Chantal Et Mon Pote Complices (5)
Je me souviens que les jours qui ont suivi cette visite au Musée de lérotisme, Chantal avait été des plus tendre avec moi. Javais même eu limpression quelle était disposée à me faire plaisir dans la déroute de mes fantasmes. Elle a bien essayé de savoir si je savais. Jai fait celui qui navait rien vu même si à plusieurs reprises je lui ai parlé du Musée et de ce quon y avait vu. Jai même été jusquà lui faire savoir que par moments je lui aurai bien fait des cochonneries sur place si javait été sûr de ne pas me faire envoyer sur les roses. Cela la faisait rire et à un moment, elle a même été jusquà me dire que jaurais dû, car certaines choses quelle avait vues ce jour là, lavaient troublée. Pour quelle mavoue cela, il fallait vraiment quelle culpabilise sur ce quelle avait fait et quelle veuille se faire pardonner. Je devais plus tard profiter de cet état desprit, mais plus encore, j'allais découvrir une nouvelle épouse. Une femme qui était capable de dépasser ses principes bourgeois puis ses tabous pour devenir une véritable accro du sexe sous ses formes les plus perverses. Elle avait honte bien sûr, car elle savait qu'elle était devenue cette salope sans plus aucune volonté. Quand elle sortait de ses histoires je la retrouvais épuisée, abattue. Je la réconfortais et on reprenait notre vie de couple bourgeois et je laimais encore plus à chaque fois.
J'avais bien conscience de l'effet d'envoûtement lié à notre copain. René avait un ascendant sur elle qui maintenant me faisait peur, mais ne l'avais-je pas voulu? Ce mélange de sexe et de jalousie me procurait un plaisir sans limites.
Elle avait arrêté sa balade pour René en vue du Musée. Il m'a fallu attendre plusieurs jours pour savoir la suite.
Un soir au lit, elle s'est blottie contre moi et doucement, en me caressant le sexe, elle a repris son histoire.
- " En m'approchant du Musée, mes jambes se sont mises à trembler. J'ai failli m'évanouir.
Le Musée était éclairé mais visiblement fermé. Je me suis approchée de la porte vitrée. Lhomme qui était au guichet lors de notre première visite est tout de suite venu à ma rencontre pour mouvrir la porte. Pas de René. Je ne sais comment dire mais il me trouble aussi cet homme ; il est moche, sans cheveux mais il est très sympa. Quand il me regarde il me déshabille des yeux. Tu sais comment je naime pas cela et pourtant quand lui me regarde, je trouve cela plaisant et même je ne fais rien pour me dérober. Je suis sûre que tu ne reconnaîtrais pas ta femme ! Une allumeuse ! Enfin presque. Une salope certainement. Jai honte mais je ne peux résister.
Il restait encore quelques visiteurs attardés ce soir là au Musée. A la caisse une nana. Le gars ma demblée traitée comme une reine. Il ma entraînée dans le Musée pour une visite commentée. Il ne ma pas proposé denlever mon imper. Drôle non ?
Au deuxième étage, lexposition avait complètement changé. Tout létage était encombré de mannequins qui montraient de femmes attachées. Elles étaient toutes très belles. Deux personnes se promenaient parmi les modèles et cela faisait un peu drôle. Gérard, cest comme ça quil sappelle, sest arrêté devant une poupée à la grosse poitrine enserrée dans un assemblage incompréhensibles de cordes. Son visage montrait une certaine douleur. Quand il ma demandé ce que jen pensais, je lui ai avoué quauparavant cela me révoltait, mais ce soir, je trouvais cela très beau. Il a insisté en me demandant si cela me faisait quelque chose. Comme je ne répondais pas il a précisé sa pensée et en fait, il voulait savoir si cela mexcitait. Jétais troublée, surtout que je me suis sentie rougir comme il me regardait droit dans les yeux.
Tu sais Arsène, je ne comprenais rien. Tout ce que je ressentais métait inconnu. Tu nas jamais su me parler ainsi. Gérard nest pas très beau mais il est sympa et inspire une certitude concernant le sexe qui ma tout de suite rassurée quand je lai vu la premières fois. Ne te fâche pas mais je me sentais bien auprès de lui et je me laissais aller à mes réactions.
On est redescendus à laccueil vers 11 heures. René était là enfin avec deux autres types. Un jeune et un autre assez âgé avec un fort accent allemand. Mes jambes tremblent. Il me regarde à peine, me méprise même. Je souffre, je jouis presque. Jai compris quil sagissait dun industriel qui venait pour affaires. Mavait-il vendue pour son propre compte cette fois ? Lautre était un dun artiste qui exposait au Musée ».
Chantal me disait cela simplement, mais javais deviné quil sagissait de linconnu qui lavait attachée quelques semaines auparavant. Elle mentait bien et un accès de jalousie ma envahi mélangé à une honte pour lexcitation que cela me procurait. Elle continue sa narration, sans complexes.
- « Les deux nouveaux venus mont saluée avec beaucoup de déférence. Un peu trop à mon goût. Je métais mise dans une situation qui maintenant me plaisait moins. Autant faire la belle devant Gérard et René me branchait et même me troublait, autant plaire à ces deux là, et surtout le gros allemand, mamusait moins. Nous avons pris lapéritif quon nous a servi dans une salle isolée du sous-sol. Le gros industriel ne cessait de me regarder avec insistance. Il lorgnait même dans le décolleté de limperméable pour essayer de saisir un peu de mes éventuels sous vêtements.
Je réalisais que je devais avoir les joues rouges et je me sentais en chaleur. Gérard restait près de moi et cela me rassurait. Il riait beaucoup et je pense que lui aussi était un peu gris. Jétais seule femme parmi quatre mecs et avec une résistance et une aptitude à analyser la situation bien diminuée. René remplit encore mon verre. Il voulait assurer son « coup ». Il me regardait à peine et je cherchais son regard pour lui faire savoir que jétais daccord pour tout
Soumise, docile, obéissante tant je laimais. Comme je ne me sentais pas bien, je lai bu dune traite le verre en le fixant droit dans les yeux pour le provoquer et me donner des forces.
A partir de ce moment là je ne me suis plus sentie capable de réagir à quoi que ce soit ; jétais bien lucide pour me rendre compte de ce qui se passait mais jétais incapable dagir.
Soudain, jai senti que René me prenait par la taille pour me conduire dos contre le mur sur lequel je me suis appuyée. Jai senti ses mains délacer la ceinture qui fermait mon imperméable. Jai bien essayé de le retenir quand il sest ouvert mais René ma pris les mains et me les a passées dans les dos. Je me sentais bien et jai gardé de moi-même mes mains dans le dos. Les deux hommes regardaient, debout, leur verre à la main un mètre devant moi. Je nai pas bougé. Jai tressailli quand René ma embrassée dans le cou et je me suis même entendue rire bêtement. Il me plaisait et jaimais quil membrasse. Je lai laissé faire. Jai vu dans un coin de la pièce que Gérard avait prit une caméra et nous filmait ; je nen étais pas bien sûre mais là aussi je nai rien dit. Lui aussi je laime bien et il pouvait faire ce quil voulait.
Ils ont commencé à me toucher. Jai voulu les repousser mais René ma demandé dêtre sage avec eux et de les laisser me toucher. Jai baissé les bras et jai senti leurs mains semparer de mes seins, de mes fesses, de mes cuisses. Jai vu René séloigner encore plus pour laisser le gros prendre sa place à mes côtés, je nai rien dit, mais je me suis mise à pleurer, doucement parce quil sétait éloigné. Le gros allemand a commencé par me sucer le bout des seins à son tour. Sa langue était râpeuse et sa salive abondante. Jétais dégoûtée au début mais très vite jai senti le plaisir semparer de moi. Même lui mexcitait ! Je lui ai pris la tête pour lappuyer fortement sur ma poitrine. Il a glissé une main entre mes cuisses a lissée les poils de mon pubis pour les écarter et trouver lentrée de ma vulve.
Jai voulu résister mais là encore jai entendu René me dire au loin de me laisser faire, jai obéi. Je mouillais et impossible de cacher mon excitation. Lautre homme sest aussi approché de moi ; il ma enlevé limperméable. Jétais nue dans cette pièce, avec mes seuls bas et mas chaussures, à la merci de mecs avides de sexe ; et moi plus je me sentais salie, plus je sentais mon excitation grandir. Jai entendu lallemand dire à René que je mouillais comme une fontaine et quil voulait me baiser. Une salope de pute a-t-il ajouté avec un accent.
A ces mots je me suis dégagée. Je ne voulais pas me faire baiser par ce gros porc. Si René sétait présenté jaurais accepté. Mais pas ce vieillard libidineux.
René sest approché, il ma pris dans ses bras, ma caressée la nuque et les cheveux pour me calmer et doucement il ma dit dêtre gentille, quil attendait de moi dêtre docile. Ce monsieur représentait gros pour lui et quensuite je serais entièrement à lui.
Ces mots mont calmée, René caressait mon dos. On sest approché dune table et là, il ma retournée et ma fait poser ma tête sur mes mains devant moi. Il ma fait reculer les pieds et me cambrer pour faire ressortir ma croupe. Je lai entendu sadresser à lallemand en lui montrant mon cul et combien il était beau et rond ; jai senti quil écartait mes fesses pour exhiber mon petit trou et en même temps il me disait des mots doux pour me calmer et me soumettre : « calme toi, sois gentille, laisse-toi faire ». Et moi je navais quune seule envie, lui faire plaisir. Alors il ma demandé douvrir moi même mon cul pour le montrer aux deux autres ; après une hésitation, jai passé mes mains derrière moi et jai écarté mes fesses. Cest alors que jai senti un doigt qui me pénétrait et me fouillait le sexe. René ma encore demandé de me laisser faire. Maintenant il savait que jaccepterais tout, sil me le demandait. Je le confortais que jétais devenue son esclave, comme il me lavait crié lors de notre première rencontre au moment même où il déchargeait sa semence sur mes seins et mon visage.
Le jeune artiste sétait approché à son tour et je sentais sa bite tout près de mon visage. Il se branlait presque sur ma joue. Jentendais derrière moi le vieux qui disait : « je vais te baiser ma petite salope ; je vais te faire jouir ». Et ces mots me faisaient mouiller. Quand jai senti son gland à lentrée de mon ventre, je ne lai pas refusé, au contraire, jai fait reculer légèrement mes fesses pour laider à me pénétrer. Je mouillais, Arsène tellement jétais excitée. Les vapeurs dalcool sétaient dissipées et dans la salle régnait une forte odeur de sexe, de mouille et de sueur. Lhomme derrière moi sest mis me limer avec force, longtemps ; il prenait son temps le salaud. Il a commencé par des coups lents puis il a accéléré progressivement. Les autres regardaient.
Pendant ce temps René ma fait descendre la tête jusquà sa braguette et ma présenté sa queue quil avait sortie auparavant. Je lai engloutie entièrement dans ma bouche et me suis mise à la sucer sans hésiter. Je prenais un plaisir fou de me sentir baisée et sucer en même temps cette bite que jaimais déjà. Lautre mec, le plus jeune me pelotait les seins et frottait sa bite sur mes bouts durcis.
Soudain, lallemand sest mis à râler et accélérer son va et vient. Je lai entendu crier quil allait lâcher la « purée » et dun seul coup, jai senti les giclées de sperme chaud envahir mon ventre. Il était très chaud et abondant. Javais limpression quil ne sarrêterait pas de me remplir. Ce signal a également amené René à la jouissance et par longues saccades il sest déversé dans ma bouche. Jai avalé jusquà la dernière goutte sa semence salée : je laimais damour à cette seconde. Le troisième homme, lui, a éjaculé sur mes seins et le sperme chaud sest étalé sur ma poitrine et mon ventre. Jétais crevée.
René ma prise dans ses bras et ma allongée sur une table basse ; il a ouvert largement mes cuisses pour y recueillir le sperme qui sen échappait. Il a pris un mouchoir et a essuyé les souillures de semence. Il ne cessait de répéter que jétais bonne et quil maimait. Cest à ce moment que jai revu Gérard qui me filmait au fond de la pièce. Jai eu un peu peur mais je nai rien dit. Le gros bandait à nouveau et il revenait me caresser les seins. Il a passé une main sous mes fesses pour les malaxer sans douceur. Jai eu un sursaut quand il a fait pénétrer un doigt dans mon cul. Il sest empressé de crier que jétais étroite en cet endroit et quil aimerait y aller voir. Je refusais dabord, comme je navais pas souvent été prise par là, mais René encore a insisté. Il ma fait mettre à quatre pattes sur la table basse, sest placé derrière moi et ma ouvert les fesses pour montrer mon petit trou. La lumière violente qui venait du plafond devait bien éclairer cet endroit dhabitude caché. Là, il ma demandé de pousser pour ouvris la corolle ; je lai fait et jai senti mon trou souvrir. Un doigt sest vite introduit dedans. A lentrée dabord, puis au fond. Au début javais un peu mal mais bientôt, le plaisir ma envahi ; je trouvais du plaisir à me faire branler le cul. Mélange de honte et de plaisir.
Puis, il a enlevé son doigt et jai senti un jet de salive qui se posait sur mon trou, puis le doigt qui létalait pour lubrifier lentrée. Jaimais soudaine toute cette saloperie. Et quand lallemand a pointé sa bite à lentrée de mon anus, là encore je ne lai pas refusé et je suis allé à sa rencontre. Il a eu du mal à entrer au début et javais très mal. Jai crié et lhomme a retiré son membre. René sest enduit le doigt de salive et doucement il a commencé à écarter les chairs de lanus. Il a pris un gode que je nai pas vu venir et il la introduit doucement entre mes reins et sest mis à me masturber le cul. Les deux autres étaient penchés sur moi et mataient. Ce faisant il me demandait si cela me donnait du plaisir. Sans hésiter je disais oui, alors il enfonçait encore plus profond son objet. A un moment je lai entendu dire à lallemand que jétais prête, que mon cul était assez dilaté et ouvert. Alors lautre a pointé son gland et dun coup de reins il sest introduit dans moi sans aucune résistance à la place de du gode. Toute la colonne de chair ma pénétrée sans douleur. Quand il a commencé à limer, jai senti comme une chaleur violente envahir mon corps et la jouissance est venue dun seul coup, forte comme jamais je ne lavais ressentie. Je sentais bien son gland buter contre les parois de mon ventre. Je me sentais souillée, salie mais heureuse. Pendant que le gros me besognait, René me maintenait et membrassait avec douceur et lautre se branlait encore sur mes seins en regardant. Jai joui par le cul en me faisant enculer. Jamais jaurai pu imaginer me laisser aller si loin dans la débauche. A peine quelques secondes après moi, le gros a déchargé dans mon cul et jai encore nettement senti les giclées de sperme envahir mes reins. Il a vite quitté sa place quand la dernière goutte sest échappée de son gland et avant que jai le temps de souffler, lautre homme sest mis en place derrière moi, encouragé par René. Dun seul coup il ma pénétrée à son tour. Il a commencé des vas et viens très rapides. Je me laissais faire, sans plaisir cette fois. Jétais un ventre servant à assouvir le plaisir de cet homme inconnu de moi quelques heures avant. Heureusement très vite il a joui et ma remplie à son tour de son sperme.
Après cet épisode, je me suis réfugiée dans les bras de René, fatiguée mais comblée. En même temps je prenait la mesure de ce qui venait de se passer. Les deux hommes nous ont quittés. Je me suis rhabillée. Il était deux heures du marin. Je métais faite baiser pendant plus de deux heures par deux inconnus. Voilà.
Ensuite René et Gérard mont félicités sur ma beauté et la sensualité. Gérard ma avoué quil avait tout filmé. René ma promis de me revoir, il attendait encore plus de moi ! Cest tout ce que jespérais à cette minute ».
Quand Chantal eut terminé de parler, un grand silence sest installé dans le lit. Je me suis mis à réfléchir. Chantal restait silencieuse. Ma bite dans sa main était dure et me faisait mal. Elle prenait la mesure de leffet de sa conduite sur moi.
Elle venait tout bonnement de mavouer quelle mavait trompé sans vergogne. En plus davoir pris son pied, elle sétait amourachée dun mec, un gigolo qui ne devait pas trop sencombrer de scrupules. Mais je bandais ! Et ma bite me faisait mal. Jalousie, honte, excitation, douleur, tout cela se mêlait dans ma tête.
Je devais reconnaître quelle avait été franche pour tout mavouer. Elle risquait gros ou bien elle se foutait maintenant de moi.
Les jours à venir devaient permettre déclaircir lavenir de notre couple.
(à suivre et toujours possible de la voir si vous le souhaitez)
AL
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