Trio, Plan À Trois Au Soleil

Une très belle journée ensoleillée et caniculaire embrasait toute la ville de Marseille. Ceux qui avaient la climatisation chez eux y restèrent, les autres, moins chanceux si l'on peut dire cherchaient un peu de fraicheur en allant à la mer.

Pour JeanClaude et moi, c'était un temps parfait: farniente, rigolade, lecture, bronzage et matage de beaux mâles. Notre plage à nous est un bout de rocher où tous les gays des environs de Marseille se retrouvent pour la baignade et bien sûr la drague. Nous arrivons toujours tôt pour pique-niquer sur place car les mètres carrés sont vite pris

Après une baignade au milieu des poissons qui viennent vous manger dans la main, JeanClaude entreprit de me tartiner le corps d'huile de monoï. Il le faisait avec une telle douceur et une telle délicatesse que mon corps entier sentait la montée du désir. Mon sexe gonfla jusqu'en devenir marbre. Je me retournai prestement pour cacher à la vue de tous l'envie et l'excitation que j'éprouvais

JeanClaude s'assit à califourchon sur mon fessier et continua à m'enduire de monoï. Il me fit discrètement remarquer qu'un homme d'une quarantaine d'années, installé à une dizaine de mètres de nous regardait nos corps avec insistance.

Après quelques minutes, l'inconnu peut farouche se dirigea vers nous et nous interpella. Il nous proposa de venir chez lui après la plage car comme nous avions fait monter sa température, il nous proposa un plan à trois.

Il devait faire 1,80m pour 75 kgs, brun aux cheveux courts et des yeux noisettes, vraiment bien de sa personne. Sachant que ma moitié adore les plans à trois et que j'étais assez chaud moi-même car l'inconnu était bien, d'un commun accord nous acceptâmes avec plaisir.

A peine arrivés chez lui, il nous dirigea vers la chambre et nous déshabilla. Nous voici nus face à face tous les trois, nos langues se mélangeant ardemment. Je me suis agenouillé devant les deux sexes dressés et avec une rotation assez rapide, je les suçais, léchais et masturbais avec grande délectation.



Ma moitié me rejoignit et bientôt Françis - qui n'était plus un inconnu - nous demanda de nous mettre à quatre pattes sur son lit. Il nous demanda si nous aimerions nous faire prendre

La question ne se posait même pas: c'était un grand oui.

Il commença à nous caresser les fesses puis nous introduisit un index. Mon bébé était aux anges. Nous nous donnions la main pendant que nous subissions les mêmes assauts des doigts de Françis. Chaque infime plaisir qu'il nous procurait, nous nous le transmettions d'un regard ou d'une pression intense de la main.

Françis se mit debout et JeanClaude se cambra davantage pour mieux offrir son joli fessier bombé. Alternant lenteur et fougue,Françis lui dilata l'anus.

Le spectacle était si excitant que je me mis à jouir, à grands coups de râles de plaisir, ce qui provoqua la jouissance de mon bébé. Francis sortit de JeanClaude et se masturba jusqu'à éjaculer sur nos deux fessiers offerts.

Nous sommes restés un bon quart d'heure allongés, mon homme à ma gauche et Françis à ma droite. Je tenais et malaxais avec grand plaisir les deux verges. Une heure passa.

Ce trio fut si bon et excitant que nous decidames de prévoir le prochain avec la moitié de Francis. Mais ceci est une autre histoire.

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