Dans La Boue
Quand javais dix huit/ dix neuf ans, ma copine du moment navait pas froid
aux yeux
Ni aux fesses !!! Grâce à elle jappris beaucoup sur les choses
de lamour. En cette journée pluvieuse, je me souviens dune fois en
particulier où jai pris avec elle un pied denfer
Nous étions partis une quinzaine de copains et copines dans un gite
forestier pour passer un weekend de fête
On avait une bonne sono et de
lalcool à gogo si bien que lambiance tourna à la grosse bringue ! On a
dansé, rigolé, des couples se sont formés, dautres défaits
Bref soirée
entre potes
Vers cinq heures du matin nous nous sommes couchés, la grosse
majorité ensommeillés par lalcool sombraient bien vite dans le sommeil. Ma
copine et moi navions pas exagéré sur la boisson, juste assez pour être
excités
Le gite nétait composé que dune pièce et donc tout le monde se coucha à
même le sol sur des tapis, dans des sacs de couchage. Si je me souviens
bien cétait durant le mois de mars et donc impossible de coucher à la
belle étoile
Dautant plus et fait important de lhistoire, il pleuvait
averse. Je pelotais ma copine et elle faisait de même, je sentais ses
petits seins qui dardaient et elle sentait mon sexe qui sérigeait ! Dune
main experte elle décalottait mon gland et faisait coulisser la chair de
mon pénis
A mon tour je plaçais une main sur son sexe. Cest doux, délicat
et
Humide
Je sentais le corps de ma compagne frémir de désir
On
sembrassait de façon gourmande, affamés des sensations que ressentaient
nos corps. Pas facile de rester discrets, ma copine étant du style plutôt
expansif
Le problème est quà force il nous devenait presquimpossible de
nous contrôler
Nous avions tant faim lun de lautre
Mutine, ma bien aimé me souffla à loreille : lève toi et suis moi
Surpris,jobéis.
faisait froid, le vent soufflait et des trombes deau sabattaient sur la
forêt jallais protester mais elle me fit un chut
De ses doigts agiles
elle me déshabilla complètement, elle fit de même pour elle et plaça les
habits à labri sous un porche. Puis elle mentraina sous les éléments
déchainés
Mes sens échauffés par les caresses ne ressentirent bizarrement pas le
froid, par contre le corps nu de ma copine ondulant sous la pleine lune me
permis de garder une bandaison qui navait pas faiblit depuis tout à
lheure
Nous avons avancé de quelques mètres sous la pluie puis ma vicieuse coquine
se jeta dans la boue et me fis signe de ly rejoindre ! La pluie nous
dégoulinait de partout, je sentais le corps chaud de mon amie tout contre
moi mais je sentais aussi sa peau et ses cheveux tout trempes
Le contraste
était saisissant : la chaleur du désir, la chaleur animale contre la
froideur et lhumidité des éléments en furies.
Nous nous roulions dans la boue, dans les flaques deau ; nous nous
caressions de façon énergique, presque violente ; le désir était purement
charnel, bestial. Cest elle-même qui, toujours maitresse de la situation,
sempara de mon pénis pour lenfoncer dans son vagin
Jimagine que cette
fois là nous navons pas fait lamour à proprement parler
Nous avons
plutôt baisé, pratiqué le coït, nous avons forniqué, nous nous sommes
accouplés
Cette nuit fut une communion entre nos corps et la nature, notre
ardeur et lardeur de la tempête mêlées nous procura un orgasme
incommensurable et unique, je dirai presque mystique
Ce nest pas une histoire de cupidon mais plutôt un récit de débauche mais
le plaisir passe aussi par des phases de luxure
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