Damien (15) Kader Suite - 5
Quand je recouvrais mes esprits, mon mec assis à côté de moi me regardai en fumant, son sexe était toujours en érection, il n'avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit "Alors c'est bon ?
- Oh oui, jamais je n'ai pris un tel pied, mais toi mon pauvre tu ne veux pas jouir ?
- Si mais après t'avoir vu toi jouir, tu sais, tu es belle quand le plaisir ravage ton visage de petite putain.
- C'est gentil ce que tu dis, mais moi je voudrais avoir ton sperme en moi.
- Je vais te le donner cette fois-ci, tu l'as bien mérité ma petite pédale, allez viens te mettre contre ce pilier en appui sur les bras, les jambes bien écartées et tends bien ton cul".
J'obéis, Kader se positionna derrière moi en m'encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.
Sous les longs coups de boutoirs de mon amant je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon homme claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me tenir au pilier pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accen la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue indéfiniment, les coups de reins de mon mec étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au creux de mes reins, mes pieds décollaient du sol, s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où seul comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier Kader éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, la tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m'écroulais contre le pilier où je me couchais en chien de fusil essayant de retrouver ma respiration.
Quand je rouvris les yeux, mon amant me regardait en souriant assis sur le lit, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis "Qu'est ce que tu m'as mis, cétait divin, jai cru que tu allais me déchirer mais quest-ce que cétait bon.
- J'en suis heureux, car il faut prendre du plaisir en faisant l'amour.
- Tu as raison mais là c'était génial la manière dont tu mas fait jouir, incroyable.
- Je te l'avais promis.
- Oui mais je naurais jamais cru autant.
- Tu sais, un joli petit cul comme le tien il faut tout faire pour bien lenculer.
- J'ai l'impression que tu es encore en moi.
- Merci ma salope.".
Kader regarda sa montre et me demanda "Es tu pressé ?
- Non pourquoi ?
- Il est l'heure de prendre l'apéritif, veux-tu rester avec moi, on va dîner et après on pourra recommencer une petite enculade.
- D'accord mais avant j'ai une question à te poser.
- Oui ?
- Est-ce que je suis à la hauteur pout tes fêtes ?
- Quelle question, bien sur que oui, tu es la meilleure baiseuse que je n'ai jamais vue, je te lai déjà dit, tu seras la reine de mes fêtes, mes invités vont tadorer.
- Merci.
- De rien".
Nous prîmes une douche réparatrice et Kader, après m'avoir prêté une gandoura, fit monter l'apéritif dans la chambre.
L'employé de l'hôtel me jeta un drôle de regard, il comprit en voyant les vêtements par terre, le lit défait et l'odeur de sperme mêlée de merde qui flottait dans la pièce que ce qui venait de se passer entre Kader et moi n'était pas une discussion d'affaires.
D'ailleurs quand il ressortit, il passa juste devant moi et dit tout bas "Tu t'es bien fait baiser zamel".
Après dîner Kader me baisa jusqu'aux premières lueurs du matin, quand il m'abandonna, j'étais couvert de sperme de la tête aux pieds, j'avais l'anus complètement éclaté et douloureux mais j'étais comblé.
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