Na Leslie Tr 03

Leslie à Paris - P03 – Michel, suite.

Lendemain de soirée.
Le lendemain en me levant je constate que Laure n’est pas rentrée de la nuit, après avoir passée mon kimono je descends préparer le café, Michel arrive quelques temps plus tard avec les croissants et les brioches, je lui ouvre et il me prend dans ses bras et dépose ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser, je me laisse faire appréciant ce tendre baiser matinal.
Après être rentré Michel m’aide à finir d’installer la table du petit déjeuner, puis nous déjeunons face à face en échangeant de tendres regards complices dans un silence presque absolu, puis à un certain moment je dis à Michel :
- Je suis d’accord pour votre proposition, je vais rejoindre votre cabinet et travailler avec vous.
Michel me regarde et ses yeux sont pleins de joie, Michel me dit :
- Je suis heureux de votre décision Leslie, nous établirons les contrats dès lundi et je préviendrais Jacques de cette nouvelle disposition, cela ne posera aucun problème car je lui en ai déjà touché deux mots. Et c’est en parlant de mon nouveau statut et de ma nouvelle vie à Paris que nous terminons notre petit déjeuner.

Après avoir débarrassée la table, Michel est installée dans la salle à manger tandis que je suis entrain de faire la vaisselle, à un certain moment je sens les mains de Michel parcourir mon corps, mes hanches puis mes fesses.
- Vous aimez mes caresses ? me demande Michel.
- Oh oui, mais nous ne devrions pas…
- Vous n’êtes pas sans ignorer mon attirance pour vous depuis très longtemps, et je sais que Jacques vous en a parlé.
- Oui c’est vrai, mais vous êtes avant tout mon patron et puis...
- Oublions un peu les convenances Leslie.
Michel n’a pas cessé de me caresser tout en me parlant et mon ventre est en feu et mes seins pointent du désir qui monte en moi, mon kimono est grand ouvert alors que Michel est toujours dans mon dos, Michel s’aperçoit de mon émoi et me dit doucement :
- Je sais que nous nous désirons mutuellement alors pourquoi se priver de cet instant qui ne se reproduira peut-être jamais, pourquoi ne pas nous aimer simplement sans penser à demain.

- Michel, vous êtes vraiment impossible, vous me tentez.
Michel tout en continuant ses caresses continue à me parler à l’oreille :
- J’ai longtemps pensé que mon désir pour vous ne reste qu’un rêve et de ne pouvoir jamais caresser votre corps, vous êtes une si belle et si jeune transexuelle.
Je lui dévoile mon intimité en me retournant vers lui le kimono ouvert.
Michel me regarde très attentivement en détaillant mon corps androgyne et me dit :
- Vous êtes vraiment très belle Leslie.
- Merci, et vous, vous êtes adorable, lui dis-je.
Il me prend dans ses bras et m’embrasse à pleine bouche.

Je commence à lui enlever sa chemise et fais glisser ma bouche sur son torse, je me retrouve à genoux à ses pieds et je défait sa ceinture, puis après avoir détachée les boutons je retire doucement son pantalon en le descendant vers ses chevilles et me retrouve devant boxer très mode tendu par le sexe de Michel.
Je passe ma main dedans et me saisis de son sexe, et je le masturbe lentement puis baisse le boxer et me retrouve devant un magnifique sexe circoncis bandé à mort devant moi, magnifique, long et bien dur avec des deux belles boules poilues.
J’approche ma bouche du sexe de Michel et dépose un baiser sur le gland, le méat suinte d’excitation, puis j’entrouvre les lèvres et glisse lentement le sexe de Michel dans l’ouverture de mes lèvres, je prends le sexe en bouche en salivant beaucoup pour une fellation douce, chaude et agréable. Puis j’avance et recule sensuellement ma tête en gardant cet organe d’amour entre mes lèvres.
Michel à un moment pose ses mains sur ma tête pour m’imposer le rythme, en fait il me baise la bouche. Je ne peux m’empêcher de m’imaginer la scène, Michel mon patron architecte de 45 ans, debout, torse nu avec le pantalon au pied et arborant une belle érection, avec à genoux à ses pieds, moi, une jeune transexuelle de 23 ans entrain de lui faire une fellation la tête entre les mains de cet homme.
Cette image m’excite fortement et me fait bander et tandis que je suce le sexe de Michel je pense n’avoir aucun problème à le recevoir en moi, bien que le sexe de Michel soit de bonne taille, long mais pas trop volumineux.
Je me redresse et dis à Michel :
- Venez dans ma chambre nous serons mieux pour faire l’amour.
Après s’être débarrassés de nos affaires, nus tous les deux je l’entraine par la main et une fois dans ma chambre je me positionne sur le lit en levrette prête à accueillir mon amant en moi, mon sexe dressé de désir.
Michel se positionne derrière moi et après avoir enduit son sexe de gel ainsi que mon anus, il pose son gland à l’orée de mon anus et s’introduit lentement en moi, je ressens alors une vive douleur qui me fait cambrer les reins, je grimace et gémis.
Je le sens progresser au fond de mon être, il s’active en accélérant progressivement, puis ralentissant tout en me caressant les seins et excitant les pointes, puis reprenant de l’ampleur dans ses va-et-vient.
En moi, monte inexorablement la jouissance, Michel s’en rend compte, et augmente encore la cadence. Je gémis de jouissance au bord de l’orgasme avec mon sexe dressé qui bat au rythme des pénétrations de mon amant, Michel à son tour émet des râles de plaisir, ce qui décuple ma propre jouissance et je sens son sexe grossir encore dans mon conduit, maintenant il bute profondément au fond de moi et jouit en émettant de grandes quantités de foutre dans mon petit cul et déclenchant en moi un orgasme puissant. Il continue à me pistonner doucement et longuement, me laissant reprendre mes esprits tout en continuant à me faire l’amour.
Je suis heureuse et m’écroule à plat ventre sur le lit, Michel me retourne sur le dos et me sourit, puis il m’embrasse tendrement et me dit :
- Vous êtes une tellement belle et jeune transexuelle.
- Michel, je suis heureuse.
- Vous êtes merveilleuse Leslie et vous avez un très joli sexe.
- Michel…
- J’ai envie encore de vous.
- Moi aussi, je veux vous sentir en moi.
- Mais je veux voir votre visage et votre sexe quand je vais vous prendre.
- Oui, prenez-moi comme vous le désirez !
Il installe un oreiller sous mes reins et prend mes jambes sur ses épaules en se glissant entre mes jambes et me pénètre de nouveau. La sensation est très forte et j’ai l’impression de le sentir encore mieux en moi et il se met à me limer dans un rythme doux et très régulier, il fait à nouveau monter doucement dans la jouissance en moi.
- Ohhh, Michel c’est bon !
J’accepte Michel dans mon fondement, Il est entièrement en moi, puis il s’arrête et reste immobile un instant, ressort pratiquement tout son sexe et le replonge doucement dans mon cul, il recommence le mouvement plusieurs fois, je me sens de plus en plus dilatée et Michel s’active de plus en plus vite.
Puis il se retire à nouveau, mais entièrement cette fois ci pour observer mon anus béant, puis il remet son sexe en moi et me prend le sexe pour me branler.

Il se retire entièrement de nouveau et me réinvestit à nouveau, recommence et recommence, à chaque fois qu’il me pénètre une sensation m’envahit, mélange de douleur et de bonheur, heureuse d’être possédée et d’être considérée comme une femme, douloureuse par la violence de ses assauts.
Michel me prend la main et la pose sur mon sexe en me disant :
- Maintenant branles toi ma chérie, je veux te voir te donner du plaisir pendant que je te fais l’amour !
Peu de temps après, une chaleur irradie mon bassin, montant de mes reins dans mes seins, ma tête tourne, la jouissance m’envahit et explose dans mon corps. Je crie et hurle mon bonheur d’être ainsi prise tandis que je me branle.
Michel me pistonne de plus en plus vite me laissant dans mon plaisir qui n’arrête pas, et soudain Michel se vide dans mon cul en poussant un cri rauque et puissant, tapissant mes intestins de sa jouissance, il me pistonne encore jusqu’au moment ou je jouis sur mon ventre, Michel au fond de moi reste immobile encore un moment et se retire doucement.
Je suis épuisée par le plaisir que m’a donné Michel, je reste allongée sur le lit et je repose tranquillement.
Michel prend une douche et se rhabille tranquillement en me regardant avec des yeux pleins de tendresse, il s’approche du lit et dépose un baiser sur mes lèvres en disant :
- Tu es merveilleuse Leslie chérie, j’espère te revoir mais ce n’est pas une obligation, tu es libre.
- Merci Michel, lui dis-je.
Quand Michel me dit au revoir je me sens heureuse et un petit peu plus femme à la fois.

A suivre……