Seule À Barcelone : La Suite Des Aventures D'Éva (1° Partie)

Voici la suite des aventures d’Éva que vous semblez apprécier. Merci encore à Olga pour sa tendre compagnie et son aide pour la correction de mes récits.
Je me demandais encore pourquoi j’étais partie… Encore une de mes crises d’indépendance... Mon pauvre Paul est habitué, mais je m’en veux d’être comme cela. Je suis si bien près de lui. Il me manque déjà…
C’est toujours mon Paul qui m’avait encouragée, au lieu de me retenir ; et c’est certainement ce qu’il aurait fait s’il m’aimait autant qu’il me le serine … Il m’avait choisi l’hôtel, un 5 étoiles « grand luxe »… Il est fou et je l’aime aussi pour cela.
La nouvelle liaison en TGV Montpellier-Barcelone avait été le déclencheur de ma décision et de ma destination. Le voyage avait été cependant des plus ennuyeux et je retrouvais avec grand plaisir le doux soleil de ce début d’automne sous le ciel de Barcelone. Un taxi m’amena directement à l’hôtel. Paul ne m’avait pas menti. C’était véritablement le grand luxe. Une très vaste chambre très soignée et un restaurant gastronomique. Le rêve. Je m’allongeais quelques minutes avant de me résoudre, pour agrémenter ma soirée, à me préparer pour aller manger.

Je me précipitais sous la douche avant de me pencher sur ma garde-robe. Ravie à l’idée de raconter ma soirée à Paul, je m’efforçais de choisir la tenue qui l’aurait le plus émoustillé. Une jupe noire assez courte, trop pour moi, mais pas assez pour Paul, des bas « dim-up » légèrement brillants, des bottines à talons hauts, et un petit chemisier dont je prenais soin de ne pas fermer les derniers boutons. Je voulais « énerver » mon Paul chéri !!!!
Quelques photos « selfies » pour le taquiner avec pour commentaire : « je vais manger, je suis toute nue en dessous… je t’aime ! » Toute contente de l’effet que j’allais lui faire, je quittais ma chambre.

La salle du restaurant était bondée, mais on parvint à me trouver une petite table libre. Les noms des plats étaient un régal à eux seuls.

Alors que j’étudiais la carte avec la plus grande attention, le serveur m’apporta une coupe de champagne. Devant ma surprise, il m’annonça que des messieurs installés à quelques tables de moi m’offraient ce verre. Et il m’indiqua discrètement la table dont il s’agissait. J’étais confuse. J’ignorais que ce genre de compliment (ou de méthode de drague) existait encore. Je pris le verre et leur adressais un salut en souriant et en m’essayant de garder la contenance qui s’imposait. Il s’agissait de deux hommes d’une bonne quarantaine d’année, fort bien habillés, et plutôt agréables à regarder. Ils me rendirent mon salut.

Le repas fut excellent, et largement agrémenté par les regards insistants des deux messieurs. Je feignais de ne rien remarquer, mais mes yeux croisèrent les leurs plusieurs fois. Je ne pouvais alors m’empêcher de sourire à l’idée du récit que j’allais faire à Paul. Et il faut avouer qu’une telle attention était également très plaisante pour mon ego…

J’en avais terminé, et, avant de regagner ma chambre, je décidais de faire un tour pour découvrir les ressources de l’hôtel qui m’avaient été vantées par Paul : SPA, salons de massage, piscine intérieure, salle de gym, … C’était génial et tandis que je commençais à préparer mon programme pour le lendemain, je traversais le bar de l’hôtel. L’ambiance y était feutrée et agréable. Je trouvais refuge sur un haut tabouret. Trois musiciens jouaient du jazz au fond de la salle.

Seule devant mon gin tonic, je rêvassais tranquillement lorsque j’aperçus, dans le miroir du bar, les deux hommes du restaurant installés à une table juste derrière moi. Je ne me retournais pas et les observais du coin de l’œil me détailler, leurs yeux longeant mes jambes exposées à leurs regards. Je me rendis compte qu’un morceau de la dentelle de mon bas dépassait de ma jupe.
L’un d’eux se leva et se présenta au bar pour commander. Il me regarda furtivement. Je baissais les yeux en souriant. Légèrement troublée, je ne m’aperçus que quelques secondes plus tard, alors qu’il avait rejoint sa table, qu’il avait déposé une carte des boissons à côté de moi.
Une petite feuille dépassait du livret. Je relevais la tête pour m’apercevoir qu’ils n’étaient plus là.

Je crus défaillir en ouvrant la carte. Un petit mot griffonné sur une feuille pliée, au milieu de laquelle se trouvaient deux billets de cinq cent euros. Un mot était écrit : «Para pasar la noche contigo… » (Pour passer la nuit avec toi…), puis suivait un numéro de chambre. Je ne pus m’empêcher de rire. Nerveusement, en vérité, car j’étais tétanisée. Pour qui m’avaient-ils pris ? Pourquoi voulaient-ils me payer ?, alors qu’ils auraient pu, plutôt charmants et raffinés, tenter de me séduire simplement ?

Toutes ces questions se chamboulaient dans ma tête et je me surprenais à ne pas exclure immédiatement leur proposition. Bien sûr, Paul n’était pas jaloux. Au contraire, ce genre de situation l’aurait certainement excité le coquin, mais je n’étais pas une pute !!! Je n’étais pas farouche non plus et nos quelques expériences libertines me l’avaient confirmé. Par ailleurs, ils étaient plutôt beaux, et leur petit jeu m’avait fait vibrer. Mais tout de même, se faire payer pour ça !
Cette situation me rappelait l’histoire que j’avais vécue il y a un peu plus d’un an lors d’un voyage en solo à Paris et quand deux concessionnaires m’avaient emmenée dans leur chambre. Au petit matin, après une nuit mémorable, j’avais trouvé 500 euros sur la table avec un mot de remerciement…

Six mois après, mes yeux rencontrèrent mon image, renvoyée par un grand miroir sur le côté de la pièce. Je me voyais, encore mignonne et je comprenais que des hommes puissent me trouver désirable…
Un frisson me parcouru. Et si c’était par jeu, n’auraient-ils pas trouvé là le moyen de m’émoustiller ? Et s’ils me prenaient vraiment pour une prostituée, qu’est-ce que cela changeait pour moi côté amusement ?

J’enfilais mon manteau, un joli trois quarts en peau retournée, et je me dirigeais vers ma chambre, perdue dans mes réflexions. Aussitôt la porte refermée, debout contre le mur, je soulevais ma jupe et glissais mes doigts sur ma chatte.
Sans surprise je la trouvais mouillée et extrêmement sensible. J’interrompais mes caresses avant l’instant fatidique et il me fallut bien reconnaître que j’étais au comble de l’excitation. Un passage par la salle de bains pour parfaire mon maquillage, et me revoilà dans le couloir.

Sans réfléchir, je prenais l’ascenseur. Cinquième et dernier étage. Chambre 523. J’hésite. Je frappe. Mes jambes flageolent un peu… L’un des deux ouvre, souriant : «Estás esperando… » (Nous t'attendions…). Souriante et le rouge aux joues, j’entre… mais sans oser dire un mot. La chambre est immense. Une vraie suite, avec un grand salon. Sur la table basse, trois verres nous attendent. Il me débarrassa de mon manteau et je ne pus m’empêcher de rougir lorsque je me rendis compte que mes seins libres de tout soutien-gorge, pointaient ostensiblement au travers de mon chemisier en soie. Il me fit asseoir sur le canapé alors que son ami nous rejoignait.

Je voulus ouvrir la bouche pour leurs avouer que je n’étais pas celle qu’ils pensaient, mais saisissant leurs verres, ils portèrent un toast « salud… » (Santé). Je les imitais. En les regardant, en m’imaginant l’éventuelle suite, je ressentais une très curieuse sensation. De la peur et de l’excitation. Être ainsi désirée me faisait toujours autant d’effet. Habillée de la sorte, aux côtés de deux inconnus dont je savais qu’ils allaient, d’un instant à l’autre me toucher, m’embrasser. Deux hommes qui n’avaient en tête que l’envie de me sauter. Ces deux inconnus dont j’allais d’une minute à l’autre être l’objet de leurs envies, de leurs fantasmes…, à qui j’allais devoir donner du plaisir, et qui allient m’en donner en retour.
La coupe de cava aux lèvres, j’imaginais que ce serait bientôt leurs sexes qui se glisseraient là. Et très curieusement, tout cela me plaisait beaucoup,…énormément, même si je n’étais pas aussi fière que je pouvais le paraitre…. Mes précédentes expériences suffisaient pour me donner un minimum d’assurance.


Je reposais mon verre sur la table et décroisais les jambes. Ce fut le signal. Une main se posa sur mon genou. L’homme dit que j’étais une très belle femme, la plus belle du restaurant et que je fus l’unique objet de leur discussion pendant tout le repas…. Sa main glissa sur la dentelle de mon bas. Il ajouta que j’étais terriblement excitante. L’homme se rapprocha encore un peu plus de moi, tandis que son comparse restait impassible. Sa main remonta sur ma peau nue à l’intérieur de ma cuisse. Il dit encore que j’étais douce, qu’ils allaient bien s’amuser avec moi. Il ne cessait de parler. Moi, je ne pouvais dire un mot et ne pus qu’écarter un peu les jambes pour lui ouvrir le passage vers ma chatte. « No tienes bragas, estaba seguro de que » (Tu n’as pas de culotte, j’en étais sûr). Je fermais les yeux, en le laissant glisser ses doigts le long de ma fente. « Estás todo mojado, pequeña puta » (Tu es toute mouillée, petite pute). Et il continua à parcourir ma fente tout doucement, avant de glisser au sol, nichant sa tête entre mes cuisses. Son complice restait silencieux, mais il s’était rapproché. L’autre continuait ses commentaires. « Una buena concha lisa, cualquier suave... » (Une bonne chatte lisse, toute douce...). Et il commença à me lécher avec une douceur et un savoir-faire indéniable. Je rouvris les yeux pour voir mes mains aux ongles rouges tenir et guider sa tête qui s’affairait entre mes jambes. Je me voyais à demi allongée sur ce canapé, cuisses grandes écartées, jupe relevée, savourant cette langue qui me fouillait. L’autre, maintenant collé à moi, avait ouvert quelques boutons de plus à mon chemisier, et s’occupait à me pétrir les seins. Il me regardait avec délectation me cambrer à chaque passage de cette langue experte sur mon clitoris.
Il lâcha finalement mes seins et se releva. Je restais sur le dos, gémissante et offerte, à le regarder lentement dégrafer sa ceinture et déboutonner son pantalon. Il faisait ça très doucement, en me regardant, comme pour suivre sur mon visage mes réactions à l’idée que j’allais le recevoir entre mes lèvres. Il sortit son sexe et l’empoigna avec assurance. C’était une belle queue, toute tendue. Il se pencha sur moi, et m’embrassa à pleine bouche. Puis, sans un mot, il se redressa et guida son sexe vers mon visage. Il me présenta d’abord ses bourses, que je me mis à embrasser, à lécher. Puis ma langue parcourut sa tige, son gland. Il était doux et chaud. D’une main, il le fit pénétrer dans ma bouche. C’était un régal de le sentir, aussi soyeux, glisser entre mes lèvres, de sentir aussi tout le volume que sa bite occupait dans ma bouche. J’adore vraiment sucer les bites ! Sa main agrippée à mes cheveux accompagnait mon mouvement tandis que, de son autre main, il caressait mes seins dénudés. Bientôt, les mouvements de son bassin rendirent le moindre de mes efforts inutiles. Il allait et venait dans ma bouche, me maintenant la tête fermement, et s’enfonçait profondément en moi. Je commençais à perdre pied. Je sentais les premières vagues de jouissance arriver…

L’homme qui me léchait s’interrompit et déboutonna lui aussi son pantalon. Toute occupée que j’étais, je ne pus qu’apercevoir brièvement sa queue qui semblait de dimensions tout à fait appréciables. Il restait à genoux entre mes cuisses, caressant ma chatte d’une main, et se caressant de l’autre. Il s’approcha un peu, la bite dressée. Instinctivement, je relevais un peu mes jambes. Voyant cela, il dit « ¿Quieres hacerte, ¿eh? » (Tu veux le faire toi-même, hein ?). À quoi je ne pouvais répondre, l’autre homme continuant de me prendre la bouche avec vigueur. Il me pénétra doucement, tout en maintenant mes jambes surélevées. « Eso es lo que eres buena, puta... » (Qu'est-ce que tu es bonne, salope...). Il s’enfonça un peu plus. Il savait comment me parler. J’adorais ça ! Il s’enfonça complètement et m’arracha un nouveau gémissement.

L’autre, au bord de la jouissance, retira son sexe de ma bouche et se recula un peu, pendant que son camarade m’administrait de bien agréables coups de queue. « ¿Quieres hacer el amor, ¿eh? Digame » (Tu veux baiser, hein ? Dis-moi). Pour la première fois de la soirée, ils entendirent le son de ma voix. Je lui dis que j’aimais ça, que j’aimais sa queue, que c’était bon, que je n’avais pas envie qu’il s’arrête, que c’était un excellent amant… Et c’était vrai !

Satisfait, il se retira à son tour et, après quelques caresses, s’installa sur le canapé à côté de son ami. Je refermais doucement les jambes, essayant de retrouver mes esprits. Il me prit par la main, et m’invita à glisser sur le tapis, juste devant lui. Je me retrouvais à genoux devant eux, essayant de remettre un peu d’ordre dans ma coiffure. Souriante mais toujours aussi silencieuse, je les admirais la bite dressée devant moi. « Suce, nosotros dos » (Suce-nous, tous les deux) me dit le plus bavard. Docile, je m’avançais, le regard coquin, vers leurs sexes gonflés. Mes petites mains fines agrippèrent leurs queues et se mirent à les branler. Puis ma bouche en engouffra un. Puis l’autre. Puis les deux. Alors que je les suçais, leurs mains parcouraient mes joues, mon cou, mes seins, mes fesses. Un doigt se perdit dans mon petit trou. « Tu culo eres muy estrecho, dice … » (Ton cul est très étroit, dis donc...). Puis ils m’interrompirent et, après m’avoir relevée, m’entraînèrent vers la chambre.

Je fus délicatement renversée sur un lit immense. Ils prirent le temps de se déshabiller tranquillement devant moi. Puis ils s’allongèrent de chaque côté de moi, m’embrassant tour à tour. Alors que le plus volubile continuait à m’embrasser, l’autre vint prendre place entre mes jambes. Lui aussi me fit relever les jambes, tenant mes chevilles au-dessus de moi. « Mira » (Regarde) me dit celui qui m’embrassait. Allongée sur le dos, je redressais la tête pour le voir, lui guidant son sexe avec assurance, et le faisant disparaître sous mon pubis luisant. Je sentais en même temps sa queue glisser dans mon vagin, jusqu’au fond de moi. Il me baisa à un rythme effréné, tandis que l’autre homme caressait mes seins qui ballottaient. Toujours très expressive, je criais à chacun de ses coups. Je le sentais venir tellement profondément que je dû poser mes mains sur son bassin pour essayer de le freiner. L’autre vint alors saisir mes poignets et les immobilisa doucement au-dessus de ma tête.

J’étais sur le point de jouir lorsqu’il s’arrêta. Ils échangèrent leur place et l’homme qui me tenait les mains s’enfonça en moi d’un seul coup. Ils continuèrent ainsi de longues minutes, échangeant leur place au gré de leurs envies. J’avais une furieuse envie de jouir, et, me sachant proche de l’orgasme je tentais d’accélérer les choses en me caressant le clitoris, mais rien n’y faisait.

Ils m’installèrent sur le côté, et le discret fourra sa queue dans ma bouche pendant que l’autre s’installa derrière moi. Il massa doucement mon anus et ne mit que quelques instants avant de s’y introduire. Je sentis quelques centimètres de son sexe y entrer, puis ressortir aussitôt. Puis entrer de nouveau. Jusque-là, sans être douloureux, je dois avouer que c’était plutôt agréable. Puis il se décida à parler de nouveau. Juste ce qu’il fallait pour m’exciter un peu plus « Eres muy buena, es una delicia tu culito muy estrescho » (Tu es très bonne, ton cul très étroit est un délice). Je le sentais maintenant au fond de moi, mes fesses touchant le creux de ses hanches. D’un mouvement bien maîtrisé, il roula sur le dos, m’entraînant avec lui. Je me retrouvais allongée sur lui sur le dos, jambes écartées, sa grosse queue dans mon petit cul. M’entourant de ses bras, il glissa ses doigts dans ma chatte et se mit à me caresser. L’autre prit son temps pour s’installer entre mes jambes et me prit la chatte tout en douceur. Je les sentais m’envahir complètement. Leurs queues occupaient tout mon ventre. « ¿Entonces, pequeña puta, amas nuestras dos pollas para ti solo? » (Alors, petite pute, tu aimes nos deux bites pour toi toute seule ?). Ils commencèrent à aller et venir en moi avec une cadence soutenue. Il ne me fallut que peu de temps pour sentir le plaisir monter en moi. Des larmes coulaient le long de mes joues, entraînant au passage une partie de mon maquillage avec elles. Mes gémissements s’intensifièrent juste avant qu’un flot de liquide chaud ne s’échappât de mon vagin. Prise de spasmes incontrôlables, je sentais irradier depuis mon bas-ventre une onde de plaisir qui parcourait tout mon corps.

Mes deux amants s’étaient immobilisés pour m’admirer. Alors que je retrouvais mes esprits, celui qui était dans mon vagin se retira, et glissant ses doigts dans ma chatte, s’occupa de me lécher encore. Mon clitoris était tellement sensible que je tentais de l’en empêcher. Les mains de celui sur lequel j’étais allongée m’empêchèrent, saisissant de nouveau mes poignets. Il continuait à bouger doucement dans mon cul. Je jouis encore en quelques secondes. Il me dit à l’oreille qu’il était, paraît-il, « Difícil de satisfacer a una puta! » (Difficile de satisfaire une pute !). Il insista bien sur le dernier mot comme pour me rappeler ma condition.

Il sortit de moi et, m’installant à quatre pattes, laissa la place à son collègue qui emprunta le même chemin. Pendant qu’il me sautait, il se plaça devant moi pour que je puisse le sucer. Attrapant mes cheveux, il me fit aller et venir sur sa queue et ses gémissements m’avertirent à temps pour recevoir le flot de son sperme dans ma bouche et sur mes joues. Une main claqua sur mes fesses et celui qui n’avait jusqu'alors pas parlé m’intima l’ordre d’avaler. Ce que je fis. Quelques saccades de sa semence échouèrent sur mon visage et dans mes cheveux. Celui qui était derrière moi, et qui commençait à gémir sérieusement, se retira d’un coup. J’étais là, à quatre pattes, à le regarder se branler devant mon visage. Une forte giclée claqua sur ma joue et me fit fermer brusquement les yeux. Une autre arriva dans ma bouche et sur mes lèvres. Il termina de se vider paisiblement dans ma bouche.

Le visage maculé, je me redressais après quelques minutes et réajustais mes vêtements. Reboutonnant mon chemisier, je constatais qu’il était couvert de sperme, dégoulinant encore de mes joues. Je m’essuyais sommairement avant de prendre congé de ces messieurs qui me remercièrent longuement.

Arrivée dans ma chambre, je prenais une nouvelle photo que j’allais faire partager à mon Paul. Sur l’image, de longues coulures de rimmel partaient de mes yeux et des traces plus que suspectes couvraient partiellement mes lèvres rouges. Mes cheveux et mon chemisier trahissaient eux aussi mes agissements.
Paul me répondit aussitôt en me remerciant pour les photos et en espérant que j’avais pris beaucoup de plaisir et qu’il attendait que je lui relate ma soirée avec force détails !!!!

Le lendemain matin, encore fourbue de ma nuit, je pris plaisir à prendre mon petit déjeuner sur la terrasse de ma chambre. La journée s’annonçait encore délicieuse… Et j’avais quelques euros en poche pour aller faire du shopping !!!! Mon séjour à Barcelone se présentait merveilleusement bien !!!

Je pris quelques minutes pour rédiger un mail afin de relater ma soirée à Paul. Paul adore me savoir prendre du plaisir et, en plus, cerise sur le gâteau, cela l’excite. Je l’imagine déjà en train de se masturber lorsqu’il lira mon message. Je dois dire que me remémorer cette soirée m’excite également. Je ne peux m’empêcher de me caresser en écrivant ces lignes…. Mon sexe est trempé…

Devant mes affaires posées sur mon canapé, je dois choisir pour m’habiller. Je finis par me décider pour une petite robe chemise bleue en soie toute légère. Un petit gilet blanc en cachemire vient compléter ma tenue. Des escarpins à talon aux pieds, je sors ainsi pimpante de ma chambre. Ah oui, j’ai oublié de souligner le fait que je n’ai toujours pas des sous-vêtements… Mon coquin de Paul a pris le soin de tout enlever de ma valise… Une petite photo dans l’ascenseur pour mon Paul et me voilà dans la rue. L’hôtel donne sur les célèbres ramblas de Barcelone. C’est vivant, animé, j’adore. Je me sens bien. Il fait doux, je me regarde dans une vitrine, je me trouve plutôt mignonne, et plutôt en forme après ma nuit agitée. D’ailleurs, je n’ai pas revu mes amants d’hier. Peut-être qu’ils sont déjà repartis. Voyant ma silhouette, je me lance un défi en défaisant un bouton en haut, puis un autre en bas. Je suis seule. Personne ne me connait et Paul n’est pas là pour me mettre la pression. Alors… j’en profite. Je me sens femme. Une femme avec 1 000 euros en poche pour faire des folies, mais avant toutes choses, je m’arrête pour m’offrir un petit café « un cafe con leche »… Je m’assois à une terrasse au soleil. Les rayons d’automne sont encore chauds. J’en profite pour dévoiler mes jambes.

Mes yeux, cachés derrière mes lunettes de soleil, observent les hommes qui passent et qui me matent plus ou moins discrètement. Mentalement, je m’amuse à donner une note à chacun… C’est drôle. Je me sens bête à sourire toute seule, mais que c’est bon de vivre ainsi à son rythme, sans contrainte…

Mes rêveries sont brusquement interrompues. Quelqu’un me tape sur l’épaule. Il me fait comprendre que mon gilet est tombé par terre. Tout en me le tendant, il me parle. Il a un très beau sourire, mais je ne comprends pas son langage. Sûrement du catalan. « Disculpe, yo soy francés y no entiendo catalán » (Excusez-moi, je suis française et je ne comprends pas le catalan). L’homme s’assit à côté de moi et reprit en espagnol. « Debí adivinar que era francés. Está muy guapa » (J’aurais dû deviner que tu étais française. Tu es très jolie). Surprise par la situation, je me surpris à entamer la conversation avec cet homme charmant. J’appris qu’il dirigeait un garage de voitures allemandes. Il était charmeur et curieux. Il n’arrêtait pas de me poser des questions : pourquoi j’étais à Barcelone ? Est-ce que j’étais seule ou accompagnée ? Combien de temps je comptais rester dans la capitale catalane ? Est-ce que je connaissais bien la ville ? Avais-je prévu des choses pour aujourd’hui ? … Et moi, je me surprenais à lui répondre. J’adorais parler castillan et j’avoue passer un petit moment « sympathique » au cours duquel je me sentais entrer progressivement dans le jeu de la séduction … Après un second café, il me prit par le bras et m’entraina dans les petites rues typiques de la ville en se faisant fort de me faire découvrir la cité authentique … Et ma foi, je me laissais faire bien volontiers. Il était drôle et tendre. Il me faisait rire avec des anecdotes inouïes que je ne croyais qu’à moitié malgré son ton convaincant. Petit à petit, il se fait plus pressant. Son bras tenait maintenant ma taille et sa main parfois s’égarait jusque sur mes fesses, surpris par l’absence de sous-vêtement facile à deviner sous ma robe légère en soie, Juan, perturbé quelques secondes, prit de l’assurance et me gratifia de caresses plus appuyées sur mon cul sans vergogne. J’avoue que mon entrain et mon insouciance l’encouragèrent à aller plus en avant dans sa démarche progressive de découverte de mon corps… Juan commençait à s’endiabler, et moi aussi... Je pouvais distinguer une énorme bosse prometteuse dans son pantalon… On s’arrêta devant un magasin et Juan se mit en tête de m’offrir une robe… Je refusais, mais il me saisit la main et m’entraina dans la boutique. Les vêtements étaient chers et je n’osais pas trop déambuler dans les allées. Juan, très à l’aise me dirigea et sélectionna pour moi 3 robes et me poussa vers la cabine d’essayage où il entra avec moi… Il se colla derrière moi. Je pouvais sentir sa queue durcie de désir contre mes fesses. Nous nous regardâmes dans le miroir. Voyant que je ne m’opposais pas à lui, Juan s’enhardit. Il m’embrassa dans le cou et ses mains défirent un par un les boutons de ma robe qui finit par tomber à mes pieds… Totalement nue et soumise à son regard, Juan entreprit de me caresser la poitrine. Ses mains empoignaient mes mamelles et ses doigts titillaient mes tétons durcis d’excitation. Je sentais mes jambes flageoler et mon sexe ruisseler… Juan constata très rapidement la situation lorsque ses doigts écartèrent mes lèvres pour venir taquiner mon clitoris… J’étais tétanisée. Je fermais les yeux et me laissais emporter par un plaisir profond, intense et total… Toujours exposée au regard de Juan, je passais mes mains derrière moi pour venir au contact du sexe de Juan toujours emprisonné dans son pantalon. Une grosse queue pleine de promesses. A ce moment-là, un second orgasme me transperça… Juan me laissa revenir sur terre avant de me retourner et de m’embrasser à pleine bouche tout excité. Ses mains pétrissaient mes fesses. Toute retournée, je me décollais de Juan pour m’accroupir et m’occuper de sa queue emprisonnée et prête à exploser. Une fois sortie, sa taille m’impressionna. Son gland était énorme et violacé d’excitation… Une goutte de semence commençait à perler à son extrémité. Je me mis aussitôt à prendre sa superbe queue en bouche pour m’en délecter. Ma main gauche en caressant mon clitoris accentuait mon plaisir. Je m’appliquais à rendre hommage à cette magnifique tige tendue pleine de désir pour moi… Juan me laissait faire. Je le sentais crispé, prêt à gicler quand tout à coup je sentis quelque chose contre ma joue. Un sexe en érection s’était faufilé entre les rideaux de la cabine et semblait impatient de profiter de ma bouche… Je levais la tête pour questionner Juan qui m’encouragea à le sucer… C’est la première fois que je suçais une bite sans en connaitre son propriétaire. La situation m’excitait et moi qui aimais les belles queues, j’étais servie. Elle était douce, moins large que celle de Juan, mais plus longue. Je pouvais la gober plus facilement, mais je ne pouvais l’enfoncer toute entière dans ma gorge. Ainsi, pendant quelques minutes, je passais de l’une à l’autre… Tout à coup, mon inconnu ne put se retenir et m’inonda les seins… Ce fut l’élément déclencheur pour Juan qui me lâcha plusieurs giclées bien épaisses au fond de la gorge. Pendant que je me régalais de son nectar, léchant son gland pour le nettoyer, le sexe inconnu se retira… Juan était ravi. Tout sourire, il me releva et m’essuya les seins. Il m’embrassa à pleine bouche et se rhabilla pour me laisser essayer les vêtements qu’il m’avait choisi. « Pruebe estos vestidos para mí mi hermosa » (Essaie ces robes pour moi ma belle).

Revenant à moi, je m’aperçus que ma robe était toute tâchée de sperme et que Juan l’avait utilisée pour m’essuyer. Il fallait absolument qu'une de ces robes m’aille pour repartir du magasin. Les 3 robes m’allaient comme un gant. Leur prix était élevé. Il n’y en avait pas une à moins de 300 euros. Juan était galant et connaisseur. Il avait su juger ma taille. Chaque fois que je sortais de la cabine, il me complimentait « Eres hermosa mi bella francés. Tómalo » (Tu es belle, ma belle française. Prends-la). J’hésitais. Outre le fait qu’elles étaient courtes, la pure soie vierge était très agréable au contact de la peau, mais laissait à mon goût un peu trop deviner mes formes, mais c’est ce qui semblait plaire à Juan et je n’avais pas le choix, il fallait bien que j’en garde une. Je choisis la noire et blanche. Le haut blanc boutonné devant. « Es una buena opción, eres muy sexy » (C’est un bon choix, tu es très sexy) me complimenta Juan encore une fois. Mon amant se rendit à la caisse pour payer. Je l’entendis parler en catalan avec le vendeur que je n’osais regarder après ce qu’il s’était passé dans la cabine. Juan me tendit 2 sacs et nous sortîmes de la boutique. J’étais toute retournée par les événements. Je demandais à Juan de quoi le vendeur et lui avaient parlé. Il me répondit qu’il avait été très heureux de recevoir ma visite et que je lui avais donné beaucoup de plaisir, ce qui ne lui était pas arrivé depuis de nombreuses années et que pour cela, pour me remercier, il m’offrait les autres robes que j'avais essayées. Il n’aurait pas pu les vendre à une autre femme !!! Juan me reconduisit à mon hôtel. Je me sentais resplendissante et merveilleusement femme dans cette robe si impudique. Juan en profitait pour me soulever la robe et me caresser les fesses nues. Paul aurait été jaloux, moi qui le freine dans ses gestes exhibitionnistes. Ici, maintenant, je m’en moquais. J’y prenais même beaucoup de plaisir…
Nous nous arrêtâmes dans une bodega pour manger quelques tapas. Nous avions besoin de nous alimenter. « jamon y queso con une cerveza » (jambon et fromage avec une bière). Juan ne tarissait pas d’éloges. Il voulait savoir si toutes les françaises étaient comme moi… J’en étais pivoine de confusion. Quel bon moment intime au milieu d’une si grande ville ! La vie sait offrir de belles surprises à qui sait saisir sa chance.
Arrivés près de l’hôtel, Juan m’embrassa à pleine bouche et me fit promettre de le revoir pour faire un tour avec lui dans un de ses bolides allemands… Sa belle queue et une voiture de sport, voilà un amant qui me convient pleinement !!!

Dans ma chambre, je pris une douche, enfilais un peignoir de bain, pris mes affaires de piscine et me photographiais pour illustrer un petit message pour mon Paul qui devait être excité par les écarts de sa petite femme adorée.

La piscine était calme. Seule une femme nageait. Je mis mon maillot et glissais délicatement dans l’eau chaude et accueillante. Je pris beaucoup de plaisir à nager à mon rythme. Je repensais aux évènements récents et mon ventre se contracta rien que d'y penser. Tout à coup, je me heurtais à un homme que je n’avais pas vu arriver. Un bel homme qui devait être le compagnon de la femme qui nageait avec moi depuis un petit moment. Il s’excusa en français. Nous reprîmes nos longueurs chacun de notre côté.

Alors que je m’arrêtais pour souffler, je surpris le couple s’embrasser tout en me regardant. Sans gêne, ils se caressaient. Cela me rappelait les bons moments passés avec Paul, mais aujourd’hui, à ce moment précis, j’étais seule, encore excitée par mes idées coquines et par la vision du couple. Je me mis contre une arrivée d’eau afin de me laisser caresser le sexe par la force du jet et je fermais les yeux. Tout à coup, je sentis quelqu’un près de moi, c’était la femme qui s’était rapprochée.
- C’est bon, n’est-ce pas ? Moi aussi, je me laisse aller jusqu’à la jouissance…
J’étais surprise par la franchise peu commune de cette femme qui finalement me convenait. Aussi je lui répondis que j’étais seule et que cette caresse aquatique était bienvenue… Et je fermais à nouveau les yeux. C’est alors que je sentis une main sur mon sexe. La femme enhardie par mes propos se mit à me caresser et me fit jouir… Lorsque j’ouvris à nouveau les yeux, elle avait disparu. J’étais seule dans la piscine. Avais-je rêvé ?

Je sortis de l’eau, enlevais mon maillot et repris l’ascenseur pour retourner dans ma chambre. Quelle ne fut pas ma surprise de voir entrer au rez-de-chaussée un de mes amants d’hier soir. « Hola guapa ! ¿ Que tal ? » (Bonjour ma belle ! Comment vas-tu ?). Face à mon absence de réaction, il profita que nous étions seuls dans la cabine pour m’embrasser fougueusement et pour ouvrir mon peignoir de bain. Il prit mes seins à pleine bouche en mordillant mes tétons. Mes jambes flageolaient… J’eus juste le temps de refermer mon peignoir au moment où l’ascenseur s’arrêtait. L’espagnol me suivit dans le couloir. Je lui fis comprendre que je ne souhaitais pas l’accueillir dans ma chambre. Il accepta ma volonté, mais il ajouta « No entraré en tu habitación, pero suceras me en la puerta... Tengo mucho deseo por ti » (Je n’entre pas dans ta chambre, mais tu me suceras à la porte ... J’ai trop envie de toi). Je ne pus résister à sa requête et me voilà à genoux dans ma chambre en train de sucer mon amant par l’entrebâillement de la porte. C’était terriblement excitant. Lui aussi était tellement excité qu’il jouit très vite sous mes coups de langue. Il me lâcha plusieurs jets de sperme tout au fond de ma gorge. Il était tout aussi ravi que moi. Après m’avoir relevé, il m’embrassa à pleine bouche pour me remercier. « Hasta luego, mi putita de amor !! » (A plus tard, ma petite pute d’amour). Quel coquin !!! Je décidais de m’accorder un peu de repos avant de ressortir pour faire les boutiques.

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