Une Blonde Allumeuse 2
On va direct à sa chambre, sans perdre de temps. Jenlève le haut et linvite à finir de me dévêtir. Je rebande et elle sait le joujou qui se cache dans mon slip. Elle sagenouille pour me défaire. Trois mois quelle na pas baisé, elle est en manque, et ses mains fébriles sen voient à me dégrafer la ceinture et la braguette. Elle y parvient enfin et baisse mon pantalon aux chevilles. Mon slip a du mal à contenir mon service trois pièces. Elle est fascinée par ce quelle devine, me caresse à travers le tissu, puis écarte lélastique de la taille. Ma queue se libère alors comme un ressort et mon gland rouge et gonflé de désir lui présente ses hommages. Elle pose ses lèvres dessus pour un tendre baiser et me baisse le slip :
Elle est prête à me sucer à nouveau, mais je lui ai proposé de lui bouffer la chatte et en meurs denvie :
- Déshabille toi salope, tu vas connaître les joies dun bon cunni. Je vais te lécher mieux que ta petite gouine.
En une minute elle est entièrement nue et je reste scotché par sa beauté. Elle est parfaite, tout ce quil faut, où il faut. Jambes, cuisses, hanches, ventre, seins, rien à jeter. Je me demande où est le vice caché pour quune plante pareille soit seule.
Cerise sur le gâteau, sa petite chatte. Elle a dû se raser récemment et laisse repousser sa toison à lapproche de lhiver. Son jeune gazon, blond comme les blés, me confirme que cest une vraie blonde.
Elle sallonge sur le lit, jambes écartées, et soffre à ma bouche affamée. Jai envie de me jeter sur elle pour la dévorer comme un porc, mais retiens mes ardeurs. Une si belle et si jeune chatounette mérite toutes les attentions. Je passe mon nez sur ses poils renaissants et me délecte de son nectar. Elle a mouillé durant deux heures et je menivre de ses délicieux effluves. Je soude mes lèvres aux siennes et fouille sa fente étroite. Sa liqueur est délicieuse. Jécarte délicatement ses lèvres pour menfouir plus profondément.
Ma langue habile accomplît des prouesses et elle me remercie avec de fulgurants orgasmes qui senchaînent. A chaque fois elle frémit, vibre, tremble, ses muscles se raidissent, ses reins se cambrent pour mieux soffrir, son petit volcan explose et sa lave sécoule, abondante, succulente, délicieuse, onctueuse, savoureuse. Puis cest le calme qui précède la prochaine éruption.
Je change de position et viens sur elle en 69. Je lui demande de ne pas bouger et me laisser faire. Je ne veux pas quelle me suce, je peux lui bouffer le clitoris, et cest dans ma position préférée. Je passe une main sous sa cuisse pour la ramener sur sa vulve, lautre main glisse sur son ventre et mes doigts se rejoignent autour de son petit gland. Jécarte ses lèvres pour le libérer, crache abondamment dessus pour le lubrifier et le caresse, le masse, le masturbe. Il sort de sa cachette, je le décapuchonne entièrement, recrache dessus et le prend entre mes lèvres. Je le suce, le tête et le sens durcir et grandir.
Elle gémit, râle, feule, Se cambre plus que jamais et jouis violemment ; Elle retombe, épuisée, et je la nettoie de ma langue câline.
Je sors de sur elle, et mallonge à ses côtés. Elle est essoufflée.
- Ca va ?
- Je nai jamais autant joui. Cétait merveilleux.
- On continue ?
- Vous me laisser quelques minutes pour récupérer, et je vais essayer de vous sucer aussi bien que vous mavez léchée.
- Tu es gentille, mais je ne pensais à une pipe, du moins pas de suite. Jai envie de baiser.
- Vous avez des préservatifs ?
- Non, et puis jai trop envie de connaître la chaleur, la douceur, le suintement de ta petite grotte.
- Je préférerais moi aussi sans capote, mais je ne tiens pas à tomber enceinte.
- Alors là je te jure que tu ne crains rien. Tu mexcites au maximum, mais je sais me contrôler. Je te promets de me retirer bien avant la fin. Et puis tu mas donné envie dune bonne turlutte, alors je vais me réserver pour ta bouche.
- Ok, baiser moi, jen ai envie.
Je me place entre ses cuisses, la lèche à nouveau, la doigte, pour bien louvrir. Puis je remonte sur son corps, prend mon manche à pleine main et frotte mon gland entre ses petites lèvres. Je pousse lentement pour la pénétrer en douceur. Mon manche est plus gros que les deux quelle a connus, elle pousse des petits cris, de peur et non de mal, et mencourage à la prendre. Je suis en elle et ne bouge plus pour savourer cet instant magique :
- Tu as une chatte merveilleuse chérie. Quel bonheur.
Je me mets en mouvement et la lime au ralenti. Le frottement de mon pieu dans son écrin est un pur régal partagé. Elle prend son pied autant que moi et ne fait rien pour cacher son plaisir.
Mon visage est au dessus du sien, je pose mes lèvres sur les siennes. Elle menlace et sa langue senfile dans ma bouche. Le baiser est lacte que je préfère, le plus intime. Les putes nembrassent pas, les salopes oui. Et à la façon dont on se roule maintenant des pelles voraces, cest la reine des salopes. On se bouffe la poire, salive à volonté. Mes gentilles enfilades deviennent dénormes coups de boutoirs quelle apprécie et redemande.
Elle ne se soucie plus du fait que je peux jouir en elle, et ne veut que se faire ramoner.
Heureusement je garde la tête froide et me retire :
- Salope, aucune fille ne ma donné autant de plaisir. Tu as failli me faire décharger tellement tu es bonne. Mais tu es trop mignonne, et je ne veux pas r de toi
A mon tour je lui demande quelques instants de repos pour me calmer, avant de la prendre en levrette.
Elle est à quatre pattes au bord du lit :
- Ce cul, ce cul que tu as. Plus bandant tu meurs. Tu es sûre que tu ne veux pas te faire dépuceler la rondelle.
- Non, pas aujourdhui, je ne suis pas encore prête.
Je mengage alors dans son huître impatiente et la martèle de mon engin. Elle jouit, encore et toujours, et ma queue baigne dans son jus.
Elle est allongée sur le lit, sur le dos, près du bord. Jai un pied au sol, lautre sur le lit qui enjambe sa tête, et jenquille mon bâton jusque dans sa gorge. Je reste en elle jusquà ce quelle me repousse pour reprendre lair. Elle crache de la salive qui dégouline sur ses joues, son cou, et embouche mon gland pour une autre gorge profonde. A plusieurs reprises ma queue entre et sort de sa cavité, alternant avec mes grosses couilles pendantes que je lui donne à brouter.
Je vais bientôt jouir. Je me retire, magenouille, et lèche, bois, avale ses coulées de salive avant de lui rouler un patin grandiose. Elle est maintenant à genoux devant moi pour une ultime pipe. Je mabandonne, la laisse faire. Comme promis elle sapplique à une fellation que ne renieraient pas les plus grandes professionnelles, et obtient des giclées bien épaisses quelle déguste comme jeune amatrice. Je la relève, lembrasse encore, et on sallonge sur le lit. Elle est sur le côté, en chien de fusil, et je viens me coller à elle, passe un bras par-dessus, pour refermer ma main sur un de ses seins. On reste ainsi quelques instant à se reposer, échanger des mots gentils, se féliciter de nos performances.
Il est 13h, on prend une douche, et elle partage son repas avec moi.
Je voudrais passer laprès-midi avec elle, aimerait elle aussi, mais ne peut vraiment pas. Elle est désolée, mais doit bûcher ses cours, terminer un devoir.
Je vais labandonner, à regrets. On décide de se retrouver le dimanche suivant, à la gare, et de renouveler lexpérience. On échange nos numéros de portable et de fixe. Jai du mal à la quitter, et peur de ne plus la revoir, et finis par partir après un énième baiser.
Je repars chez moi avec des souvenirs pleins la tête, mais aussi des souvenirs concrets. Elle a bien voulu moffrir ses collants et sa petite culotte toute parfumée.
Je suis chez moi, à la fois heureux et inquiet de ne plus la voir.
20h15, le téléphone sonne.
A suivre
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