Un Séminaire Étonnant
La vie est parfois étrange, si je métais dit il y a deux mois que je deviendrais accro aux hommes, je ne laurais jamais cru.
Comme tous les garçons, jai joué à touche-pipi vers lâge de 10 ans, je ne me cache pas que jaimais bien caresser les petites bites de mes camarades et généralement je me laissais faire quand on me touchait la mienne, je dois même dire que cela me procurait assez de plaisir. A ladolescence, je me suis fait sucer par un camarade de classe dans les toilettes du lycée, il passait pour le PD du lycée et avait mauvaise réputation aussi, les 3 ou 4 fois ou je me suis fait sucer, étaient assez discrètes mais jy avais pris du plaisir.
Ensuite, ma sexualité sest plutôt tournée vers les femmes, mais malgré le mariage, je ne peux pas dire que je mépanouissais sexuellement. En plus jétais éjaculateur précoce, ce qui actuellement est une tare rédhibitoire dans notre société de macho.
Enfin, la morosité sexuelle de ma vie, a fait que je me suis donné à fond dans mon travail et dans le sport. Pas de maitresse, pas de faux pas, et ma femme na jamais été porté sur la chose non plus.
Actuellement, jai 50 ans. Il y a deux mois je suis parti en séminaire à Blois, superbe résidence, très classe et tous les cadres sup de ma boite se sont retrouvés là pour 4 jours.
Par malchance, je suis arrivé le dernier pour mentendre dire quil ny avait plus de chambre libre, je me montrais très contrarié et assez mécontent. Lorganisateur du séminaire, très cire pompe, mexpliqua que cétait imprévisible, quil sexcusait et quil allait faire quelque chose pour cela. Jen profitais pour aller au cocktail de réception et dans le temps me liait avec un autre quinqua de la boite qui travaillait sur Rouen. Dans la discussion, je lui racontais mon malheur et il en vint à me proposer de partager sa chambre, il avait un immense lit, de plus de 2 mètres me dit-il et cela ne le gênait pas. Il était vraiment très sympathique et pas stupide aussi jacceptais.
Je vous passe les rituels de discours, et le repas du soir plus quarrosé. Vers minuit et demi, nous sommes monté nous coucher, pas très frais mais de très bonne humeur. Quelques palabres de politesse pour savoir qui allaient prendre sa douche en premier, il y alla et jen profitais pour allumer la télévision. Par chance je suis tombé sur un film de boules sur canal+, je nen perdais pas une miette jai un caractère assez voyeur. Mon collègue, qui sappelle Guy, sorti de la douche et me dit quil ne fallait pas que je me gène, que lui aussi aimait regarder ces films. Jen profitais pour aller me doucher, je ressorti la serviette autour des hanches pour apercevoir Guy en train de se masturber devant la télévision. Gêné, il sexcusa, éteignis la télé et se coucha. Je mis mon pyjama et me couchait aussi. Moi qui adore dormir nu, pour une fois javais pensé à mettre un pyjama dans ma valise. Nous avons éteint les lumières mais malgré tout, à travers les rideaux filtrait léclairage du parking de lhôtel.
Après, quelques minutes, Guy me demanda si je dormais, je lui répondis que non, et il commença à sexcuser pour sêtre laissé aller à se donner en exhibition, quil était très confus, quil ne voulait pas que cela me gène etc
..
Je lui répondis que cela ne me gênait pas, que moi-même cela marrivait sous ma douche de le faire, et de fil en aiguille nous nous sommes mis à parler de nos femmes respectives. La sienne ressemblait étrangement à la mienne, un peu frigide, pas de fellation et pas porté sur le sexe.
Puis nous nous sommes raconté nos expériences de jeunesse et jen vins à lui parler des fellations du PD du lycée quil me faisait dans les toilettes. Il me dit que lui aussi il avait eu cette expérience avec un ami quand il avait une vingtaine dannée et quil en gardait un très bon souvenir, et même quil avait été un peu plus loin, sans me dire quoi. Ces récits mutuels de sexe mont fait bander, et je me tournais sur le ventre pour masquer mon érection.
Au milieu de la nuit, couché sur le coté, jai senti une main se poser sur mon sexe. Je nosais pas bouger, Guy avait insinué sa main dans mon pantalon de pyjama, et me caressait doucement ma queue, je bandais comme jamais, je ne savais pas si je devais retirer cette main ou le laisser faire. Cela me procurai une certaine jouissance, mais je culpabilisais de me laisser faire.
Voyant que je ne réagissais pas, il me demanda si jaimais, je lui répondis que oui, et il me dit que lui aussi ca lui plaisait. Dans la pénombre je le vis se redresser, retirer les draps et se mettre au dessus de moi. Il me baissa doucement le pantalon de pyjama et se saisi de ma queue raide. Il me dit que javais un sexe très mignon aussi gros que le sien et en profita pour se débarrasser de son slip. Je pus voir un sexe moyen, pas très gros, circoncis, en érection. Il se baissa sur mon ventre et je senti sa bouche gober ma tige. Quelle sensation, je me laissais faire, cela faisait bien trente ans quon ne mavait pas sucé. Je lui dis que je ne résistais pas beaucoup, et il me répondit de me laisser faire. Il suçait comme un dieu, ses lèvres chaudes enveloppaient bien le bout de ma tige, et il finit par tout engloutir dans sa bouche. C'était magnifique, il suçait, me branlait, aspirait légèrement. Je me donnais entièrement à lui et je crus que j'allais éjaculer très vite mais Guy avait lair de sy connaitre et il ralentissait la montée de la sève en appuyant sur le périnée. Puis il reprenait sa suce délicate et ô combien jouissive.
Il me demanda si je voulais essayer. A demi dans un coma de jouissance je lui dis pourquoi pas. Il se déshabilla complètement et me retira mon haut. Il admirait mon corps de sportif, et me caressait la poitrine, javais déjà remarqué que jétais sensible des têtons quil me suça puis se mis tête bèche sur le lit, se remit à me sucer et me présenta sa queue.
Force était de constater que c'était bon. Je prenais plaisir à sucer un sexe d'homme et à entendre le plaisir que je procurais. Je me suis enhardi et j'ai commencé à accélérer mes mouvements. Sa respiration est montée d'un cran et ses gémissements étaient plus forts. Je branlais sa queue tout en la pompant. Je suçais ses couilles en le masturbant puis remontais avec ma langue tout le long. Et j'avalais son sexe. Je le sentais de plus en plus excité et il me dit quil allait jouir. Il accéléra son rythme et ensemble nous avons joui dans la bouche lun de lautre. Jétais tendu comme un arc, je navais jamais ressenti une jouissance comme celle là. Javalais son sperme, je nosais pas le recracher sur le lit, ce nétait pas très bon, mais pas désagréable. On a continué à se sucer réciproquement jusquà ce quon débande. On est allé faire un brin de toilette et on sest recouché.
Jai dormi comme jamais. Le réveil sonna et on décida daller ensemble se doucher. Il saccroupit et se remis à me sucer. Cétait encore meilleur que la première fois, il me titillait lanus avec son autre main ce qui me fit éjaculer encore plus rapidement et il en profita pour glisser un doigt dans mon anus et caresser ma prostate. Je ne vous dis pas leffet que cela a produit, jen finissais plus de jouir. Dés mon plaisir pris je voulais lui rendre un peu de la jouissance quil mavait donné. Je le conduisit sur le lit, le mis sur le dos et je le suçais. Son sexe était beau pas très gros et pas très long mais bien érigé avec un joli gland que je décalottais.
Je léchais son gland doux et soyeux son frein, son sexe sur toute la longueur.
Remis de nos émotions nous nous sommes habillés et descendus prendre notre petit déjeuner. Comme si de rien nétait, chacun dans son coin.
La journée fut longue, je me posais plein de question, tout avait été si vite. Mais je néprouvais aucune honte Javais même hâte dêtre au soir.
Dès que nous sommes arrivé dans la chambre, nous nous sommes déshabillé rapidement et direct sous la douche, on bandait déjà. On se caressait le sexe, il me suça et comme le matin il glissa un doigt dans mon anus. Tout en me suçant il me pénétrait. Cela me procurait réellement du plaisir. Il arrêta à mon grand regret et me dit que ce serait mieux sur le lit. Il continua à me sucer et me doigter, non avec un mais deux doigts, puis il me lécha lanus, jamais on ne mavait fait cela, je découvrais de nouveaux plaisirs, il me léchait et me pénétrait de ses doigts. Je me laissais faire, je nétais plus quun pantin de plaisir. Il mallongea sur le dos. Sa langue frétillait contre ma rosette et me pénétrait doucement puis de plus en plus vite, je redressai mon bassin pour quil me pénètre encore mieux. Jamais je navais éprouve un plaisir aussi intense et il vint se coucher sur moi Je sentais son gland qui appuyait sur ma rosette toute humide de ses lèche et doucement il me pénétra tout doucement sans violence. Pas un brin de douleur mais un soulagement jouissif.je le sentais bien abuté au fond de moi. Les poils de son pubis frottaient contre mes fesses. Et il se mit à me sodomiser par un lent va et viens puis à grand coup de queue très ample. Je jouissais sans interruption. Cétait lextase. Il me redressa et me prit en levrette. Je me surpris à avoir des comportements de femme, je gémissais à chaque coup de rein. Puis il me retourna et me pénétra par devant, mes jambes sur ses épaules. Cétait tellement bon de sentir sa queue aller et venir dans mon cul. Il sortait presque de mon trou pour mieux y plonger profond et sa bouche se colla contre la mienne, sa langue senroula à la mienne quand jai senti son sexe qui gonflait dans mon cul et qui déchargeait. Le frottement de son ventre sur ma queue et la sensation de son sperme chaud dans mon fondement me fit décharger aussi. Il me dit ensuite quil mavait embrassé pour mempêcher de crier, je ne men rappelais plus. Nous avons passé la nuit à baiser. Les caresses et nos bouches redonnaient de la vigueur à nos sexes. Il me demanda de le sodomiser aussi, il alla dans la salle de bains, pris le savon, sen enduisit lanus et il se planta doucement sur moi. Jai beaucoup aimé le baiser, il avait un anus très serré et cela me procurer des sensations nouvelles.
Au fur et à mesure de notre séminaire, nous nous sommes découvert une lubricité commune. Dès que nous le pouvions nous montions dans la chambre pour se donner du plaisir, sans pudeur, avec aucun interdit. Il me demanda même dans la douche, de lui uriner dessus, bien que cela me choquait je le fis pour son plaisir, et il me suçait en même temps. Jessayais pour ressentir ce plaisir, mais pas dans ma bouche. Effectivement cest agréable cette sensation de chaud sur le corps.
Nous nous revoyons toujours, à lhôtel. Cest incroyable le nombre de fois ou je dois aller à Rouen pour le travail. Ma femme ne se doute de rien et tant mieux.
Je ne regrette rien et lui non plus.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!