Elle Adore Les Queues, Et Aime Les Filles.

Elle me tourne le dos et est blottie contre moi. Je repense à la journée d’hier, à la séance de ce matin, et je rebande :
- J’ai envie de toi à nouveau, tu veux bien que je t’encule encore ?
- Je suis ta pute, tu me prends quand tu veux, comme tu veux.
Je prends mon manche à pleine main et le glisse dans son huître, que je devine inondée, pour le lubrifier. Je me retire et remonte entre ses fesses. Je suis trop excité et ne trouve pas son petit trou. Elle repousse ma main et s’empare de bite :
- Laisse moi faire, j’ai l’habitude avec le gode. Elle est grosse ta queue, elle est chaude, et ton gland sur ma pastille, trop bon. Vas-y, pousse, enfonce toi, défonce moi.
Son petit cercle garde mon pieu en mémoire, et sait qu’il peut s’abandonner sans risque de se faire déchirer. Il se dilate sans effort et je m’engage avec le même délice que la première fois. On ne parle plus et je la ramone franchement mais sans brutalité. Ses plaintes et ses petits cris de plaisir m’encouragent, et je la pénètre longtemps, jusqu’à épuisement. Je me retire, le sexe toujours en érection :
- Désolé, mais je n’en plus petite salope, je n’ai plus vingt ans.
- Ne t’excuses pas, c’était très bien. J’adore comme tu me baises, ta queue est faîte pour mon cul.
- Tu es gentille chérie, mais en ce moment c’est de ta bouche dont j’ai besoin.
Elle ne se fait pas prier et me gobe sans plus attendre. Je me laisse turlutter avec joie, et la positionne pour lui fouiller l’anus de ma main. Son cul prend son pied aussi bien qu’avec ma queue qu’elle pompe savamment pour me faire jouir et avaler.
Il est onze heures, on se lève, se lave, prépare un petit repas, boit l’apéro, mange, et se recouche pour une sieste espagnole crapuleuse.
Je rentre chez moi.
On se rappelle le soir pour l’amour au téléphone, puis le lundi et le mardi. Elle m’informe alors qu’elle ne sera pas libre le mercredi car elle dîne avec Marie, puis passe la soirée avec elle, si je le permets.

Elle reste ma pute et veux mon accord :
- Tu as quartier libre mon chaton, mais à deux conditions : tu me racontes ta soirée, et surtout tu lui parles de moi pour une partie à trois.
Elle est heureuse de ma réponse, me promets de m’obéir, et je lui souhaite de bien jouir alors que je vais activer la veuve poignet en pensant à elles. Le lendemain elle me rappelle et me raconte tout. Elles ont dîné rapidement et à 21h elles étaient chez elles. Elles se sont aimées jusqu’à minuit, trois heures de baise intense, puis Marie a dormi avec elle et est partie tôt le matin. Pour ce qui est de l’amour à trois, Marie est d’accord, sauf que l’on sera quatre :
- Et je peux savoir qui est le quatrième ?
- Vous verrez bien, mais vous ne serez pas déçu.
Je n’insiste pas. On s’envoie en l’air par fil interposé, et on espère avec impatience le dimanche, jour où le rendez-vous est prévu à 14h.
Pour autant elle ne tient pas à perdre sa matinée, et je contacte les deux mecs de l’autoroute.
Le vieux veut bien payer le tarif, mais veut jouir deux fois dans sa bouche sans se retirer et se branler comme l’autre fois. Il reste dans la voiture pendant que Joëlle déguste et boit le plus jeune. Il s’en va et son au tour de notre porc. Comme la fois précédente il jouis très vite, en abondance, sans même bander. Ma petite pute avale tout, et entame une longue fellation à laquelle elle prend goût. Ce gros chibre la rend folle, et elle s’applique pour l’emmener au paradis. Il décharge à flots, vide ses énormes burnes, et elle se délecte à tout engloutir. Il me paie et s’en va.
- On a de quoi faire d’autres achats ma petite pute, tu aimes qu’il te paie en liquide.
Elle rebondit sur mon jeu de mots.
- Oui, surtout dans la bouche. Jamais un mec ne m’a autant récompensé. Il a des couilles impressionnantes, et il me donne tout.
- Il te plaît ?
- Pour les éjac c’est le meilleur. Ne le fais pas payer la prochaine fois, je veux le pomper juste pour le plaisir d’avaler son sperme chaud et épais.

On arrive chez elle, boit l’apéro pour se chauffer, mange, et il est l’heure de notre rencard.

Elle met des dessous hyper sexy, un tee-shirt largement décolleté et des jeans qui la moulent à merveille.
On arrive dans une résidence chic, elle sonne à l’interphone et on nous ouvre. Elle sonne à une porte qui s’ouvre sans que l’on ne voit personne. La porte se referme à double tour et je suis sur le cul.
Il ne s’agît d’un mec comme j’en étais persuadé, mais de Patricia, la patronne de la lingerie où elle s’habille. Elle est entièrement nue, me fait une bise alors qu’elle a droit à un petit baiser.
- Vous m’excusez mais on ne vous a pas attendus pour commencer. Si vous voulez me suivre.
Elle passe devant et je bande déjà. On arrive dans sa chambre où nous attend Marie, allongée nue sur le lit, ses mains cachant timidement son sexe. Elle fixe la bosse de mon pantalon et regarde Joëlle avec désir. On se déshabille, et son visage rougît à la vue de mon sexe dressé, mais encore plus sous l’effet du torride strip-tease intégral de ma salope. Patou l’invite à rejoindre son futur, ou plutôt sa future partenaire.

A suivre……………………

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!