, se gorgent de sang, se liquéfient, en fait la situation me plais, j’adore exciter mon homme et je sait qu’il bande. Benjamin se penche en avant, m’embrasse le lobe de l’oreille, avance sa main entre mes cuisses et masturbe mon bouton d’amour, insinue un doigt dans mon minou tout mouillé, et descends jusqu’entre mes fesses pour y enfoncer un doigt sans ménagement, mon sexe commence à ressentir les premiers spasmes annonciateur du plaisir, je me retourne légèrement sur le coté et avance mes fesses pour bien dilater mon petit cul, Ben n’hésite pas et me doigte largement, mon corps réagit immédiatement et ma jouissance éclate.
Medhi ayant entendu le couinement, il se rapproche et me présente son sexe gorgé de sang, les veines sont saillante sur sa colonne de chair, mon homme me fait mettre à quatre pattes et le Marocain me saillie comme un chien en rut, son sexe entre et sort sur un rythme effréné et déclenche en moi des envies de jouissance absolu, je fais allongé Medhi sur le tapis et me mettant sur lui je tire Benjamin pour qu’il me prenne par derrière, cinq minutes suffisent pour prendre mon pied, mon orgasme déclenche des jets de cyprine comme jamais, je deviens une femme fontaine.
L’après midi fut une succession de caresses, d’attouchements, de regards qui en disent long sur les jours suivant de nos congés……
A bientôt !

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