Quelle Première Fois
L'amie d'un pote
C'est triste à dire à 37 ans, mais je suis seul depuis quelques
temps. Comme nous sommes en été et comme il fait très
chaud, malgré les 21h30 passées, je suis étendu sur ma
terrasse, à l'abri de tous les regards indiscrets, allongé comme
à mon habitude, en caleçon, sur un transat à lire un bon livre.
A ce moment, je vois arriver Steph, une amie, que j'apprécie
beaucoup, qui rentre de son jogging. Elle vient de courir ses 15
km, mais m'avoue ne pas avoir la force de remonter chez elle
ainsi. Il faut dire qu'il lui reste deux bons km de montée.
Je lui propose alors de la remonter en voiture. Mais elle est
trempée, et m'explique qu'elle craint de prendre froid. Ceci me
paraît étonnant, vu qu'il fait dans les 30°, mais pourquoi pas.
Il est vrai que nous avions déjà croisés quelques regards
interdits, interdit parce qu'elle est mariée, interdit parce que cela
pouvait nous entraîner en terrain miné. Pourtant qu'elle est
belle.
Écartant de mon esprit toute idée déplacée, je lui propose de
profiter de ma salle de bain pour se doucher. Ce qu'elle
s'empresse d'accepter. Elle connaît bien ma maison, et me
précède à la salle de bain. Je ne peux m'empêcher de laisser
mon regard parcourir sa silhouette parfaite.
Je lui donne une serviette, qu'elle prend, mais en me touchant
inhabituellement les doigts. Ce fut bref, subtil, mais sans autre
interprétation possible : elle a envie de moi.
Pour ne pas risquer un faux pas, je décide de la laisser prendre
les choses en main si c'est bien cela qu'elle attend.
Quelques minutes plus tard, elle me rejoint sur la terrasse
uniquement vêtue de la serviette de bain que lui avait confié
précédemment. Elle s'assoit sur mes jambes, ce qui retour tout
éventuel doute sur ces intentions.
envie de moi, là, maintenant tout de suite.
Nos visages se rapprochent alors l'un de l'autre jusqu'à
échanger un baiser langoureux, mais me fit me sentir à l'étroit
dans mon caleçon.
Je sens alors sa main, partir de mon coup, descendre le long
de mon torse nu et se diriger droit vers mon sexe, ce qui ne fait
qu'accroître mon excitation. Mes mains, jusqu'alors inutilement
posées sur le transat, caressent alors ses jambes et remontent
délicatement, vers ses fesses. Bien que conscient de brûler
quelques étapes, je décide d'aventurer mon doigt entre ses
fesses pour effleurer son petit trou.
La réaction est immédiate : elle att ma main, la retire de
cette zone si attirante pour la placer sur son sexe, que je
découvre alors bien rasé, sans poil, et surtout chaud et
humide.
Mon doigt, toujours décidé à jouer les explorateurs, décide de
longer les lèvres de ce sexe, tellement accueillant pour finir par
s'introduire délicatement, ce qui provoque sans plus attendre
un gémissement enthousiaste de sa part.
Après quelques va-et-vient respectifs, mon doigt dans son vagin
et sa main autour de mon sexe, elle se dégage. Je n'ai pas
vraiment le temps de me demander ce qu'elle envisage pour la
suite que mon sexe, dur comme du bois, se retrouve
littéralement englouti dans sa bouche. Quelle extase. Elle joue
avec lui, tantôt accélérant le coït, tantôt jouant avec sa langue. Je
refuse de craquer, il n'est pas question de s'arrêter là. Je retire
alors sa tête et lui dis que je vais lui faire la même chose.
Elle s'allonge alors sur dos, et me laisse la couvrir de baiser.
Son corps de sportive est très ferme et musclée. Ses petits
seins pointent et je ne peux m'empêcher d'en prendre un, le
gauche, en bouche. Puis prenant le relais avec ma main, je
descends vers son sexe.
A peine arrivé, je la sens se cambrer et en profite pour lui lécher
le sexe, avec de grands mouvements, ce qui la fait réagir d'un
petit cri satisfait.
Pour plus de confort pour moi et de plaisir pour elle, je redresse
ses jambes vers sa poitrine. J'ai maintenant une vue
imprenable sur son sexe et son anus, tellement excitants.
Je décide de pénétrer ma langue dans son vagin. Elle râle de
plaisir. Mais cela reste limité. Je décide alors de descendre un
peu, et d'humidifier son anus. Elle semble apprécier l'initiative.
Quelques mouvements un peu plus vigoureux, et voici avec ma
langue en partis dans son petit trou.
Je n'y reste pas malgré le plaisir qu'elle semble éprouver. Je
remonte le long de ses lèvres pour jouer avec son clitoris. Plutôt
expert dans le domaine, je ne tarde pas à sentir son corps se
tendre, frémir. Je continue, sans changer de rythme, et il ne lui
faut pas plus de dix seconde avant de jouir et crier son plaisir.
Tant pis pour les voisins.
Je la laisse se reprendre et entame un second cunnilingus.
Mais cette fois, j'introduis l'index de ma main droite dans son
vagin. La sentant très réceptive, j'ajouter le majeur. Le va-et-
vient vaginal, accompagné de ma langue sur son clitoris ont vite
fait de la faire jouir une seconde fois.
Elle n'y tient plus et exige alors une pénétration. Elle m'allonge
sur le dos, m'enfourche, et avant que je n'ai le temps de me
caler, enfonce mon sexe dans le sien. Cette sensation est
extraordinaire.
Elle entreprends alors des mouvements, d'autant plus excitant
que me main gauche tient sa nuque pour garantir un long
baiser et que ma main droite lui palpe le sein gauche.
Cette même main glisse alors sur son dos et descend jusqu'à
ses fesses. L'index continu alors seul le chemin entre les
fesses, et caresse alors son anus.
encouragement, elle gémit. Le doigt quitte alors la zone, pour
aller vers son sexe. Je récupère un peu de cyprine qui s'écoule
de son sexe, et remonte jusqu'au petit trou. Sans perdre de
temps, je décide de lui caresser l'anus, puis d'exercer de
petites pressions, sentant une ouverture imminente. Elle se
détend et me laisse la pénétrer. Peu de mon doigt est ainsi
introduit, mais l'effet est presque immédiat : elle jouit
violemment, coinçant à la fois mon sexe dans le sien et mon
doigt dans son anus.
Quelques seconde passent, elle se relève, me laissant seul
allongé. D'une voix douche, elle me susurre à l'oreille de la
suivre. De toute façon, je n'ai pas le choix. A peine levé, elle
prend mon pénis en main et me dirige vers l'intérieur, la salle
de bain en fait. Là, elle fit couler l'eau de la douche, s'appuya
sur le muret qui sépare la douche du plan de vasque et me
présente ses fesses. Je n'y tiens plus. Je la pénètre sans
ménagement et entame un coït lent qui s'accélère très
rapidement. Elle m'hurle alors d'aller plus fort, plus vite plus
loin. Je m'exécute. Restant sur le précédent orgasme, je décide
de lui doigter à nouveau l'anus, tout en ralentissant le
mouvement dans son vagin. Elle se lâche et me crie de faire lus
fort. Mon index est alors rejoint par le majeur, toujours dans cet
anus au final si accueillant et je reprends les va-et-vient à plus
grande vitesse. Les deux : vaginal et anal. Elle râle de plus en
plus fort, jusqu'à m'expulser dans un orgasme d'une rare
violence.
Elle prend le temps de se calmer, et se retourne vers moi pour
m'embrasser avec une telle tendresse que je tombe amoureux
à la seconde.
La douche continue de nous tomber dessus. Je suis tellement
bien, là dans ses bras, que j'en oublie que je n'ai pas joui.
bonheur de ce baiser, qui suit un si intense rapport sexuel peut
me combler. Mais la coquine ne compte pas s'en tenir là.
Elle se retourne et me demande de recommencer. Je ne suis
pas sûr d'avoir encore l'énergie, mais c'est si bon. Je la pénètre
alors avec délicatesse. Elle me dit alors "non, pas comme ça".
Je crois alors comprendre qu'elle veux que ce soit plus brutal,
mais joignant l'acte à ses dires, elle me recule, att mon sexe
et le présente devant son anus, ou plus exactement commence
à l'introduire dans son anus.
Je pousse un peu en avant et le gland de mon pénis disparaît,
avalé par son petit trou. Elle gémit alors. J'attends un peu. Il
n'est pas question de lui faire mal. C'est elle alors qui prend
l'initiative : elle place sa main droite derrière mes fesses, et me
serre contre elle, entraînant une profonde pénétration. Elle ne
peut retenir un cri de plaisir.
Quelques secondes passent alors, et elle me dit d'y aller. Ce
que je fais. Doucement dans un premier temps, puis de plus en
plus fort. Je sens alors l'orgasme monter. Voir ainsi mon sexe
aller et venir dans son anus, provoquer des cris de plaisir et
s'en est trop. Je sens alors monter en moi l'envie d'accélérer,
toujours plus. Elle hurle de bonheur. Entre le coït devenu
frénétique et mon sexe qui gonfle avec l'arrivée imminente de
l'éjaculation et elle joui, en même temps que moi, avec une rare
violence.
Quelques secondes, dizaines de secondes passent. Nous
nous asseyons par terre, dans le bac de douche, l'eau coule
toujours. Elle est dans mes bras, et m'embrasse, avec
tellement de tendresse et
d'amour.
Cette première fois fut exceptionnelle et je redoute la
séparation.
Après s'être rhabillés, elle me dit, tout en douceur : "merci, ce fut
exceptionnel, on recommencera.".
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!