Mon Cochon De Gendre M'A Enculée

Je suis une femme de soixante quatre ans, petite, ronde, portant des lunettes et très portée sur le sexe. Dans les repas de famille, j'aimais chanter des chansons paillardes, raconter des blagues cochonnes dans lesquelles je pouvais glisser le mot "bite" ou " pipe". Cela m'excitait mais j'en ignorais la raison jusqu'au jour où j'ai compris que je le faisais inconsciemment pour exciter mon gendre.
Nous nous sommes progressivement rapprochés l'un de l'autre jusqu'au jour où j'ai reçu un sms venant de lui, pour le premier de l'an. Il s'était procuré mon numéro sur le portable de ma fille. Ce premier message était aimable et n'avait rien de déplacé.
A l'anniversaire de mon petit fils, je me suis isolé un instant dans la chambre du petit. Mon gendre m'a suivi discrètement, il s'est approché de moi et, comme je lui tournais le dos, m'a collé une main aux fesses. J'étais très surprise mais je n'ai rien fait pour enlever sa main. Je le laissais me pétrir les fesses en jetant de temps en temps un regard de côté pour m'assurer que personne ne venait. Je me suis échappé sans rien dire, un peu honteuse de n'avoir rien dit. Le soir même, je me suis masturbée en pensant à sa grosse queue que j'avais aperçue un jour lorsqu'il sortait de la douche alors que j'étais venue passer quelques jour chez ma fille. Il avait mon numéro et je n'avais rien fait pour stopper ses avances. J'étais une vraie salope et cela m'excitait. Je mouillais en sa présence et je n'arrêtais pas de fantasmer sur sa personne. Je m'imaginais en train de le sucer, en train de me faire prendre à quatre pattes par tous les trous. Ses messages se sont fait de plus en plus osés. Il me traitait de salope, grosse truie, de garage à bites et j'aimais ça. Je lui répondais par un sms vide, je n'osais pas écrire quelque chose, comme pour ne pas franchir le pas. Il s'est mis à m'avouer qu'il fantasmait également sur moi, que mon gros cul le faisait bander comme un salaud, qu'il avait envie de me brouter le minou, de me mettre à quatre pattes et de me lécher longuement le cul avant de me prendre par tous les trous.


J'avais de plus en plus envie de lui et il fallait en finir avec cette pulsion avant que mon mari ou ma fille s'en aperçoive. J'ai essayé de le repousser, de ne plus répondre à ses messages mais l'envie ne cessait de monter. J'ai donc décidé de céder à ses avances. Un jour, j'ai prétexté un petite réparation à la maison pour me retrouver seule avec lui. Nous n'avons même pas eu le temps d'arriver à la cuisine où se trouvait la tablette décrochée. Il m'a saisit à la taille au moment où il me suivait dans le couloir. Il a commencé à me tripoter les seins puis ses mains se sont portées sur la fermeture de mon pantalon. Il l'a ouverte, m'a déculottée, m'a mise à quatre pattes et m'a prise violemment en introduisant entièrement sa grosse queue dans ma chatte. Il me bourrait vigoureusement le cul en me traitant de salope. Il me demandait si j'aimais ça et je lui répondais que oui :
- Bourre-moi, bourre-moi bien mon cochon !!!
Cet assaut fut très violent et comme si cela ne lui suffisait pas il commença à me caresser la rondelle avec son pouce. J'ai voulu lui interdire mais avant que je fasse quoi que ce soi, il présentait déjà son gland sur le petit orifice. Il s'est introduit en moi en un coup de rein puis il m'a besognée sans ménagement. Je lâchais des râles de plaisir. Enculée par mon gendre, j'étais aux anges. Il s'est vidé dans mon cul par trois longues saccades. J'ai jouis quand j'ai senti son sperme chaud en moi. Je suis restée un instant la coupe en l'air, sans pouvoir bouger. Lorsque j'ai repris mes esprits et que j'ai remonté ma culotte, mon gendre avait disparu. Lorsque mon mari est rentré, le sperme de mon gendre me coulait encore du cul...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!