Na Leslie Tr 09

Leslie à Paris – P09 – Une amante de Laure, Sylvie.

Sylvie, la rencontre d’une amante de Laure.
Laure, a invitée son amie Sylvie à passer le week-end à la maison, je sais de la bouche de Laure que Sylvie est son amante et bien que lesbienne elle ne déteste pas les hommes et à des relations avec eux, Laure rajoute :
- Tu verras Sylvie est très libre et adore s’exhiber et provoquer.

Le vendredi soir suivant alors que je viens de rentrer je retrouve Sylvie et Laure qui sont installées nues dans le salon et conversent tranquillement en buvant un rafraichissement.
Je monte me changer dans ma chambre et après avoir pris une douche, je viens les retrouver, en kimono, dans le salon. Tandis que je me sers un verre, j’entends Laure et Sylvie parler de sexe et échanger sur les diverses pratiques qu’elles utilisent avec leurs amants et amantes, ouvrant les yeux je vois que les deux femmes se branlent l’une devant l’autre et prennent un plaisir non dissimulé.

Sylvie est une jeune femme de 22 ans, menue aux petits seins et au pubis taillé ras en V, laissant sa chatte et son anus lisse comme une jeune pucelle, mais avec son air de jeune femme aimant le sexe je pense qu’elle ne doit plus l’être depuis longtemps. Sans me mêler de la conversation je les écoute en observant les deux jeunes femmes complices.
Laure amène des plateaux repas et nous prenons une collation tout en continuant la conversation, les allusions de Sylvie vont bon train, sachant que je suis transexuelle, elle ne se gêne pas à faire des allusions en disant :
- Laure m’a dit que tu fais bien l’amour.
Ou bien :
- Bien que je sois bisexuelle, je ne me suis jamais fait sauter par une transexuelle.
Ou encore :
- J’ai le petit trou qui frémit quand je pense que Leslie peux venir dans ma chambre ce soir.
Après diner et après avoir regarder un film, nous nous disons bonne nuit, c’est le moment ou Laure me dit :
- Vas voir Sylvie, je pense qu’elle t’attend, elle te désire et elle me l’a dit et c’est pour cela qu’elle à tenue à dormir seule cette nuit, ne t’inquiètes pas je ne suis pas loin et je vous rejoins dès que le moment sera venu.

Sylvie, dans l’intimité.
Je vais donc retrouver Sylvie dans la chambre d’amis pour me consacrer à ses désirs.
Sylvie est entièrement nue sur le lit, et me voyant elle me dit :
- Viens, je veux que tu me baises, je veux te sentir en moi et que tu profites aussi de mon petit cul.
Elle s'est couchée sur le dos les jambes largement écartées.
Je me positionne aussitôt la tête entre les cuisses de Sylvie et commence par lécher son sexe en prenant ses seins dans mes mains, Sylvie ferme les yeux en gémissant, dans un souffle elle me dit :
- Oui Leslie, rends moi folle avec ta langue, vois comme je mouille pour toi.
Effectivement sa chatte ruisselle de mouille, je l’ouvre écartant les lèvres de mes doigts et y enfonce la langue, à ce moment je bande comme un taureau, je me suis relevée d’entre ses cuisses et positionnant mon sexe devant sa chatte je le lui ai enfoncé d'un coup sec la faisant crier.
- Ohhh, oui c’est bon.
Par de amples coups de reins je me suis mise à faire l’amour à Sylvie, je vois ses seins qui danse au rythme de mes pénétrations, je vais et vient dans sa petite chatte qui enserre mon sexe, Sylvie est étroite et c’est bon, elle délire lorsque mon sexe entre en elle et elle crie doucement quand elle sent mon sexe cogner au font de sa chatte.
Elle m'entoure les hanches de ses jambes, en se mordant les lèvres pour ne pas hurler comme une folle, mais ses soupirs se font de plus en plus courts.
Je lui relève les jambes pour mieux la posséder, ainsi livrer je caresse d'un doigt son anneau intime, puis enfonce un doigt dans ce petit trou aux bords plissés, elle serre les fesses pour enserrer mon doigt comme pour me faire sentir tous ses désirs.
Sylvie me provoque du regard, ses yeux embrumés de plaisir sont légèrement dans le vague, et elle me dit :
- Encules moi !
Je retire mon doigt de son cul et je la retourne pour la positionner en levrette, je lui écarte les fesses et découvre son petit anneau plissé et complètement fermé, j’ai saisie ses hanches et je me suis enfoncée à nouveau profondément dans sa chatte, afin de bien m’enduire le sexe de sa jouissance, je bande comme une folle et Sylvie repart dans la jouissance en sentant mon sexe en elle, elle hurle de plaisir :
- Ohhh, je jouis, c'est bon, c'est gros, mais c’est bon.
Sylvie est en délire, elle remue du cul et va au devant de mes pénétrations en criant son plaisir, mon membre entre et sort dans un rythme soutenu, Sylvie se cambre parcourue de frissons et jouis de tout son corps, la tête sur le lit elle est cambrée et offerte, son anus à la merci de mes futurs assauts, je me retire d’elle et présente mon sexe à l'entrée de son cul, Sylvie par réflexe referme ses fesses en disant :
- Doucement, Leslie, doucement ton sexe est trop gros, je vais hurler et tu vas me déchirer.
Je pousse doucement et mon gland écarte les chairs intimes de Sylvie, qui souffle bruyamment, je pousse et le gland passe, un :
- Ohh, sort de la, dit Sylvie.
Je pousse encore et entre doucement et je me retrouve en elle enfoncée en elle jusqu'aux couilles, enfoncée dans son petit cul, je commence à aller et venir en elle, je sens ses muscles me presser le sexe, puis Sylvie se détendit afin que je puisse la sodomiser.
Je l'encule par des pénétrations profondes, puis lentes, elle s'ouvre au maximum et commence à onduler furieusement, et à me dire :
- Doucement tu vas finir par me déchirer avec ta grosse queue.
Mais le plaisir monte en elle, Sylvie s’ouvre de plus en plus aux pénétrations de mon sexe dans son petit trou, sa tête ballote de gauche à droite, elle hurle de plaisir sans se soucier de savoir si elle va réveiller Laure, en me criant :
- Oui, vas y maintenant, encules-moi bien à fond.

C’est à ce moment là que Laure est entrée dans la chambre, elle nous regarde en souriant et nous dit :
- Vas-y ma chérie, défonce lui son petit cul et fais-la hurler.
J'agrippe les hanches de Sylvie et donne des coups de reins en elle, je la maintiens et la tire à moi par les hanches à chaque pénétrations, lui tirant à chaque fois des :
- Ohhh, ohhh, mon dieu, ohhh.
Soumise Sylvie se fait sodomiser sous le regard attentif de Laure que se branle, je sens la jouissance venir et monter en moi et je jouis longuement dans le cul de Sylvie qui hurle de plaisir.
Ivres de plaisir et de jouissance nous nous sommes allongées sur le lit où nous nous sommes endormies toutes les trois.

Sylvie, dans la nuit.
Dans la nuit je me suis réveillée, encore toute excitée par la soirée que nous avons passées avec Sylvie et Laure.
Je découvre Sylvie endormie sur le ventre les jambes et cuisses écartées, je pense que sa petite rondelle doit encore être entrouverte et prête à m’accueillir, pour vérifier je passe un doigt dans sa raie et entre en contact avec sa petite rondelle qui effectivement est restée entrouverte, Sylvie bouge, soupire et écarte un peu plus ses cuisses, j’en profite pour lui toucher son clito et constate qu’elle commence à mouiller, du doigt je caresse son clito lui tirant un gémissement, alors je m’installe entre ses jambes, écarte ses fesses et regarde son petit trou qui frémit et est encore légèrement ouvert de ma sodomie de la veille au soir.
Je m’empare de ma queue et la pointe à l'entrée de son cul, inconsciente elle écarte largement ses fesses, et d’une poussée mon sexe entre dans son cul, son trou est serré malgré la sodomie que Sylvie à subit hier soir, elle se réveille et elle me dit :
- Arrêtes, tu m'as défoncée le cul, je t'en supplie pas tout de suite.
Malgré sa remarque Sylvie m’accueille dans ses fesses et je me retrouve au fond de son trou.
Je l'encule à fond, à chaque poussée elle crie et réveille Laure qui nous regarde en disant :
- Eh bien quelle santé !
Alors que je démarre un lent va et vient en lui tenant les hanches, Laure se retourne en nous disant :
Bon j’ai sommeil, faites pas trop de bruit et toi Sylvie évite de gueuler quand tu te fais sodomiser.

Je pousse plus fort au fond du cul de Sylvie qui me dit :
- Jamais je n’ai imaginée qu’une queue comme la tienne puisse entrer dans mon cul, j'ai eu un peu mal, hier, au début mais maintenant je jouis comme une folle par ce coté là.
- On s’en fout de tes impressions, dit Laure à demie endormie.
- Quel membre ! C’est bon, encules-moi bien à fond.
Je lui enfonce mon membre au fond de son cul, elle gémit, ma sexe entre et sort facilement, Sylvie hurle de plaisir en disant :
- Oui ! Oui !
Elle jouis comme une folle et s’offre à moi sans retenue, je l’encule de plus en plus fort, Sylvie s'offre sans pudeur, en me disant qu’elle aime que je l’encule et que d’avoir mon membre au fond d’elle introduit par le côté interdit et tabou pour bon nombre de femme la fait jouir, elle adore se faire enculer. Je jouis en elle et je lui remplis le cul de ma jouissance en lui disant :
- Demain, je t’encule debout.

A suivre……