Une Très Bonne Soirée Imprévue
Je venais davoir 24 ans. A lissue de mes études universitaires, javais intégré une formation dite de spécialisation.
Cette formation était accessible après un certain nombre dannées détudes ou dexpériences professionnelles. Pour cette raison, il y avait plus de stagiaires entre trente ou quarante ans que des moins de 25 ans
Pour éviter dêtre mis de coté en raison de mon âge, je métais lié damitié avec un autre stagiaire de 30 ans ! Celui-ci connaissait bien des groupes musicaux qui se produisaient souvent dans les salles ou les bars.
Au cours de mes études, javais plus fréquenté les boites de nuit ! Pourtant, un jour, cet ami minvita à venir le rejoindre à 22 heures dans un bar situé tout près de la gare il me dit :
- Je te présenterai les membres du groupe, tu vas voir, ils sont très bons, et en plus, ils sont super sympa !
Jentrais dans le bar vers 21 heures. Le concert navait pas encore commencé mais laffluence était déjà là et avec la meilleure volonté du monde, il aurait été impossible de sapprocher du comptoir !
En écrasant les pieds des nombreuses personnes ! Javisais un groupe de tables vides à coté desquelles je pris une chaise pour réserver la table. Mon ami arriva avec sa jolie femme, cinq minutes plus tard ! En sasseyant à ma table, lui, me dit :
- Tes arrivé une heure à lavance ou quoi ?
Les boissons que nous avions commandées arrivèrent juste au moment où les musiciens montaient sur scène. Le spectacle sest très bien passé, très bonne musique, très bonne acoustique, la bière le whisky le champagne étaient aussi parfait.
Les lumières quittèrent la scène pour néclairer que la salle. Mon ami, sa femme et moi même remarquions alors le manège dun jeune de 19 ou 20 ans, assis à trois tables de nous.
Celui-ci, écrivait sur un bout de papier quil tendait à un groupe de trois filles du même âge assises près de lui.
Il griffonnait à nouveau son papier et le rendait aux filles. Elle le lisaient et lui rendaient avec toujours le même sourire. Au bout dun moment, jinvitais ce jeune homme à sapprocher. Je lui demandais ce quil faisait.
Il était en train de draguer ces trois filles, oui, les trois à la fois, en leur écrivant un poème. Malheureusement, il est vrai que son texte poussait plus à rire quà rêver !
Je lui proposais donc mon aide. Alors que le groupe remontait sur la scène, japportais des modifications indispensables et je lui retournais le papier, il avait noter le prénom des trois filles sur sa feuille :Marie, Josette et Christine.
De son coté, il repartait recopier son texte en y apportant mes corrections. Lorsquil le présenta aux filles, par politesse, elles le lire. Cette fois-ci elle ne sourirent pas ! Une delles dit quelques mots à loreille du jeune homme. Mon ami qui avait compris ce qui se passait me dit :
- Ca y est il va pas rentrer tout seul ce soir !
Je souriais avant de me concentrer à nouveau sur la musique. Deux minutes plus tard, le jeune homme vint me voir en me disant :
- Elles ont aimé mais croient que je peux faire mieux. Entre deux morceaux jessayais de bonifier encore cet écrit tout en corrigeant les fautes quil y avait ajouté.
Il repartit. On est arrivé tant bien que mal à la fin du concert. Je restais un moment seul avec la femme de mon ami, alors que celui-ci allait discuter avec ses amis musiciens. Les trois filles vinrent alors me taper sur lépaule.
- Merci, Monsieur, me dirent-elles !
- Merci ! mais pourquoi ?
- Merci pour votre joli poème.
- Ce nest pas mon poème, cest celui du jeune homme.
Javais beau le chercher du regard, mais il avait disparu !
- Je nai fait que laider en corrigeant ses fautes.
En quelques sortes cétait la vérité. Et elles continuer de minterroger :
- Vous pouvez nous expliquer comment ?
Je voyais mon amis en train de nous rejoindre, suivi des musiciens. Je dis alors aux filles de maccorder quelques minutes, que javais des personnes à rencontrer, mais quaprès on pourrait discuter !
Lune delle, la plus jeune, Josette prétexta quelle devait rentrer chez ses parents. Les deux autres sassirent à mattendre.
Mon ami me présenta ces musiciens ! nous avons discuter un moment. Alors que ceux-ci repartaient ranger leur matériel, le patron du bar invita tous les clients à sortir car il allait devoir fermer son établissement.
Je me suis donc retrouvé dehors, seul avec les deux jeunes filles. Le couple damis avait du rester dedans à aider au rangement des instruments ou sortir par lautre porte ! Je lignore, toujours est-il que avec les deux filles nous nous sommes assis sur un banc, de lautre coté de la rue.
Lune delle me demanda donc quelle aide javais apporté à leur poète. Je gardais la même ligne de défense, en indiquant que mon aide sétait limitée à corriger quelques fautes !
Je ne dois pas être assez convainquant à quatre heures du matin, parce quelles refusaient de me croire.
Les vapeurs dalcool peut-être mapportèrent une idée. Je leur dis quelles pouvaient me fouiller et que je navais pas de dictionnaire de rimes sur moi !
Une delles Marie profita de loccasion, pour me demander si je ne voulais pas la fouiller moi, pour laiderait à se réchauffer.
Cest vrai quun petit vent frais sengouffrait dans la rue et ca tranchait avec la chaleur du bar ! Je retirais mon sweat-shirt pour le proposer à la jeune fille.
Elle lenfila rapidement. Puis elles repartirent de plus belle. Je ne voulais pas avouer ma responsabilité dans lécriture du poème. Si celui-ci pouvait permettre à ce gars là de sortir ces filles, je ne voulais pas lui casser son coup, et peut-être il les croise tous les jours à la fac.
Toujours est-il quau bout dun moment, je me laissais aussi gagner par la fraîcheur ! Mon sweat-shirt avait été définitivement adopté par la jolie Marie, qui semblait sy endormir dedans. Je demandais alors à Christine lautre fille :
- Il ny a pas moyen daller ailleurs ? Ici il fait trop froid :
Elle de me répondre :
- Si tu veux, notre appartement nest pas loin.
Je décidais donc de les suivre. Effectivement, cétait à moins de cent mètres. Une fois arrivés, devant la porte. Je me rendis compte, que mon sweat-shirt, qui réchauffait Marie, avait bien du mal à franchir les trois étages.
Pendant que Christine ouvrait la porte, je descendais aider sa copine à monter les escaliers. Je passais mon bras derrière sa taille pour la tenir tout en la poussant vers le haut, il y avait de tangage.
Marie rentra dans lappartement et manqua de sétaler dans le couloir. Christine me demanda alors daller coucher sa copine et de la rejoindre.
Je trouvais rapidement la chambre et après avoir déposé Marie délicatement sur lunique lit, jentrepris de récupérer mon sweat-shirt.
Alors que je relevais les bords du vêtement en maintenant le tee-shift, Marie me pris dans ses bras et membrassa. Etait-ce la fatigue, la chaleur de la pièce ou les effets de lalcool ? ou alors les trois réunis ?
Toujours est-il que sentir ces lèvres humides se coller aux miennes, cette langue à la recherche de la mienne, menleva pour un moment, toute sensation de froid ! Au bout, de quelques instants, Marie sendormit. Jen profitais pour récupérer mon sweat-shirt.
Jallais alors enfin rejoindre Christine ! Celle-ci mattendait en petite culotte et tee-shirt dans une pièce qui faisait office de cuisine et de salle à manger.
- Jai fait tomber du whisky et du champagne sur mon jean, il est sale, me dit-elle à mon arrivée.
Je lui dis alors à Christine que sa copine dormait dans la chambre. Elle me demanda alors si javais déshabillé Marie avant quelle ne se couche. Je lui répondit quà part mon sweat-shirt elle avait sur le dos tout ce quelle avait en rentrant du concert. Christine me prit par la main et mentraîna vers la chambre et me dit :
- Viens maider à la déshabiller ! La dernière fois quelle a dormi tout habillée, elle a failli me !
Arrivés dans la chambre, on retira chacun une chaussure. Retournant Marie sur le dos, Christine ouvrit le pantalon et on tira alors chacun sur une jambe.
Ca me fit une drôle de sensation de déshabiller une jeune femme ! Cest tout un fantasme que dassister à leffeuillage dune femme, mais là, cest moi qui décidait de lordre de cet effeuillage !
Alors quon retirait le pantalon définitivement, Marie, bougea, se tourna sur le coté, puis se remit sur le dos. Là, comme au milieu dun mauvais rêve, elle appela :
- Maman, viens me chercher.
Christine me fit signe de la tête de ne pas minquiéter. Elle déposa sur le front de Marie une bise, pour la rassurer. Là, Marie saisi brusquement la tête de Christine et lembrassa comme elle lavait fait avec moi quelques minutes plus tôt ! Christine répondit à ces baisers, jusquà ce que Marie se rendorme.
Se tournant vers moi, Christine mexpliqua que lorsquelle était petite, Marie avait été oubliée par sa mère dans le train. Pendant que Marie dormait dans le compartiment sa mère était allé chercher de leau fraîche au café de cette gare.
A son retour sur le quai, le train nétait plus là. Marie sétait réveillée avant quun autre train ne la ramène à sa mère. Alors depuis, quand elle dort toute habillée elle est victime de cauchemars au cours desquels elle se tourne et se retourne parfois en donnant des coups de poings violents.
Alors que Christine mexpliquait cela, on faisait descendre la culotte en coton de Marie, le long de ses cuisses. Là surprise ! Marie avait les poils pubiens taillés en forme de coeur ! Un coeur pointant vers son clito.
- Tu trouves ça beau ? me demande Christine.
- Oui ! et cest original en plus ! Je connaissais le rasage intégral, ou ticket de métro, mais pas ça.
- On est dans une école desthéticiennes me répond Christine et comme on en a eu marre de voir toutes ces foufounes entièrement épilées, on a décidé de jouer la différence. Mais tu verras cela tout à lheure !
On retira alors ses socquettes à Marie. Puis on fit rouler son tee-tee-shirt jusquà ses bras. Christine me demanda de redresser Marie quelques instants. Elle lui fit passer le tee-shirt au dessus de la tête, retira un bras après lautre. Puis elle dégrafa le soutien-gorge en me demandant de lui enlever. Maintenant son buste redressé avec la main droite, je fis descendre le vêtement sur ses bras. Là Christine me dit :
- Si on veut être tranquilles fait comme moi :
Elle se mit à quatre pattes sur le lit et commença à lécher, mordiller les seins de sa copine. De mon coté jen fis de même. Quoi quendormie, Marie réagissait très bien à nos caresses. Sans que nous ayons changé de rythme, Marie commença a respirer plus bruyamment, à gémir ! Je levais les yeux vers Christine pour me rendre compte quelle était en train de lécher le minou de sa copine.
Appliquant les consignes, jen fis de même. Marie se retrouvait avec une bouche et une langue sur chaque sein, deux mains sur son minou et deux pouces sur son clito ! Une vraie partouze, pendant son sommeil ! Marie eu un orgasme, doux et silencieux, sans même se réveiller.
Christine se leva sur le lit, je pu voir à sa culotte mouillée que cette séance lavait autant excitée que moi ! Elle me dit :
- Cest bon, elle est bonne pour huit heure de sommeil.
Je lai suivie jusquau salon ! Elle membrassa en me remerciant de lavoir aidée.
Elle me dit alors quelle voulait bien croire que je navais rien à voir avec ce poème, mais que pour me faire pardonner de ne lui avoir pas écrit de si belles choses, elle voulait me lancer un défit.
Par celui-ci, je devais la faire jouir, que par des caresses, interdiction de la pénétrer autrement que ma langue dans sa bouche. Elle retira ses chaussettes et me dit :
- Je nai plus que deux vêtements, tu ne peux en retirer quun seul.
- Et moi ! Quest-ce que jy gagne si tu jouis ?
- Tu pourras disposer de mon corps à ta guise jusquà demain midi !
- Sexuellement ?
- Oui, à ta guise".
Jai eu juste besoin de quelques secondes pour réfléchir. On était samedi matin ! Plus de 24 heures de plaisirs sexuels soffraient à moi.
Je retirais alors le tee-shirt de Christine. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Je la fis se lever et la plaquant à laide de mon bassin contre le mur, je lembrassais à pleine bouche en malaxant ses seins et triturant les extrémités !
Son excitation commençait à monter, ma queue, elle était déjà à son apogée. Je demandais alors à Christine si javais le droit de me déshabiller aussi. Elle me dit bien sûr. Jôtais alors mon tee-shirt, je fis tomber mon pantalon à mes pieds avant de sortir ma queue du caleçon par louverture prévue à cet effet !
Je repris alors mes massages tout en plaquant Christine contre le mur avec mon bassin et ma queue, dorénavant ! Christine passa ses bras autour de mon cou et leva une jambe à lhorizontale. Je pu me rapprocher un peu plus delle.
Ma queue frottait contre sa culotte. Alors que je soulevais lautre jambe, Christine enferma mon bassin entre ses jambes. Cela me permit de la soulever et de la porter jusquau canapé tout proche. Au cours du trajet, ma bouche remplaçait mes mains sur ses seins.
A sentir la dureté et lérection des tétons, je savais que ma victoire était toute proche ! Je posais Christine sur le canapé. Sa tête reposait sur le coussin, près dun accoudoir. Je lui fis écarter les jambes et je me suis allongé sur elle. Alors que je lui excitais les seins avec ma bouche et mes mains, à travers de la fine couche de coton, nos sexes faisaient connaissance !
Ce qui devait arriver arriva, Christine à jouit, très vite après ça ! Elle pris alors mon sexe dans sa bouche pour déguster le jus de celui-ci qui ne tarda pas a lui envahir la Gorge.
Nous avons rejoint Marie toujours endormie. je me suis coucher au milieu des deux filles, Marie cest réveiller et a voulu aussi participer après avoir récupéré ! Elle navait plus sommeil alors elle a gouter aussi au jus de ma queue à son tour.
Nous sommes restés enlacés tous les trois jusquau soir.
Quelle formidable nuit
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!