Confession De Céline (2)

Le lendemain matin je me suis réveillée vers neuf heures, il faisait déjà chaud à cette heure de la journée et j’étais encore tout excitée de la journée d’hier. Je me suis laissée languir pendant plusieurs minutes et ma main descendait de plus en plus vers mon sexe. Je me suis caressée en pensant à Marc et à la journée que nous allions passer encore aujourd’hui.



Excitée comme je l’étais, je n’ai pas mis beaucoup de temps pour jouir et pour mouiller les draps du lit, déjà souillés par l’heure passée avec Marc la veille. Je me suis levée vers neuf heures quarante-cinq, j’ai pris mon petit déjeuner et je suis allée prendre une douche. De nouveau j’étais très excitée, et de nouveau je me suis caressée. J’ai une nouvelle fois joui en pensant à Marc. C’était bon, mais cela me faisait aussi un peu peur, j’étais en train de devenir accro à Marc et surtout accro au sexe. Vers onze heures, je suis allée faire les courses en ville. À midi j’étais rentrée et je me suis préparé un petit repas délicieux. Puis je me suis préparée pour recevoir Marc. Ne sachant pas si Marie serait avec lui ou pas, j’ai décidé de m’habiller classique pour ne pas éveiller de soupçons chez elle.



Vers quatorze heures trente, il est arrivé, seul. Je suis allée l’accueillir à bras ouverts en courant. Je l’ai tout de suite embrassé d’un baiser fougueux en guise de bonjour et de bienvenue :



— Bonjour mon amour, comment vas-tu ?
— Très bien, depuis que je te vois.
— Marie est toujours malade ?
— Non, elle va mieux mais elle est occupée avec des amies à elle aujourd’hui, ce qui me laisse tout l’après midi avec toi.
— Hmm, c’est très très bien ça !


Là-dessus, je l’ai emmené à l’intérieur de la maison et traîné jusqu’à la cuisine :



— Au fait, tu veux de la tarte ? Ce sont les restes d’hier.
— Volontiers, puisque c’est toi qui l’as préparée.




Après avoir fini la tarte nous sommes allés nous baigner dans la piscine. Nous nous amusions à nous couler, et en même temps c’était une effusion de caresses discrètes. Plus d’une fois, il m’a caressé les fesses ou les seins, et plus d’une fois je lui ai caressé le sexe, mais le tout était fait très discrètement et très sensuellement. Fatigués de jouer dans l’eau, nous nous sommes rejoints sur le bord de la piscine. Nous nous sommes embrassés, et nous avons commencé à nous caresser. J’étais une nouvelle fois très excitée et il l’a vu très rapidement :



— Hmm, je t’ai donc manqué à ce point ?
— Oui, et même encore plus.
— Viens, on va se sécher.


Nous sommes sortis de l’eau et nous nous sommes séchés mutuellement, puis nous sommes allés dans ma chambre. Nous étions déjà nus et son sexe tendait déjà, je l’ai fait s’allonger sur le lit et j’ai commencé à jouer avec son sexe. C’était amusant de le voir se dresser quand on le touchait, j’étais comme une devant un nouveau jouet. Puis je passai aux choses sérieuses, fini de jouer, j’étais excitée, il me fallait un remède et ce remède était devant moi. J’ai donc commencé à le sucer, il avait toujours le même goût que la veille et était toujours aussi bon à déguster. Je suçai le gland, puis j’enfonçai le manche dans ma bouche. J’entendais Marc, il respirait de plus en plus fort, il appréciait. J’ai ensuite accéléré le mouvement, de plus en plus vite, et stoppé lorsqu’il était au comble de l’excitation, un peu pour le faire souffrir et un peu pour pouvoir en profiter encore et encore, car moi aussi j’avais besoin d’être satisfaite. Je me suis donc agenouillée sur lui et il m’a empalée. Que c’était bon de ressentir enfin ce sexe en moi, le plaisir que son sexe me procurait était immédiat, je suis allée directement au septième ciel. Je lui ai caressé le torse pendant qu’il me caressait la poitrine, j’étais aux anges. Après de longues minutes, nous avons changé de position et comme la veille il m’a pris en levrette, ma position préférée.
Il me pilonnait comme jamais et j’ai vite joui, mais j’en voulais toujours plus. Alors il continuait, j’étais impressionnée par son endurance et jalouse de sa femme qui avait pu en profiter durant tant d’années. Pour le récompenser du plaisir qu’il m’avait procuré, j’ai décidé de lui offrir la dernière virginité qu’il me restait, mon cul :



— Marc, s’il te plait, encule-moi.
— Tu en es sûre ?
— Oui, je veux que ce soit toi qui me prenne ma dernière virginité.
— D’accord mon amour, je vais le faire pour toi, parce que je t’aime plus que tout.


Sur ce, il s’est retiré de mon sexe, a mouillé mon petit trou et s’est enfoncé doucement entre mes fesses. Il a commencé par y aller doucement, le temps que je m’habitue à son sexe, puis il m’a bourrée de plus en plus vite. C’était la première fois que l’on me prenait comme ça mais j’ai adoré. Je le sentais venir, et j’ai décidé alors de tout stopper une nouvelle fois, car je voulais qu’il vienne comme la veille dans mon sexe, je voulais sentir son sperme couler au fond de moi, moi sa belle-fille, lui mon beau-père que j’aimais.

Il est donc retourné une nouvelle fois dans ma chatte et m’a prise comme une chienne, comme sa chienne que j’étais. Il n’a pas mis longtemps pour jouir en moi, et son dernier coup de piston me fut fatal car il me fit jouir de nouveau.

Nous nous sommes endormis comme la veille, enlacés ensemble, dans les bras l’un de l’autre. Je me suis réveillée avant lui à dix-sept heures trente, je l’ai regardé dormir pendant plusieurs minutes tout en le caressant, puis il s’est réveillé doucement, nous nous sommes ensuite embrassés pendant de longues minutes. Puis il s’est levé, il devait partir. J’ai cependant refusé qu’il s’en aille, il m’a alors avoué que cela ne lui faisait pas plaisir non plus mais qu’il n’avait pas le choix. J’ai donc inventé une histoire, pour qu’il puisse rester. Je lui en ai parlé et il a été d’accord. Il a donc appelé sa femme :



— Allô ?
— Chérie ? C’est Marc !
— Oui ! Tu rentres bientôt ?
— Et bien voilà, je t’appelle parce que Alizée voudrait que je reste dormir chez elle.

— Ah bon ? Mais pourquoi ça ?
— Eh bien ce matin pendant qu’elle est partie faire ses courses, sa maison a été visitée, il y a eu une fenêtre de cassée et la maison a été fouillée, à part la fenêtre rien n’a été cassé mais on lui a volé des bijoux et quelques appareils électroniques, et elle a peur que les voleurs ne reviennent cette nuit.
— D’accord, je comprends, la pauvre doit être sous le choc !
— Oui, je vais donc rester dormir cette nuit, ça ne te dérange pas ?
— Non, bien sûr que non.
— Bien, allez bisous mon amour.
— Au revoir.


J’avais entendu leur conversation grâce au haut-parleur et lorsqu’il eut raccroché, je me suis jetée dans ses bras en l’embrassant. Nous allions passer une soirée inoubliable. N’ayant pas de voisin direct et comme la soirée s’annonçait assez chaude, nous avons décidé de passer la soirée nus comme des vers. Nous nous sommes tous les deux mis aux fourneaux, et j’en ai profité pour lui apprendre à un peu mieux cuisiner. À vingt heures le dîner était prêt, nous avons mis la table et avons commencé à manger, c’était délicieux, un dîner en tête-à-tête avec celui que l’on aime. Durant le repas, nos pieds se frôlaient sous la table et j’ai commencé à remonter avec le mien le long de sa jambe, puis de plus en plus haut, jusqu’à toucher son sexe. Il bandait déjà, j’ai ainsi commencé à le caresser avec mon pied, ce qui fit augmenter encore son excitation. Pour entrer dans ce petit jeu, j’ai décidé de laisser tomber ma fourchette sous la table. Je me suis excusée auprès de Marc et me suis glissée sous la table pour la chercher. J’ai posé alors ma main sur sa cuisse et déposé un baiser sur son sexe, aussitôt ce dernier s’est redressé. J’ai décalotté son gland et commencé une petite fellation, il a posé alors sa main sur ma tête et m’a imposé son rythme. Au comble de son excitation il m’a arrêtée, souhaitant se préserver pour la nuit. Nous avons donc fini nos assiettes assez rapidement, pressés de profiter l’un de l’autre.
Nous avons débarrassé la table et Marc a dit :



— Dis-moi Alizée, la piscine est chauffée non ?
— Oui, pourquoi ?
— Tu n’aimerais pas en profiter un peu ?
— Ok, viens !
— Attends, mets ton maillot de bain le plus sexy.
— Toi, tu mates les filles en maillot à la plage !
— Oui, c’est tellement joli je trouve.
— Attention je vais être jalouse.
— Pas de souci de ce côté là.


Je suis donc allée dans ma chambre mettre mon maillot de bain le plus sexy et suis retournée rejoindre Marc dans l’eau. L’eau était fraîche, nous avons commencé par faire quelques longueurs pour nous réchauffer, mais très vite nous avons décidé d’utiliser une méthode bien plus efficace. Nous avons commencé par nous embrasser et nous caresser, j’ai pris son sexe en main pour le masturber, il a grossi très vite dans ma main, j’ai décidé donc de le sucer en prenant ma respiration. J’avais envie de lui et le lui ai fait comprendre, il a défait mon soutien-gorge et commencé à embrasser mes seins :



— Humm, oui, Marc c’est bon… humm ta langue.


Puis il a enlevé le dernier bout de tissu encore sur moi, je suis sortie de la piscine et me suis posée sur le bord pour qu’il puisse me lécher tout en restant dans l’eau. Ces coups de langues m’ont faite chavirer et après quelques minutes de ce traitement de faveur j’ai joui. Je suis retournée dans l’eau avec lui, je mes suis accrochée à sa taille et il a commencé à me pénétrer contre le bord de la piscine, les coups de reins qu’il donnait étaient d’une force incroyable, jamais Vincent ne m’avait donné autant de plaisir, si bien que j’ai joui une seconde fois en l’espace de quelques minutes. L’endroit était excitant mais pas très confortable, nous avons donc décidé de retourner dans ma chambre, sur le même lit que je partage habituellement avec Vincent. Il m’a prise en levrette comme dans l’après-midi et je devenais folle de lui :



— Oui… Marc prends-moi bien… hummm.
— Tu aimes ça ?
— Oh oui… continue.
— Humm… oh oui… c’est bon… je viens.
— Oui… viens en moi… encore… je viens aussi…
— Ouiiiii… ahhhh… c’est bon…
— Ahhhh… je t’aime.
— Humm, je t’aime aussi Alizée.


Après tout ça, nous nous sommes endormis l’un dans l’autre, comme nous avons pris l’habitude de le faire. Une nouvelle fois j’ai senti son sperme couler en moi, c’est si bon, c’est sûr, je l’aime.

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