Un Exmen Radiologique Qui Tourne À La Partouze.

Un examen de radiologie

Cette aventure nous est arrivée il y a longtemps. Chantal n’avait pas encore découvert ses tendances exhibes ni ses abandons aux perversions de son mari ou de ses amants. Elle s’éveillait lentement à la débauche, de jour en jour plus belle et désirable.
J’étais de plus en plus amoureux d’elle et accro à mes propres fantasmes, qui devenaient les siens pour mon et notre plus grand plaisir.
Il faut savoir que l’éducation et le tempérament de Chantal sont en perpétuels conflits. Jamais sinon rarement elle n’a pris des initiatives de sexe. Elle refuse toujours au départ et je dois la convaincre de me suivre et même parfois la forcer avec des arguments pas toujours chevaleresques. Ecoutez cette histoire elle montre bien le caractère de ma femme.
Nous étions invités à dîner chez un confrère radiologue. Huit autour de la table. Tous des confrères accompagnés de leur épouse. La femme de notre hôte est une femme particulièrement belle. La trentaine à peine, grande à la chevelure blonde. Elle est habillée très sexy et attire tous les regards. Sachant cela j’avais demandé à Chantal de faire un effort de toilette. Ce qu’elle avait fait en rassemblant ses plus beaux atours pour un résultat particulièrement réussi. C’étaient les deux plus belles femmes de la soirée.
Au cours du repas on en vient à parler métier. Notre hôte nous parle de son nouvel appareil de radio, un système scanner qui réclame d’immobiliser complètement le patient. Il est attaché sur une chaise, tête, bras, tronc et jambes retenues pas des sangles et des attaches, seuls les yeux peuvent encore bouger ! C’est un impératif technique.
C’est la femme du radiologue qui décrit la machine !
- Une mentonnière dit-elle, maintient la mandibule du patient, deux pattes aux tempes l’empêchent de tourner la tête, une autre lui immobilise le front. Deux têtières derrière, un appui sur la nuque finissent l’immobilisation de la tête ; les épaules sont plaquées au dossier du fauteuil par une sangle.

Une ceinture complète l’immobilisation au dossier bien vertical du fauteuil.
Tout en parlant, son visage montre son excitation.
- Des sangles aux cuisses, aux mollets et aux chevilles immobilisent les jambes. La patiente est complètement immobile pour subir son examen.
Sans s’en rendre compte, son patient est devenu une patiente, et tous autour de la table on s’imagine facilement que c’est d’elle dont elle parle.
Bien sûr, la conversation dérive alors vers le bondage et le sadomasochisme. Une autre femme reconnait que cela doit être excitant d’être ainsi attachée, immobilisée, à la merci du praticien. Notre hôte ne manque pas de dire que lui aussi il lui est arrivé de penser cela alors qu’il avait attaché quelque patiente jolie. On s’enfonce de plus en plus dans le sexe : abusées, violées, tous les fantasmes y passent. Se sentir en danger fait vibrer les femmes, les soumettre excite les hommes.
Chantal reste plutôt silencieuse. Je sais qu’elle n’est pas attirée par ces pratiques (quoi que…). Une seule fois elle a accepté de se laisser menotter à une barre dans notre salle de bain et de faire l’amour dans cette position. J’en ai fait un film. Elle dit ne pas comprendre où est le plaisir.
En rentrant dans l’auto je lui parle de mon confrère qui a bien de la chance d’avoir une femme si sexe qui a l’air de répondre à toutes ses attentes. Elle piquée au vif, se sentant attaquée.
- Il a dû certainement l’attacher et jouer à r d’elle dis-je par provocation.
- Certainement et je suis sûr que tu aurais aimé être là pour regarder me répond-t-elle vexée !
Les jours qui suivent je lui parle plusieurs fois de ce repas et je m’aventure même à lui dire que cela m’exciterait si elle se retrouvait dans cette situation de femme soumise, de se plier à cette immobilisation. Elle me traite plusieurs fois de fou, d’obsédé. Pourtant, à ma grande surprise un jour, je la sens qui fléchis.
J’appelle mon confrère et lui avoue mon fantasme.
Je lui mens un peu :
- Tu sais, ma femme a été troublée par ce qu’à raconté ton épouse l’autre soir. Je suis sûr qu’en préparant un scénario plausible, elle accepterait de se laisser faire.
- Cela ne m’étonne pas dit-il, j’ai amené Jeanne au cabinet et je lui ai fait l’amour attachée et elle en garde un souvenir fabuleux. Tu as bien entendu comment elle en parle ! Si Chantal accepte, je veux bien la soumettre au supplice de la chaise !
Quand je raconte notre conversation à Chantal, je vois bien qu’elle a envie de se comparer à la femme de mon confrère : jalousie ? Orgueil ? Je crois que ce sont toutes ces idées qui la font accepter. Il me faut encore quelques jours d’harcèlement et je me lance.
Rendez-vous est pris sous prétexte médical.
Dans la salle d’examen, mon confrère est assisté d’une opératrice. Chantal porte une robe légère attachée sur le devant comme c’est l’été. Une ceinture noue sa taille. Elle ne voit pas d’un bon œil la présence de l’assistante surtout qu’elle est plutôt moche avec un regard lubrique.
Quand elle enlève son manteau, chacun voit bien que sa tenue légère est plus destinée à montrer qu’à cacher. On l’assoit sur le fauteuil, et déjà la robe s’ouvre jusqu’à mi cuisse découvrant ses jambes nues. Etonnant, mais l’opératrice mate, ce qui à l’air de ne pas déranger Chantal. Mon confrère aussi n’est pas à l’aise. La situation l’excite et il ne se gêne pas pour reluquer les jambes nues tout en feignant le professionnel qui bosse.
Il fixe la tête : menton, tempes, têtières. C’est la femme qui passe la sangle sur les épaules, juste au dessus de la poitrine. En passant elle étire la robe qui s’ouvre découvrant le soutien gorge et ne fait rien pour le cacher. Le dos plaqué contre le dossier droit, les seins sont portés en avant et gonflent au dessus du soutien gorge. La femme feint d’être préoccupée par son travail. Chantal déjà en partie attachée ne bouge pas. Elle se laisse faire, soumise. Quand on lui ceint la sangle à la taille, la robe s’ouvre un peu plus montrant une partie de la peau du ventre.
Un bouton même lâche, faisant apparaître une partie de sa culotte blanche. L’assistante continue sa ligature. Elle écarte les jambes pour attacher une cuisse puis l’autre au pied de la chaise. Elle continue par les mollets et enfin les chevilles. Chantal est maintenant maintenue écartelée sur ce fauteuil. On lui voit une partie des seins, de sa culotte et ses jambes qui sont dénudées jusqu’en haut des cuisses.
Sa robe n’est plus maintenue fermée que par un bouton à la taille et un autre au niveau du nombril. C’est alors que la fille décide de bien ajuster le vêtement sous les sangles pour éviter qu’il ne se froisse. Comme elle n’y parvient pas car elle semble très enserrée, elle décide de défaire les derniers boutons et d’ouvrir carrément la robe dévoilant Chantal en sous vêtements. Toujours avec une contenance très professionnelle. Il n’y a de doutes, c’est un examen radiologique.
Pour faire glisser le vêtement, elle ne se gêne pas pour peloter en passant, les seins et le ventre. Mon confrère aussi prétextant de régler la pose, il prend sa patiente aux épaules pour la bouger. Il prend les cuisses aussi. En fait ils sont tous les deux en train de peloter hypocritement la femme immobilisée sur leur fauteuil. Professionnellement. Rien à dire ni sous entendre. On examine. Je mate. On mate. Un instant de silence : la patiente est en place, fixée, docile, elle attend. On ne joue plus.
Pourtant petit à petit les deux professionnels se dévergondent, surtout que visiblement Chantal montre des signes de plaisirs. Elle respire de plus en plus vite alors que les mains prennent possession de son corps. Mon confrère a desserré la sangle au niveau de la poitrine et a sorti les seins de leur soutien gorge. Il les prend à deux mains pour les malaxer fébrilement. Il les claque délicatement pour les faire vivre. Il est tout rouge. Moi, je regarde. Se penchant sur la poitrine il prend un téton tout dressé entre ses lèvres et le suce sans retenue. Tableau : une main qui pelote un sein et une bouche engloutit entièrement l’autre à sa portée.

La nana, elle, a écarté la petite culotte de Chantal dans son entre jambes. Elle caresse doucement son pubis, faisant glisser ses doigts entre les poils. Elle met à la lumière les lèvres qui sont déjà toutes luisantes de mouille. Chantal est excitée ! L’infirmière découvre le petit bouton qu’elle fait rouler entre ses doigts. Ce faisant, elle regarde Chantal droit dans les yeux en signe de possession.
- Je te tiens, salope. Tu vas jouir.
Chantal lui soutient son regard en reconnaissance de sa complicité. Faisant entrer un doigt dans la vulve maintenue béante, elle entreprend de la branler. D’un doigt d’abord puis de deux. Chantal essaie bien de remuer sous les caresses mais elle est bien maintenue immobilisée de la tête aux pieds.
Mon confrère la suce de plus belle, puis il quitte les seins pour s’emparer de sa bouche qui s’ouvre pour lui rendre le baiser. Chantal, c’est sûr maintenant, participe soumise mais consentante à son viol. La fille s’est agenouillée entre ses cuisses, lui baissé sa culotte légèrement et après lui avoir ouvert le sexe de ses doigts elle s’est mise à lui sucer la chatte. Sa langue agile pénètre le sexe et l’excite. Elle s’empare du clitoris qu’elle suce en aspirant le bouton. Des bruits de mouille s’échappent de l’entre cuisse de la femme liée. La suceuse boit carrément la cyprine à la source. Je n’ai jamais vu ma femme mouiller autant. Tout le visage de l’assistante est souillé de cette mouille. Soudain, Chantal jouit immédiatement en laissant échapper des petits cris. Quand elle se ressaisit, elle demande à être libérée après toutes ces caresses. Pas question !
Le radiologue a sorti sa bite et s’active. J’en fais autant. Et tous les deux en même temps on se libère sur le corps prisonnier de la jolie femme liée devant nous. Le foutre s’éclate sur les seins, le ventre, les cuisses. Mon complice s’est approché pour éjaculer sur son visage : du sperme atterrit sur les lèvres, une autre giclée sur un œil et un dernier dans ses cheveux.
On est tous les quatre repus.
Les deux opérateurs la détachent lentement tout en continuant de profiter de la situation. La fille s’attarde sur sa poitrine, l’embrasse pleine bouche, le radiologue quand il dénoue les sangles des jambes en profite pour glisser une main entre les cuisses et caresser les fesses à même la peau. Je devine même que quand Chantal a un petit sursaut, c’est qu’il a dû lui introduire un doigt dans le petit trou et qu’il lui a branlé rapidement le cul. Chantal se laisse faire mais montre des signes de fatigue.
Libre elle se rhabille et nous partons ravis tous les deux de cette aventure peu ordinaire.

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