Seul Avec Trois Filles.
Joëlle sallonge sur le lit, se colle à elle en se penchant dessus, et lui donne un tendre bisou.
Patricia mentraîne en dehors de la pièce :
- Viens, elles nont pas besoin de nous. Moi par contre jai envie de toi.
Elle memmène dans une deuxième chambre où un lit ouvert nous attend. Elle me demande de mallonger et sans perdre une seconde elle sinstalle entre mes jambes ouvertes pour me sucer. Je suis hyper excité de me retrouver avec trois jolies filles, de les savoir toutes les deux à côté, et de voir sa putain de copine me tailler une pipe comme si elle navait rien bouffer de huit jours. Je retire mon sexe de sa bouche :
- Doucement, tu vas me faire jouir.
- Jespère bien, je ne pense quà ça depuis lautre jour, à boire ton sperme.
- Daccord, mais jaimerais profiter bien de toi avant.
- Tu en profiteras après. Tu ne vas pas me faire linsulte de débander au bout de cinq minutes.
- Comme tu veux mais je ne te promets rien pour la suite.
- Tinquiète, je saurais moccuper de toi.
Jabandonne ma queue quelle reprend jusque dans sa gorge. Elle me bouffe voracement jusquaux couilles, minonde de salive pour mieux faire coulisser mon manche et sa grosse tête. Elle me regarde dans les yeux, et retire ma queue quelques instants :
- insulte moi, dis moi des obscénités, jaime quon me traite comme une salope.
Mon pieu disparaît à nouveau dans sa bouche. Elle me pompe à grande vitesse avec lintention daller au bout. Je fais de grands efforts pour me retenir :
- Salope, pute, tu vas lavoir mon foutre. Je vais jouir dans ton vide couilles. Je viens salope, prend tout, bouffe, avale, tu nes quune chienne.
Je décharge sans retenue et elle engloutît tout. Elle se lèche les babines et sallonge près de moi :
- Cétait pas mal, mais avec des couilles pareilles je pensais à plus de sauce.
Elle me caresse doucement pour ne pas que je débande, sans un mot, et on entend des gémissements venant de votre chambre :
- Elles nont pas lair de sennuyer à côté !
- Je sais quelles ont envie lune de lautre.
- Tu me plais beaucoup, mais je repars ce soir et jaimerais bien goûter à la petite Marie.
- Cest prévu, mais dabord tu dois me satisfaire par tous les trous, et moffrir encore ta semence.
- Mais je vais être incapable de laimer après tout çà.
- Cest peut-être mieux, mais je texpliquerais.
Viens on va les regarder, ça va taider à mieux bander.
Marie na pas avouer à sa patronne sa nuit avec Joëlle, et se sachant observée elle joue la sainte nitouche.
Lorsquon les a abandonnées Joëlle embrassait gentiment Marie. Elle enroule ses bras autour de son cou, nayant plus besoin de cacher sa chatte, cherche ta bouche, soude ses lèvres aux tiennes et lui donne un long baiser fougueux.
Elle défait son étreinte et ma salope se redresse légèrement pour mater son corps quelle entreprend de caresser. Elle est magnifique. Un peu plus jeune que ma blonde, un visage mignon à croquer, un corps hyper désirable. Elle a de superbes seins, qui sans être gros sont plus volumineux et plus lourds, de très beaux seins. Ses cuisses serrées ne permettent pas encore de mater sa chatte sinon une petite toise rasée courte en ticket de métro.
Joëlle pose une main sur un de ses globes, le caresse, le tâte, le masse délicatement, agace son téton qui se dresse. Sa main descend sur son flan, son ventre, sa hanche, son ventre, effleure sa toison et remonte sur sa jeune mamelle. Elle voudrait lui fouiller la chatte mais ne veux pas la brusquer. Elle se décide enfin, ses doigts passent sur son bouton, continuent sur sa fente. Elle ouvre les cuisses, et ils sy enfoncent tout seuls tellement sa vulve est une patinoire, non pas de glace froide, mais de chaude mouille. Elle revient sur son clito qui sort de sa cachette tout bandé pour mieux soffrir. Elle le masturbe, revient dans nid douillet puis sur son sein quelle nappe de sa crème avant de le lécher :
- Elle est bonne ta mouille, tu veux bien que je te lèche ?
- Jai envie moi aussi de ta chatte, tu ne préfères pas un 69 ?
- Ne vas trop vite, laisse nous le temps de nous découvrir.
Elle reprend son mamelon entre tes lèvres, puis descend sur son corps fiévreux dimpatience. Elle est sur son petit gland quelle embrasse, gobe, aspire jusquà obtenir un premier orgasme. Elle continue sur ses lèvres, grandes, petites, puis fourre ta langue dans la source de son plaisir.
Elle laime comme dans ses rêves les plus chauds, et obtient un deuxième orgasme dont elle se délecte. Elle remonte le long de son corps et lui roule une pelle :
- Jespère que ça ta plu ? Pour moi cétait génial. Tu as une petite chatte adorable.
- Cétait trop bon. On ne ma jamais léchée aussi bien, et jaimerais être aussi douée à mon tour.
- Ne tinquiètes pas, vu comme tu embrasses je suis sure que ta langue va me ravir. Mais avant jaimerais que tu me caresses à ton tour.
Elle sallonge sur le dos, abandonnée, et Marie se penche sur elle. Tandis que sa main parcours son corps réceptif à ses attouchements, Joëlle lui pose des questions sur sa vie sexuelle, auxquelles elle répond sans pudeur, dautant quelle entrecoupes les questions et réponses en lui confiant sa propre expérience beaucoup plus coquine. Ce nest pas de la curiosité mal placée, mais elle sintéresse à elle et veut déjà savoir les possibilités de se revoir seule. Décidément elle bouffe à tous les râteliers.
Elles savent bientôt tout lune de lautre :
Patricia a ouvert sa boutique il y a près de quatre ans, et la embauchée comme apprentie alors quelle navait que 19 ans. Elle sest montrée très gentille, lui faisait la bise matin et soir, lui a de suite demandée de la tutoyer, et avait toujours un sourire ou un petit mot à son attention. Pour ses 20 ans elle lui a proposé un week-end à la mer (dimanche et lundi, jour de fermeture). Cela na pu se faire car ses parents avaient prévu de fêter ça en famille, et elles ont repoussé de huit jours. Elles partent directement de la boutique, en voiture, et sont sur la côte avant 21h.
Elle confie à sa patronne quelle na jamais fait lamour, ni avec un homme, ni avec une fille.
Patricia semble ravie de cette nouvelle. Elle ne veut pas r delle, et attend le lendemain, quelle ait les idées claires, pour lui proposer de la dépuceler avec des godes quelle a amenés.
Elle nest pas prête, refuse, mais accepte une deuxième nuit très chaude déchanges réciproques : baisers, caresses, et broutages de minous.
Elles reviennent à la mer le week-end suivant, et elle accepte de se faire déflorer avec un toy.
Elles y reviennent tout lété, profite des journées pour se baigner et se promener, et des nuits pour saimer durant des heures. Elle accepte les godes dans sa chatte, son cul et sa bouche. Elle a un tempérament de soumise, mais nhésite pas à sarmer dun gode lorsque Patricia veut être prise à son tour par tous les orifices.
Cela fait trois ans que leur histoire dure, et elles espèrent connaître encore de très nombreuses années. Elles se retrouvent tous les week-end pour saimer, et passent les vacances dété ensemble.
Patricia est toujours très gentille avec elle, mais sen sert parfois comme dune pute. Elle ne lui en veut pas, et trouve ça normal. Cela a commencé par une très bonne cliente qui disait ouvertement à Patricia quelle avait envie delle, Marie. Pat a eu alors lidée daménager la cabine dessayage. Une fois par mois elle accompagne la cliente pour des soit disant essayages.
Elle a la cinquantaine, et cest à chaque fois pareil. Elle sont nues toutes les deux, et elle doit subir les assauts de cette salope armée dun gode. Elle la baise, se fait sucer, la sodomise, se fait sucer, enlève son gode et se fait bouffer sa grosse chatte toute poilue.
Depuis quelques temps il y a une deuxième cliente. Elle a la quarantaine et veut être dominée. Elle équipe Marie dun gode, se fait prendre en levrette, nettoie le gode de sa bouche, lenlève, lui bouffe le cul jusquà la faire jouir, puis la chatte jusquà un deuxième orgasme. Elle avale tout et la nettoie.
Elles sont toutes les deux aisées, achètent à chaque fois, et donnent un ou des billets en prime et que Patricia lui laisse.
Elle continue ses caresses et sa bouche descend rapidement sur son entre cuisses grand ouvert pour la recevoir.
Patricia me ramène dans lautre pièce.
Elle me branle pour me maintenir bien raide. Sa chatte a faim de ma queue. Elle vient sur moi, à califourchon, sempale sur mon pieu, et me chevauche dans un galop de longue haleine. Elle monte et descend sur ma hampe, écrase ses lèvres sur moi, et remonte avec un bruit de ventouse qui se décolle. Elle est brûlante, liquéfiée, et me monte jusquà épuisement en proférant des obscénités :
- Oh putain que cest bon de se faire un mec bien emmanché. Elle est bonne ta queue dans mon huître, je la sens bien me défoncer. Continue à bander salaud, cest trop bon.
Elle est en sueur, épuisée, et seffondre sur moi, mon sexe toujours dans le sien :
- Baise moi, baise moi, jai le ventre en feu, baise moi.
Je me mets en mouvement, et la lime copieusement Jai mes mains sur ses fesses que jécarte, et je doigte sa rondelle. Un doigt, deux, trois, je retire ma trique de sa chatte et plaque mon gland sur sa rondelle :
- Attend, je veux que tu me prennes à quatre pattes.
Elle sinstalle sur le lit, le cul au bord. Je suis debout, un pied au sol, lautre sur le lit, et je plante ma bite dans son petit trou impatient. Elle pousse un cri et mencourage de mots grossiers. Je la ramone bien profond, maccroche à ses épaules, pose mon deuxième pied sur le lit, et la monte comme un chien monte une chienne. Elle jouit sans retenue, je me retire, on est épuisé tous les deux. Elle seffondre sur le dos, les jambes pendantes. Je magenouille, plonge ma gueule entre elles, et me désaltère de sa mouille qui dégouline jusquà mi cuisses.
Je me vautre dans sa chatte rasée et luisante, et elle moffre un dernier et merveilleux orgasme. Je me relève :
- A genoux salope. Tu voulais que je jouisse encore, donne moi ta bouche, tu vas être servie.
Je lui maintient la tête, et la baise jusque dans la gorge. Elle salive en abondance et ma queue est aussi bien quelle létait dans sa chatte inondée. Je vais et viens, finis par jouir. On a tellement bien baisé que mes couilles se sont rechargées, et que je larrose copieusement. Elle avale tout, me nettoie, et on sallonge sur le lit, côte à côte, exténués.
Marie a sa bouche au ras de labricot de sa partenaire qui sent son souffle chaud.
A suivre
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