Sur Une Plage Des Landes (Chapitre 1)

Entre Guy, nous t'attendions, Monique et Françoise nous ont tellement parlé de toi que nous sommes toutes impatientes de te connaître.
La fille qui m'accueille sur ces paroles est presque nue. Elle se hisse sur la pointe des pieds, s'accroche à mon cou et plaque contre mon torse sa poitrine à peine dissimulée sous le voile transparent.
Sa bouche ourlée se colle comme une ventouse à la mienne. Sa langue introduite entre mes lèvres joue à repousser ma langue au fond de ma gorge.
Le baiser d'accueil terminé, elle s'écarte et déclare à ses complices en refermant la porte à clé :
- « Pas mal pour une première connaissance ! »
Après cette appréciation, elle se retourne en me présente son derrière tout aussi appétissant que le devant avant de me tirer par la main dans un long couloir éclairé par des appliques tamisées.
Chapitre 1
Devant les dunes de Messanges, le sable de la plage naturiste découvert par la mer retirée au loin, brûle sous le soleil ardent
Avant de venir ici pour me détendre et me faire bronzer, je me suis complètement épilé de haut en bas. Maintenant, seul sur ce coin de la plage que je connais bien, installé à l'abri des regards derrière une grosse souche d’arbre que les marées ont apportée et jetée sur le sable fin, je me dénude avant de déballer sur ma serviette étalée les objets hétéroclites que je cherche longs et surtout gros pour mes jeux solitaires.
Avant de commencer à caresser ma verge imberbe qui se détache plus blanche entre de mes cuisses brunies par le soleil, je choisi une cannette de soda que je pose verticalement sur son fond.
Je l'ai choisie aujourd'hui pour sa forme gonflée en haut et en bas avec un resserrement en son milieu.
Je me délecte déjà de cette pénétration froide qui contraste avec le feu de mon cul.
Pour faire durer et savourer la violation progressive que je vais faire à mon intimité, je dois m’abaisser et me relever lentement accroupi sur le goulot qui va se glisser dans mon ventre.


Les yeux fermés, je m'imagine être une femme qui s'empale sur la grosse verge d'un homme.
Doucement le goulot a commencé à travailler mon anus en l’ouvrant.
- Putain que c’est bon ! La première moitié n’est pas encore passée que déjà j’ai la sensation que le flacon est arrivé au fond de mes entrailles.
Mon anus se rétracte sur le milieu plus étroit de la fiole. La canette, devenue un plug, est arrêtée dans sa progression et maintenue en situation.
Au bout de plusieurs minutes sans bouger dans cette posture, mon cul s’adapte à cette grosseur qui l’empli.
Je regrette de ne pas pouvoir voir le muscle culier s’écarter doucement étiré par le verre lorsque je reprends ma descente sur le verre en savourant le plaisir que je me donne.
Dès qu’il commence des amorces de contractions pour demander une suite, je retire la bouteille en entraînant le rond musclé qui ne veut pas la lâcher.
Je retourne la bouteille et plante son goulot dans le sable.
Toujours accroupi et sur la pointe des pieds, je m’assois délicatement sur le fond plat du verre pour le mettre en position.
Le plug improvisé plus large que mon trou n’arrive pas à s’infiltrer dans mon ventre lorsque je commence à m'abaisser doucement sur lui.
Pour y arriver et m’aider à soulager la douleur que je me donne, je me tortille et tire mes fesses chacune à leur tour avec mes mains pour les écarter. Je pousse ensuite sur mon fondement pour lui demander de l’avaler.
La peau s’étire, s’étend et s’allonge sous la poussée et les tractions. Vaincu et distendu mon orifice cesse sa rébellion. Mon muscle anal se relâche à la périphérie du verre et mon anneau fini par s’ouvrir pour accepter l’intrus
La bouteille transformée en phallus termine sa progression au fond de mon ventre.
Pendant la percée dans mon ventre, les spasmes ont repoussé la chair distendue collée le long du flacon envahissant comme pour un long baiser.
Je me retrouve assis avec la bouteille blottie entre mes jambes fléchies.
Entre mes fesses reposant sur la serviette, le bout du goulot dépasse au milieu de mon anneau brun qui s’est resserré sur lui.
Maintenant que je suis bien rempli, j’attends quelques secondes avant de commencer à caresser avec douceur ma verge qui s’est dressée.
Mes doigts montent et descendent en serrant ma hampe pour repousser le sang dans sa tête. Les veines se gonflent rapidement et apparaissent sous la peau.
D’une main, je me décalotte ma verge en tirant sur la peau de son prépuce. Le gland apparaît avec son piercing qui brille au soleil. Je saisi l’anneau avec deux doigts et le tire pour allonger le trou dans lequel il passe.
Les terminaisons nerveuses excitées, me procurent un courant électrique qui me parcoure et me paralyse.
Je laisse échapper un peu salive de ma bouche sur le bout de mon sexe pour faire glisser le bout d’un de mes doigts dans le canal urinaire.
Je ralenti ma branlette. Trop tard je ne peux plus endiguer le plaisir qui a pris mon ventre.
La jouissance est violente. Elle me secoue, me fait trembler de la tête aux pieds.
Je me soulève sur les genoux avec la bouteille coquine bloquée dans mon fessier et son goulot dépassant comme pour prendre l'air au dehors de mon ventre.
Ma respiration s’accélère, mes couilles remontent dans leurs bourses jusqu’à l’aine pour lancer le sperme. Mes doigts enserrent ma hampe comme une pieuvre pour empêcher la sortie des spermatozoïdes.
Ils veulent jaillir. Je serre fortement ma main. En caressant ma verge de haut en bas je cherche à renvoyer dans mes couilles la liqueur qu’elle contient.
Lorsque ma hampe cesse de tressaillir, je desserre mes doigts.
Le canal urinaire gonflé rejette aussitôt en longs jets sa liqueur au travers de mon gland dissimuler dans le creux ma paume. Le sperme s’y écrase et glisse sur mes doigts qui emprisonnent ma colonne de chair.
Je continue mon mouvement tout le long de ma verge pour en sortir les dernières gouttes de semence.

Ma main et mes doigts sont maintenant souillés par ce jus laiteux et blanchâtre que je porte à ma bouche.
Je suce et tète toutes mes phalanges poisseuses. Je me lèche lentement à petits coups de langue pour m’en délecter. Ma langue se glisse partout, recherche des dernières traces de sperme qui laissent un goût aigre-doux et poivré dans ma bouche.
Après cette faveur que j’aime m’octroyer, je me laisse retomber sur le cul. La bouteille toujours blottie dans mon fondement s’enfonce brutalement en me violant une nouvelle fois.

A peu + pour la suite de mon histoire à partager avec vous : mes nouvelle amies

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