Réfléchir Avant D'Agir
Réfléchir avant dagir
Cétait à lété 2007, à lépoque, je venais de finir ma troisième année de médecine et pour faire enrager mes parents qui sont racistes comme ce nest pas possible, je sortais avec Brahim et ses copains de la cité.
Une bande de petits voyous pas bien méchants, mais dun très mauvais genre et pas vraiment recommandable.
Mais bon, ils étaient plutôt sympas avec moi, et ce nétait pas si souvent quune petite bourge venait frayer avec eux.
En médecine, on parle souvent sexe, mais eux en parlaient avec vulgarité pour me choquer je crois et moi je me la jouais blasé.
Jadorais me faire draguer par tous ces mecs et je ne privais pas de les allumer, mais je refusais toujours daller plus loin.
Pourtant un vendredi soir où ils mavaient proposés de memmener en boite, je suis arrivé habillé en cuissarde et petit short en jeans, déguisé comme un avion de chasse quils mont dit.
Javais pourtant ma voiture, mais jai préféré monter dans leur poubelle où lon était 4 à larrière.
On était un petit peu serré et je me suis un peu faite un peu tripoter je lavoue, mais rien de bien méchant et ce nétait pas désagréable.
Quand on est arrivé à la boîte, le videur à lentrée a refusé de laisser rentrer 2 de mes amis et pour ne pas les laisser tomber, on est reparti.
On est donc reparti déçu de ne pas pouvoir faire un peu la fête.
Dans un virage, pour me rattr, je me suis retrouvé la main sur la braguette de lun dentre eux, et jai bien senti au travers de son pantalon en toile quil était plutôt en forme.
« Mon cochon, faudrait te détendre un peu ».
Ces paroles les ont tous fait éclater de rire, le faisant rougir comme une tomate.
Posant ma main sur un autre pantalon, je pu constater quil nétait pas le seul.
Cela mamusait beaucoup, mais je réalisais aussi que je jouais à un jeu dangereux.
La petite blonde sexy, au milieu de mes 5 petits loubards excités comme des ânes, ça allait mal finir.
Quand lun dentre eux ouvrit sa braguette pour en sortir un sexe tout raide, je compris que javais franchis la limite.
« Oh là les garçons, on semballe pas, ok pour une gâterie, mais un par un et dans un endroit tranquille ».
Dans ma tête, je me disais que si ça sarrêtait là, je men tirerai à bon compte, mais jétais un peu septique.
Javais déjà eu des rapports avec 2 garçons en même temps, mais cétait dans un cadre beaucoup plus sobre et davantage basé sur le jeu.
Là, je me retrouvais avec 5 mecs en rut qui nauraient certainement jamais espéré avoir une aubaine pareil.
Pour lendroit tranquille, ce fut le parking souterrain dune des tours proche de leur cité.
Pour la discrétion jaurais espéré mieux, mais cétait toutefois mieux que sur le bord de la route.
On est resté à 2 à larrière et jai commencé mon uvre, ça na pas du durer plus de trente secondes avant quil néjacule.
A ce rythme, je me suis dit que laffaire serait finalement assez vite expédiée.
Manque de bol, dune part, les autres furent beaucoup plus résistants et ensuite, cette situation malsaine commencer à mexciter de plus en plus.
Je sentais peu à peu mes tétons se dresser et des vagues de chaleur me remonter dans le ventre.
Je tentais bien de le dissimuler, mais malgré moi, je ne pouvais mempêcher donduler du bassin et quand lun deux a défait le premier bouton de mon short, je nai même pas esquissé un geste de refus.
Je les ai laissé me descendre le short, et quand lun dentre eux ma passé la main entre les cuisses, jétais déjà toute trempée.
« Putain, elle est comme nous, elle mouille comme une cochonne ».
Je ne sais pas lequel dentre eux a faufilé sa tête entre mes cuisses pour me lécher, mais jai commencé à gémir avec pourtant un sexe dans la bouche.
Un autre lui magaçait le cul avec un doigt pour finalement me rentrer le bout de sa langue dans lanus.
Et là, jai eu mon premier orgasme, pas vraiment violent mais suffisant pour leur demander de me prendre.
Je me suis retrouvé en cuissarde, les fesses à lair en dehors de la voiture avec 5 mecs qui se relayaient dans ma chatte et mon cul pour mon plus grand bonheur.
Cest seulement quand ils ont eu fini, que jai réalisé à mon grand soulagement quils portaient tous une capote, car bizarrement moi à aucun moment, je ny avais pensé.
Après cette séance un peu hors norme pour moi, javais une sensation divresse de sexe.
Je nétais toujours pas satisfaite et pourtant javais joui au moins 5 ou 6 fois.
Mais javais encore assez de lucidité pour me taire.
On sest tous rhabillé et lon est reparti en voiture, il y a eu de longues minutes de silence et finalement le chauffeur ma demandé si cela mavait plu car parlant au nom de tous les autres, ils avaient trouvé ça génial.
Jétais assez partagé pour leur répondre, car ils avaient bien vu que javais aussi pris mon pied, et je leur ai simplement répondu :
« Cétait pas mal, mais je ne ferais pas ça tous les jours ».
Réponse débile dune nana qui avait pris son pied comme jamais et qui nespérait quune chose, recommencer.
Ils mont ramené jusquà ma voiture comme si de rien nétait, et je suis reparti.
Une fois de retour chez mes parents, je réalisais enfin ce que je venais de faire et je nétais pas trop fière de moi.
Je venais de me faire sauter par 5 petits loubards de banlieue et jy avais pris du plaisir, quelle honte pour moi et dieu sait si je nai rien de prude.
Jai cogité ça pendant plusieurs jours et pourtant je suis quand même retourné les voir.
A ma grande surprise, rien navait changé dans leur comportement, comme si rien ne sétait passé.
Je suis donc venu rigoler avec eux jusquà la fin de lété, mais à quelques jours de la rentrée, je leur ai demandé sils voulaient que je leur souffle la bougie pour fêter mon départ.
Ils mont regardé bizarrement, mais jai eu droit à un oui de concert.
On fixait donc le rendez vous à Samedi et je leur demandais de trouver un endroit un peu plus confortable et pour les exciter je rajoutais « et un bon stock de capotes ».
Ils mavaient fixé rendez vous à 23 heures à coté du centre sportif.
Pour loccasion, jétais maquillé comme un camion de pompier avec un rouge à lèvre certainement trop criant et je métais épilé le minou de ses quelques poils blonds pour être lisse comme un uf.
Pour la tenue, jai retenu loption pratique, petits escarpins à lanière, petite jupette et boléro, le tout affranchi de labsence de sous vêtements.
Eux de leur côté avaient aussi fait très fort, ils avaient récupéré je ne sais pas comment les clefs de la salle de sport avec pour unique contrainte de ne pas allumer les lumières.
Ils mont montré limmense tapis du saut en hauteur en me demandant si niveau confort, ça pouvait maller ?
Aujourdhui, je ne veux pas de pantalon baissé les mecs, je vous veux tous à poil comme moi.
Joignant le geste à la parole, je balançais au loin la jupe et le boléro et alors que je masseyais pour retirer mes chaussures, ils me demandèrent de les garder.
On sest donc retrouvé à 6 sur cet immense matelas, a se caresser en se roulant des pelles.
Contrairement à la fois précédente, je navais pas la moindre appréhension et jétais même plutôt enthousiaste.
« Eh les garçons, cest peu être la dernière fois que lon se voit, alors ce soir ça doit être inoubliable ».
Je les ai tous fait allonger pour les sucer un par un en 69, les 2 premiers ont fini avec la queue déguisée au rouge à lèvres et moi je me suis offerte 6 apéros bien crémeux en me faisant câliner labricot.
Cétait génial, mais il manquait tout de même lintensité de la dernière fois et je ne savais pas comment leur dire.
Finalement, cest venu tous seul quand lun deux me demanda si je voulais quelque chose de particulier, et je leur ai répondu que je nétais pas là pour faire lamour mais pour baiser.
Ma réponse ne les déstabilisa bien longtemps et mes petits machos vulgaires ont repris les choses en main.
« Toi ma salope, on va te casser le cul, te ravager la moule et te récurer les amygdales ».
Jai frissonné quand ils mont parlé comme ça et jai rajouté.
« Jattends de voir « !
Je fus prise sans ménagement, devant derrière, à deux, à trois, ils étaient déchaînés, mais jétais dans un état de surexcitation encore pire.
Réalisant certainement quils narriveraient pas à me satisfaire complètement, ils ont descendu les anneaux de gymnastique et my ont attaché les mains et bandé les yeux.
Au début je pensais quils voulaient avoir les mains plus libre, mais quand ils mont dit :
« Tes trop chaude, on a besoin de renfort ».
Jai alors commencé à me débattre pour me détacher, mais cétait impossible et ces petits salauds narrêtaient de me tripoter le clito et les nichons et malgré moi de nouveau je me trouvais excité.
Quand jai entendu la porte du gymnase souvrir, jai eu peur.
« Eh les mecs, ce nest pas des conneries, regardez moi ce ptit lot ».
« Eh la môme, cest toi qui veux de la baise y paraît » ?
« Nous on veux bien, mais on tient pas à aller en taule si ces petits cons nous ont servis des bobards ».
« Alors dis le nous toi que tu veux quon te baise et je te jure que ça va être autre chose quavec les gamins ».
Mon ventre en crevait denvie, mais mon cerveau criait au secours.
Pourtant jai bien prononcé un « Oui je veux ».
Ils mont fait répéter « Tu veux quoi ? »
« Je veux quon me baise » !
Et là, si javais encore un doute sur la différence entre faire lamour et baiser, jai eu droit à une vraie démonstration.
La seul différence entre un viol et ça, cest que jétais consentante et que jai même trouvé le moyen dy prendre du plaisir.
Ils étaient 7 de plus dont 3 montés comme des camions, et eux mont réellement ravagé la chatte et le cul.
Là je ne contrôlais plus rien, jétais ballotté comme un morceau de viande.
Au début, jai apprécié ces nouvelles sensations brutales, je me sentais rempli et perforé comme jamais et je me souviens même avoir joui bruyamment plusieurs fois.
Mais à la fin je ne ressentais plus rien, sauf quand ils senfonçaient trop loin dans ma gorge et que je manquais de m.
Jai fini meurtrie avec des hématomes sur le ventre les fesses et les seins.
Heureusement que ce week-end là, mes parents nétaient pas encore rentré de vacances.
Car pour tout vêtement, javais un short sale et un tee short qui sentait la sueur et le sperme.
Jétais hébété, narrivant pas à réaliser ce qui venait de marriver.
Jai soigné tous mes petit bobos, les plus visibles étant les hématomes mais sont partis finalement très vite.
Ce fut plus douloureux pour les lèvres de mon sexe qui étaient toutes gonflées et bien que mon anus été aussi un peu irrité, ce fut lendroit qui me fit le moins souffrir finalement.
Bien entendu, je ne recommande ceci à personne et pourtant il marrive encore parfois de me masturber en y pensant.
La nature humaine est vraiment bizarre et je sais que mon inconscience aurait pu me couter très cher, alors si certaines dentre vous lisent ce récit, quelles fassent bien attention, tout fantasme nest pas bon à réaliser.
Contentez vous des plaisirs à 2 voire à 3 si cela vous chante, mais ne tentez rien que vous pourriez regretter et surtout qui vous serez imposé par un autre.
Jen profite pour saluer mes petits voyous de banlieue que je nai jamais revu et qui se reconnaîtront surement.
Je mappelle Mélodie
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