Une Blonde Allumeuse 3

- Allo.
- Bonsoir, c’est Joëlle.
- Joëlle ?
- Vous ne m’avez pas déjà oublié depuis tout à l’heure !
- Ah ma puce, excuse moi. Je ne t’avais pas reconnu, et j’ai oublié de te demander ton prénom. Qu’est ce qui me vaut le plaisir de ton appel ?
- Je voulais juste savoir si vous étiez bien rentré, et vous dire que j’ai passé une très bonne journée.
- C’est très gentil ma chérie. Je suis rentré sans problème, la tête pleine de tes images. Il me tarde dimanche prochain. Et toi, tu as terminé ton travail ?
- A l’instant, je voulais m’en débarrasser avant de vous appeler.
- Tu fais quoi à part m’appeler, et tu es habillée comment ?
- Je me repose sur le lit, et j’ai juste la veste du pyjama.
- Tu as la chatte à l’air ?
- On ne peut plus.
- Tu te caresses ?
- Je vous laisse deviner.
- Tu me fais bander, morpionne.
- J’espère bien. Et vous, vous faîtes quoi ?
- Je suis allongé sur le canapé, devant la télé, et je me caresse en pensant à toi.
- Vous êtes à poil ?
- Non, mais ne ris pas, j’ai enfilé ta petite culotte et tes collants.
- Vous êtes un beau vicieux.
- Plus que tu ne le penses. Je bande trop, ça te dit de faire l’amour au téléphone.
- Je ne vois pas comment ça marche, mais si vous m’expliquez, pourquoi pas.
- Tu es vraiment trop coquine. Mais avant de commencer dis moi, ça ne te coûte rien de m’appeler ?
- Non, j’ai un forfait illimité avec internet.
- Comme moi, c’est parfait. Bon, je t’explique et on y va.
Je lui raconte alors qu’il y a plus de dix ans je cherchais des annonces de femmes avec qui correspondre et plus si affinité. Je suis tombé sur une fille très libérée à qui je pouvais dire les pires obscénités, l’insulter modérément, lui inventer des situations très hard, tout en me masturbant jusqu’à jouir. Au trois ou quatrième appel elle m’a laissé faire mes affaires puis m’a gentiment demandé de ne plus l’appeler.

Je lui ai demandé si elle ne connaissait pas une fille pour la remplacer, et elle m’a donné un numéro de téléphone.
J’ai appelé et suis tombé sur une chienne en chaleur. Elle avait 28 ans, mère célibataire, très corpulente de seins et de cul, et en manque de sexe. Je pouvais tout lui dire, tout lui faire répéter, y compris les pires insultes. Je ne compte pas le nombre de queux que je me suis tapées en sa compagnie téléphonique, et le nombre d’orgasmes qu’elle m’a fait écouter. Elle m’a donnée son adresse et je lui écris des récits du style zone rouge écarlate et dont elle raffolait.
Puis elle a rencontré quelqu’un et on a arrêté. Elle s’appelait Cathy.
En fait le jeu consiste à se masturber, échanger des obscénités, des insultes, ordonner certaines choses, dire ce qu’on aimerait lui faire ou qu’il nous fasse. Entre adultes consentants tout est permis, et on peut fantasmer sur des actes que l’on n’oserait pas réaliser, sauf après avoir bu.
Ces deux filles étaient vraiment soumises, et les échanges étaient presque à sens unique.

- Voilà ma chérie, tu en sais autant que moi. Si tu veux essayer, tu me dis tes interdits, les bornes à ne pas dépasser. Mais ce n’est qu’un jeu, et dès la fin on oublie tout ce qu’on c’est dit qui n’est pas gentil, et que l’on ne pense pas. Par contre j’aimerais que tu sois plus dévergondée qu’elles, et que tu me traites comme je te traite.
- Bien sûr qu’on va essayer, j’ai la chatte en feu. Les limites, je ne sais pas de quoi vous êtes capable, alors on verra le moment venu. Enfin je ne me vois pas vous dominer, vous insulter, je suis plutôt soumise moi aussi.
- Déjà si tu me disais tu, ça pourrait t’aider. Mais je ne veux pas te forcer.
On passe alors un long moment à se branler. Elle me laisse diriger, ne m’interdit rien, obéit à mes ordres et je me défoule sans être vraiment dégueulasse comme je l’étais avec Cathy. Elle n’a pas de toy, même pas de banane, et se masturbe à main nue. Elle me fait écouter le clapotis de ses doigts dans son huître dégoulinante, se lèche les doigts, répète mes mots grossiers, on se suce, se lèche, s’embrasse, baise dans toutes les positions.

Je veux finir par sa bouche, et elle veut que je l’encule avant. La petite salope a compris la règle du jeu, et elle m’offre en irréel son sublime fion qu’elle ne m’a pas accordé en vrai.
Je lui défonce la rondelle, la pousse à jouir avant moi pour être sûr de sa participation active, et jouis dans sa bouche des flots de sperme. La séance est terminée.
- Ca va ma puce, ça t’a plu ?
- Super. Ca ne vaut pas une bonne baise comme ce matin, mais c’est mieux qu’une branle solitaire.
- Tout à fait d’accord avec toi. Mais on se rattra dimanche, ça tient toujours j’espère.
- Bien sûr, mais on se rappelle avant.
- Quand tu veux bébé.
On échange encore quelques mots, s’embrasse, se souhaite une bonne nuit.

A suivre

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