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Leslie à Paris – P11 – Les confessions de Sylvie.

Durant notre brève relation avec Sylvie, celle-ci, un soir, dans mes bras m’a faite la confession suivante :

« C’est alors que je n’avais que seize ans que j’ai connu ma première relation avec un homme.
Ma sœur, Carole, plus âgée que moi venait de se marier à l’âge de 22 ans avec un homme vraiment beau qui me faisait fantasmer, n’ayant pas connue d’homme je le regardais avec désir et envie.
Je dois avouer que depuis longtemps je me donnais souvent du plaisir avec mes doigts et que j’arrivais facilement à me faire hurler de plaisir, mais je rêvais de connaître l’étreinte avec un homme et sentir sa virilité en moi.
Ma sœur depuis longtemps avait elle connue le plaisir et la jouissance dans les bras d’un homme, car elle ramenait souvent des hommes à la maison et lors de ses moments passés dans sa chambre je l’avais entendue crier sa jouissance, encore trop jeune à l’époque je ne pouvais que rêver à ce premier homme qui entrerait son sexe en moi et me ferait hurler tout comme ma sœur.

Nos parents étant basés à l’étranger pour raisons professionnelles nous habitions toutes les deux dans l’appartement familial laissé à notre disposition et quand Carole s’est mariée c’est tout naturellement que Claude s’installa avec nous, il faut dire que l’appartement était suffisamment grand pour l’accueillir sans poser de problème.
Etant très libres, ma sœur et moi avions coutume de vivre nues ou presque nues et l’arrivée de Claude parmi nous ne changea rien de nos habitudes et c’est souvent que nous nous croisions mutuellement dans le plus simple appareil dévoilant nos nudités au regard de chacun. C’est ainsi que j’ai constatée que mon beau-frère était bien membré, cause certaine des hurlements de ma sœur la nuit.

Donc en attendant de trouver un appartement ils vivaient dans l’appartement de mes parents avec moi, et nous nous partagions les tâches ménagères comme par exemple faire la cuisine ou la vaisselle à tour de rôle et ce souvent par deux suivant les disponibilités de chacun.

Ce soir là, c’était Claude et moi qui devions faire la vaisselle et pendant que nous la faisions nos mains se frôlèrent de tant à autre tandis que nos regards se croisaient, Carole, infermière dans un grand hôpital, étant occupée à réviser ses cours pour l’examen prochain afin de devenir chef de service.

Souvent en faisant la vaisselle Claude et moi chahutions en nous aspergeant d’eau, ce qui fait que ce soir là après avoir terminés notre ouvrage je me retrouvais avec le chemisier qui collait à mon corps et sans soutien gorge il laissait entrcevoir la pointe de mes seins. Mon beau-frère n’ayant pas les yeux dans sa poche me complimenta sur ma petite poitrine, et sans me laisser le temps de réagir il s’approcha de moi par derrière.
Je sentis son souffle dans mon cou et se collant à moi partagea sa virilité se collant contre mes fesses, c’était très dur et Claude me dit à l’oreille :
- Tu vois dans quel état tu me mets petite belle sœur !
Me retournant, je vis une lueur dans ses yeux et lui répondis que j’étais vraiment désolée et que je m’excusais que ce n’était pas le but de nos jeux.
Mais Claude commença à caresser mes seins, puis introduisit sa main sous mon chemisier pour me caresser les seins, il me dit :
- Laisses toi faire et je te pardonne.
- Non, Claude laisse moi, répondis-je faiblement.
- Carole est occupée et je sais que tu as envie de moi.
- Mais je n'ai encore jamais fait l’amour et tu es mon beau frère.
- Carole est bisexuelle et nous sommes très libres, alors ce n’est pas un problème.
Puis sans me laisser réfléchir il m’enleva doucement mon chemisier et se mit à caresser mes seins.
Je ne pus résister et me laissais aller, c’était la première fois que je ressentais une telle sensation. Des frissons envahirent tout mon corps. Puis doucement il baissa son pantalon et me demanda de m’agenouiller.
C’était la première fois que j’avais le sexe d’un homme aussi près de mes yeux et de ma bouche et en plus d’une telle taille, en pleine érection à cet instant, je pris le membre de Claude tendrement en main et embrassai le gland du bout des lèvres. Puis doucement j’entrouvris les lèvres afin de rentrer son sexe lentement dans ma bouche.
Après un instant je sentis le sexe de Claude frémir entre mes lèvres alors il s’empara de mes cheveux et se mit à rythmait mes va et vient.
Cela lui plaisait car je l’entendis gémir.
Puis brusquement son sexe se mit à palpiter dans ma bouche et je sentis un liquide chaud envahir ma bouche par saccades, puis il sortit son sexe de ma bouche en disant :
- Tu suces bien pour une petite novice.
Son sperme coula de ma bouche je me mis à lécher son gland avec tendresse, avant de nous quitter il rajouta :
- La prochaine fois je te ferais l’amour !

Le lendemain je n’osais regarder ma sœur dans les yeux, comme si je ma sentais coupable, par Claude ne montrait aucun gène et chaque fois que nous nous rencontrions il ne manquait pas l’occasion de me caresser discrètement les seins.
Un soir, quelques temps plus tard alors que ma sœur était de garde de nuit, après le diner, je suis montée directement me coucher dans ma chambre et je me suis endormie aussitôt.
Dans la nuit je sentis le drap descendre discrètement pour me découvrir et une main s’incruster dans mon entrejambe. Je me réveillais en sursaut et découvrit Claude près du lit la main sur ma vulve me regardant nue.
Il se pencha vers moi et commença à m’embrasser.
Je me sentis aussitôt très excitée, il pouvait me voir nue et pratiquement à sa merci. Il s’approcha et embrassa ma poitrine, puis descendit doucement vers mon ventre, s’arrêtant sur mon nombril pour le titiller et faire monter en moi des frissons, puis descendant encore il commença poser ses lèvres sur mon pubis.
Doucement il embrassa mes lèvres puis me fit écarter grand les jambes, pour m’offrir encore plus, sa langue entra dans ma chatte me faisant pousser un gémissement.
Puis ensuite se fut mon clitoris avec lequel il se mit à s’amuser le mordillant du bout des dents.
Il était nu et me rejoignit dans le lit en se glissant contre moi, il s’allongea et se remit à m’embrasser.
Je sentis son pénis dur contre mon ventre et le prenant dans une main il le guida vers ma chatte et se mit à caresser mes lèvres intimes avec le gland, je frémis à l’idée d’avoir ce gros sexe de plus de vingt centimètres en moi et qui plus est allait me déflorer, mais Claude sentis mon inquiétude et me dit :
- N’aie pas peur petite chérie, au début ce sera un peu douloureux mais après tu vas aimer.
Alors tout doucement, il commença à pénétrer en moi. Lentement il progressait jusqu’à venir buter sur mon hymen, alors il fit une pause afin de me rassurer et de me détendre en me caressant tout le corps.
Puis ses mains se posèrent sur mes fesses afin de me maintenir fermement et poussa son sexe en moi d’un coup de reins déchirant mon hymen sous la pression d sons sexe, à cet instant je ressentis une vive douleur et des picotements dans tout le corps me faisant pousser un cri étouffé.
Alors il s’immobilisa en moi quelques instants pour que je m’habitue à ce sexe en moi puis entreprit des va et viens lents et continus.
La douleur fut vite remplacée par le plaisir alors il me pénétra de plus belle accélérant le rythme.
Après un moment je sentis les parois de mon vagin se contracter et se refermer autour du membre qui me possédait, je compris alors que j’étais en train de jouir pour la première fois.
Il s’en rendit compte et redoubla de vaillance me tirant des cris de jouissance.
Après un moment de repos je lui demandais de me reprendre afin de jouir en moi et me remplir de sa semence, j’étais vraiment excitée et jouis deux fois de suite avant qu’il ne jouisse en moi en longues saccades.
Puis après être sortit de moi il m’embrassa pour me souhaiter bonne nuit en me disant que la prochaine fois Il sortit de ma chambre en me disant que prochainement fois, il me fera découvrir les joies de la sodomie.

Claude est revenu dans ma chambre deux jours plus tard profitant une nouvelle fois de l’absence de Carole qui travaille, c’est samedi après-midi et je me détends en lisant allongée nue sue mon lit.
La porte s’ouvre et Claude m’apparaît nu dans l’encadrement le sexe dressé, à la vue de Claude se présentant à moi dans le plus simple appareil je commence à mouiller et je sens ma chatte devenir humide.
Revoir ce beau membre dressé qui m’avait donné tant de plaisir deux jours auparavant me donnais des désirs, mais je remarquais que non seulement le sexe de Claude est long mais de plus ce que je n’avais pas remarquée c’est qu’il est aussi assez épais et cela me fait frémir.
Claude une fois entré dans ma chambre ferme la porte et vient se placer debout près du lit, j’ai son sexe au-dessus de ma tête alors sans hésiter je prends son sexe en main et commence à faire quelques va et viens avec ma main, puis je me relève et de la langue lèche tendrement le gland et je prends directement son sexe en bouche pour lui administrer une fellation qui le fait gémir.
Je fais des va et viens avec ma bouche d’abord lents, comme une habituée à la chose, puis j’accélère le rythme. Il m’arrête et me relève pour s’emparer de ma bouche et m’administre un baiser fougueux où nos langues se mêlent.
Une de ses mains s’amuse avec un de mes seins pendant que l’autre va sur mon entrejambe pour me branler le clitoris, je frémis quand ses doigts rentrent en moi.
Puis il s’arrête et s’allonge sur moi et prenant son pénis d’une main le fait entrer en moi d’un coup de rein, je ressens un plaisir inouï en me faisant pénétrer. Il commence aussitôt des va et viens d’abord lents puis de plus en plus rapide, il ne faut pas longtemps pour que je me mette à jouir en criant mon plaisir.
Puis il se retire et me prend par la taille pour me redresser tout en parcourant mon cul d’une main à la recherche de mon petit trou.
Je prends peur et lui dit :
- Non. Pas par là, j’ai peur !
Il me rassure en me disant :
- Détend toi et tu verras que c’est merveilleux, et sache que ta sœur adore être prise par là.
Puis il me dispose à quatre pattes et se positionne derrière moi et rentre à nouveau son membre en moi tout en me caressant l’œillet, puis un doigt s’introduisit dans mon cul, puis un deuxième, il me prépare et je me détends.
Alors il enlève ses doigts de mon anus et prend son pénis pour le poser sur ma rondelle, j’ai peur car son pénis est épais et il va me faire mal. Doucement il pousse son membre en moi et je le sens s’introduire lentement en m’écartant mes chairs intimes, je le sens doucement s’introduire dans mon œillet.
Au début c’est une sensation étrange, un mélange de douleur et plaisir.
Partagée entre envie et refus la douleur est vive, puis petit à petit le plaisir monte en moi alors il commence à se remuer en moi, il me pilonner l’anus par derrière. Puis quelques minutes plus tard je sens les contractions de son sexe en moi et des jets de sperme envahir mon conduit.
Rien qu’en pensant qu’il était en train de jouir en moi dans mon cul me fit jouir à mon tour.
C’était la première fois que l’on me prenait par là, que j’étais sodomisée. Jamais je ne m’étais imaginé que l’on puisse jouir aussi intensément en se faisant enculer.
Tout le restant de la journée Claude m’encula et le soir venu mon anus me brulait, mais je savais que désormais mes amants me donneraient du plaisir en m’enculant.

Le soir à table Carole me trouva en beauté et en pleine forme, et elle me dit :
- Quoiqu’il en soit continue ainsi je te trouve très en beauté.
Alors Claude, lors des absences de Carole, passa me voir dans ma chambre pour faire l’amour et me sodomiser.

A suivre……