Damien (13) Suite Kader - 3
Quand je repris le sens des réalités, j'étais allongé sur le dos, mes jambes écartées étaient repliées vers l'avant et reposaient sur les épaules de mon homme qui, couché sur moi, était toujours fiché dans mon anus.
Mon mec me dit "Ca y est réveillé?
- Oui - Alors qui avait raison ?
- C'est toi, jamais je n'aurais cru pouvoir prendre une telle bite dans le cul, merci.
- De quoi ?
- De m'avoir fait jouir du cul comme j'ai joui.
- Tu n'as encore rien vu ma salope, tu te rends compte que je suis encore en toi ?
- Oui.
- Donc ça veut dire que moi je n'ai pas joui et que je vais encore bien te baiser et te faire bien reluire ma petite putain.
- J'en veux encore.
- Mais tu vas en avoir car là aussi j'avais raison, tu es une superbe baiseuse".
Kader commença à aller et venir en moi lentement, sous ces va et viens le désir, un instant retombé par le fade que je venais d'avoir, s'insinua de nouveau en moi.
Je fermai les yeux et me laissai emporter par cette déferlante irrésistible, mon amant appuyé sur les avant-bras me besognait de toute la longueur de son fabuleux membre, chaque fois qu'il m'empalait ses couilles duveteuses venaient caresser mes fesses en feu.
Chaque fois que la splendide hampe plongeait au fond de mon cul dilaté je montai d'un cran dans le plaisir et je ne fus pas long à perdre totalement pied.
Mon homme me possédait de plus en plus violemment, à chaque assaut son pubis venait claquer contre mes miches bouillantes à me faire mal.
J'avais l'impression que s'il continuait à m'enculer de la sorte il allait me déchirer mais ce que je ressentais était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Mon mec avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me pilonnait l'arrière train avec brutalité, tout mon être était en feu, j'étais en nage et un incendie me ravageait l'intérieur.
Je ne vivais pour que pour mon cul et par cette merveilleuse bite qui me donnait tant de bonheur, j'avais rejeté la tête en arrière et la bouche grande ouverte je râlai sans discontinuer.
Sentir la grosse pine de Kader me défoncer la pastille me rendait fou de joie, je tendais ma croupe vers cette source de plaisir pour m'offrir plus encore.
Les virils coups de boutoir que je recevais avaient achevé de me faire perdre toute notion des réalités, je me tordais sous mon amant comme un damné.
Je ne savais pas depuis combien de temps mon mec me baisait mais ce que je voulais c'est qu'il continue à me faire tant de bien le plus longtemps possible.
Dans la pièce, en dehors de mes halètements, on entendait les bruits de succion que faisait mon cul chaque fois qu'il avalait le sexe turgescent qui me forait les reins m'élargissant le fondement un peu plus à chaque poussée.
Kader avait lâché mes jambes et posé ses mains au-dessus de ma tête de telle sorte que mon derrière se relève et il me sodomisait en larges coups de reins.
Totalement abandonné je nouai mes jambes autour des reins de mon amant et passai mes mains autour de ses épaules musclées.
Mon homme m'enfilait avec des "HAN" de bûcheron, de la sueur perlait de son front et les grimaces qu'il faisait prouvaient le plaisir qu'il prenait aussi.
Le plaisir que je prenais à me faire sodomiser par une aussi grosse et longue bite était intense, je sentais des vagues de chaleur m'envahir et mes râles se muèrent en cris de volupté.
Chaque fois que mon mec s'enfonçait au plus profond de mes entrailles il disait "Tiens ma salope, prends ça dans ton cul, ah tu aimes ma bite ma petite pute, alors prends la au fond de ton joli petit trou du cul bouillant de pédale".
Ses paroles m'excitaient encore plus, j'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de boutoirs répétés que je recevais.
Dans mon corps enfiévré de bonheur seul comptait mon cul, je ressentais de telles sensations que je ne réfléchissais plus que par mon trou de balles démoli.
Le rythme auquel Kader me possédait faisait que je me sentais comme un fétu de paille balayé par la puissance de ce que je ressentais, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
A cet instant un spasme foudroyant ma balaya, mes jambes battirent l'air, mon corps s'arqua sous mon amant, je plantais mes ongles dans la chair de ses épaules, un hurlement strident pulsa de ma gorges et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Quand je revins à moi, j'étais de nouveau allongé sur le ventre, les cuisses écartées, mon homme avait glissé deux oreillers sous mon ventre pour relever mon fessier, il était toujours en train de me sodomiser en de lents va et viens, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu, tout mon être brûlait littéralement.
Mon mec sortit de mon fion explosé, il se leva du lit et vint devant moi.
Je vis sa grosse pine merdeuse et lui dis "Donne-moi ta queue, je veux te la sucer".
Kader me fourra son pieu dans la bouche, sa bite avait le goût de mon cul, elle était souillée de mon ramonage anal et contrairement à dhabitude je néprouvai aucun dégoût à sucer un sexe sale.
Je nettoyai lénorme priape avec ma langue et mes lèvres puis progressivement je l'enfonçai dans ma gorge et l'avalai du plus profond que je pouvais.
Je me mis à tailler une pipe à mon amant avec passion et amour.
J'étais littéralement folle de cette bite, je dis à mon homme "Je veux que tu me baises encore.
- Bien sur ma salope que je vais encore t'enculer, je n'ai pas encore tiré un coup moi à part ta magnifique sucette.
- Mais c'est vrai.
- Tu vas me sucer encore un peu et je vais reprendre ton joli petit trou du cul".
Nous nous sommes mis en 69, mon mec me mit un doigt dans le cul pendant que je le suçai vigoureusement.
Javais la bouche grande ouverte ne pouvant que garder son gland tout en le mordillant.
En le pompant par à-coups, je lui dis "Je t'en prie, viens dans ma bouche, vide tes couilles, je veux te boire.
- Non petite pute cest dans ton petit trou du cul que je vais vider mes couilles, je vais te baiser très fort ma salope".
Kader me mit sur le dos, il prit mes jambes et le replia vers ma tête de sorte à ce que mon illet ressorte, puis d'un violent coup de reins il s'enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l'arrière-train avec des "HAN" de bûcheron.
Je voyais entre mes cuisses son puissant phallus entrer en sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul, je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j'avais l'anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s'insinuer en moi sourdement, ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m'assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible, j'avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m'alésait le trou de balles, de ma bouche ne sortait plus qu'un "ahhhhhhhhhhhhhhhh" continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu'il continue, jamais au cours d'une enculade je n'avais joui autant, je sentais monter en moi un fade immense, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et viens effrénés, des gouttes de sueur marbraient le front de mon mec et les grimaces qu'il faisait chaque fois qu'il m'enfessait montraient le pied qu'il prenait était intense, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés, j'avais atteint le paroxysme de la jouissance, je planais littéralement sous les coups de pine redoublées, tout à mon plaisir je me mis à délirer.
Un orgasme dévastateur déferla en moi, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la pine qui continuait à aller et venir en moi, mes jambes battirent l'air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge puis je retombai lourdement sur la couche yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
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