Seul Avec Trois Filles (Suite)
Marie a sa bouche au ras de labricot de sa partenaire qui sent son souffle chaud.
Elle plaque son museau sur sa fente, et la fouille comme un chien qui cherche des truffes. Il y a trop longtemps quelle en a envie pour garder sa sérénité. Elle est folle dexcitation à lidée davoir cette chatte à elle, et rien quà elle. Elle embrasse, lèche, fourre sa langue longue et musclée au plus profond de son intimité. Elle est particulièrement douée, et lenvoie très vite au septième ciel. Elle ne soccupe que de la fente, et ignore le bouton. Joëlle est autant clitoridienne que vaginale, et soccupe de son bourgeon pour doubler son plaisir. Elle le décalotte, lastique, le fais reluire à laide de sa salive. Elle se tortille comme un ver, gémit et crie de plaisir. Marie se désaltère de ses orgasmes qui senchaînent et se relève enfin pour reprendre son souffle.
Elle tombe en extase sur le petit gland gonflé de plaisir. Elle pose ses lèvres dessus et le tête amoureusement. Elle enfonce quatre doigts dans son intimité, jusquau milieu de la paume, et va et vient. Ma petite se cambre pour mieux toffrir :
- Tu me fais du bien Marie, cest trop bon. Je veux ta main entière, tes doigts longs et fins qui mexplorent. Fiste moi chérie, je veux ton poing fermé dans mon ventre.
Elle ne cesse de gober son clito et enfonce son pouce. Elle tourne sa main qui progresse pour bientôt disparaître jusquau poignet. Elle réalise ses souhaits, la visite de ses longs doigts, puis ferme son poing et le tourne, frottant ses parois vaginales. Elle soulève sa vulve de lintérieur pour encore mieux soffrir son gland. Joëlle hurle de bonheur, lencourage à bouger encore plus en elle.
Marie a envie elle aussi de se faire fister, son premier fisting.
Elle libère sa friandise, garde sa main au creux des cuisses de son amante et sallonge sur le dos, ses épaules à hauteur de ses genoux et inversement :
- Je veux ta main moi aussi, défonce moi la chatte, fais moi jouir comme tu jouis, je veux être ta petite salope.
Elle est toute mouillée, et Joëlle na aucun mal à glisser sa fine main dans son huître chaude bouillante. Elle la branles tout comme lautre la branle, sastiques son petit gland toute sorti de son orbite, celui de Marie est trop sensible et elle se lastique sans le décapuchonner. Elles saiment ainsi jusquà épuisement. Elles retirent leurs mains, se caressent leurs propres seins avec comme pour les imprégner de la liqueur de lautre, puis soffrent un petit 69 pour se nettoyer.
Lappartement de Patricia est heureusement très bien insonorisé, mais après tous ses cris de jouissance il règne un silence dans lequel on se repose.
Patricia ma parlé de Marie. Elle nest plus vierge du fait des godes, mais na jamais connu dhomme. Elle veut quelle ait une expérience, quelle ne soit plus « pucelle », ce qui leur permettrait dans leur week-end ou vacances de se faire des plans hétéros, daccepter les mecs qui les draguent. Je suis de passage, trop vieux pour quelle sattache, et elle a de suite pensé à moi. Jen suis honoré, seul hic, je suis épuisé. Elle me dit quelle a convaincu la petite, quelle est prête, et quil ne faut pas rater loccasion.
Elle se lève et me dit dattendre. Elle rejoint les deux nymphes et les trouve dans les bras lune de lautre :
- Ca va les filles ? Et puis je me demande pourquoi je pose la question. A vous voir, et à vous avoir entendues, vous avez dues vous éclater comme deux petites salopes. Pas vrai ?
Vous faites toutes les deux oui, dun mouvement de tête. Elle prévient Marie que lheure est arrivée et lui demande si elle est toujours daccord, ne veut pas la forcer. Cette dernière en a parlé à Joëlle alors quelles se reposaient, et elle la convaincue de mon attention et de ma douceur si besoin, du plaisir dêtre prise par un mâle sans renier les filles pour autant, et elle est partante.
Joëlle suit Patricia dans lautre chambre, et je rejoins mon ingénue, le dau en berne.
Elle a éteint la lumière et je la devine dans lobscurité.
- Ca va ?
- Oui.
- Patricia ma expliqué. Tu nas jamais connu de mec ?
- Non, que des filles et des godes.
- Et il paraît que tu es experte. Si tu aimes les godes, une vraie queue devrait te plaire. Patricia souhaite que tu me suces et me fasses jouir. Et toi, quest ce que tu en penses ?
- Je lui ai promis dessayer, et puis votre amie ma dit que cétait très agréable et quil faut que je connaisse ce plaisir. Et puis jai vu votre sexe tout à lheure et il me plait. Alors je ferais ce que vous voulez, je serais votre petite salope.
- Tu es mignonne. Je te préviens que ma queue est fatiguée, que jai beaucoup joui, et que tu risques avoir du mal à me satisfaire. Ne tinquiètes surtout pas, cest ma faute et tu ny seras pour rien.
On descend du lit, je suis debout, elle à genoux devant moi, toujours dans la pénombre.
Je lui donne quelques petits conseils pour ne pas la laisser seule devant cette épreuve, mais je suis persuadé quelle sen sortirait aussi bien sans. Elle me caresse de ses deux mains hésitantes, le manche et les couilles, et jadore sa douceur. Elle avance sa bouche, membrasse partout, et entrouvre ses lèvres pour engloutir ma bite ridicule. Elle me suce avec application, mais rien ny fait. Je me retire, la rassure, me décalotte et lui demande demplir sa bouche de salive avant de me reprendre. Jéprouve une délicieuse sensation et mon gland double de volume. Sa langue habile étale sa salive dessus et me ravit le bourgeon. Elle se recule et mon manche court et mou pend sous le poids de son gros bout. Elle le devine à peine dans le noir et allume la lumière. Elle me lèche et est émerveillée de mon chapeau qui ne cesse de sépanouir, alors que ma hampe névolue pas. Je lui demande de me laisser faire, recalotte, et me branle énergiquement. Je recommence à bander et revient dans sa bouche qui mattend. Elle me suce et me branle en même temps, retire ma queue pour voir la progression, la reprend, recommence.
- Ouah ! Quelle est belle votre bite, jai eu peur de ne pas vous faire bander. Je suis contente de moi, trop bien.
- Tu peux, tu es très douée. Avec le traitement quelle subit depuis quelques temps, ce nétait pas gagné. Reprends moi ma chérie, jadore comme tu suces.
Joëlle est avec Patricia, mais tiens à mettre les choses au point avant leurs ébats quelle espère chauds. Quand elle est venue la chercher, elle la vue dans les bras de Marie, a sans doute surpris leurs baisers ardents, et elle a senti comme un reproche, de la jalousie. Elle lui précise que Marie est formidable, mais quil nétait question que de sexe et non de sentiments. Elle laime bien mais cest tout. Elle aime trop le sexe, les hommes, pour sattacher à quelquun.
Marie par contre, avec qui elle a parlé, semble amoureuse de sa patronne. Patricia tient beaucoup à Marie, et la remercie pour ses paroles qui lui vont droit au cur. Le malentendu est oublié et elle lui roule une pelle reconnaissante. Sa cuisse se fraie un chemin entre les siennes et vient frotter sa chatte, tandis que sa propre chatte se frottes à elle.
Elle se sépare de Joëlle et att un coffret dans son armoire. Il y a deux très beaux godes ceintures dont elle a modifié les fixations. Elle lui en passe un et se fixe lautre solidement sur le haut de sa cuisse droite. Joëlle en fait de même, sans vraiment comprendre.
Elles sont face à face, Patricia saisit son long et gros manche et frotte le bout entre les lèvres de sa partenaire. La position est telle que tout naturellement lappareillage de celle-ci se trouve pointé vers sa moule quelle frotte à ton tour. Elle a de limagination la salope, et elles sont toute excitées de ce nouveau jeu. Petit à petit ces superbes engins pénètrent leurs chairs jusquaux portes de vos utérus. Elles restent quelques instant immobiles, les matraques entièrement enfouies, puis commencent de lents et longs vas et viens. Cette baise réciproque est torride et leurs bouches hermétiquement soudées ne laissent transparaître que quelques soupirs et gémissements.
Patricia est désolée, ses parents lont invitée à la dernière minute, elle na pu refuser et elles doivent écourter. Elle défait son gode dégoulinant de ses orgasmes et le nettoie de sa langue gourmande en lae fixant dans les yeux. Joëlle fait de même.
Elles sont maintenant sur le lit pour un 69 rapide.
Elle viennent nous rejoindre.
Patricia sadresse à moi :
- Alors, elle sen sort comment ma petite Marie ?
- A merveille, elle est trop mignonne, trot gentille et très douée. Elle suce mieux que certaines professionnelles.
- Et est ce quelle ta fait jouir ?
- Non, mais ce nest pas sa faute, je tavais prévenue.
Elle nous dit alors quelle est invitée, que lon doit partir, nous confie Marie pour la raccompagner, et nous invite à continuer chez toi ou chez elle. La proposition est acceptée à lunanimité, on discute un bon moment, et fait de chaleureux au revoir à notre hôtesse à qui je jure de repasser à loccasion.
Joëlle part devant dans la voiture de Marie, et je les suis jusque chez elle.
On est dans la chambre de Joëlle pour se changer. Elles essuient leurs entre cuisses avec leurs strings quelles échangent en cadeau. Joëlle atts deux petites culottes et deux nuisettes assorties et hyper sexy et dans lesquelles elles enfilent leurs corps de rêve. Je mets mon short du sex-shop. Il est 18h passé et on prend lapéro. Elles sont sur le canapé, collées lune à lautre, et je suis en face sur un fauteuil, le short gonflé de leurs tenues transparentes. Marie prend une olive, murmure quelques mots à loreille de sa copine, un truc de Patricia, qui enlève sa culotte. Elle met lolive dans sa bouche pour la nettoyer, la recrache, la glisse dans la fente de sa voisine, la récupère et la mange. Joëlle prend une olive, et Marie ôte sa culotte. Elles grignotent ainsi à plusieurs reprises, et je défais ma braguette pour libérer mon pieu. Joëlle finis ton verre, nous ressert, et va au coin cuisine préparer un petit repas rapide. Marie veut laider mais elle lui demande de rester avec moi.
On est face à face, les yeux rivés sur le sexe de lautre. Je me lève et me plante devant elle, le membre en érection, les couilles pendantes :
- Elle te plait ma queue. Tu vas lavoir tout à lheure, mais dabord je voudrais te bouffer la chatte, elle est trop belle. Tu veux bien que je te lèche ?
Elle me répond un petit oui timide et je magenouille. Je lève ses jambes sur mes épaules, la saisis par la taille pour ramener ses fesses au bord du canapé, et plonge ma gueule sur son adorable petit minou. Elle a une chatte ravissante, délicatement parfumée, délicieusement mouillée. Je la lèche de mon mieux, et ma langue de vieux parvient à satisfaire sa jeune minette. Elle jouit et mabreuve de son plaisir.
Joëlle nous rejoint, voit nos verres pleins, sen sert un autre. Je regagne ma place et on termine lapéritif et olives bien assaisonnées. Elles remettent vos culottes, jai du mal à ranger mon oiseau dans sa cage, et on passe à table. Un simple repas froid, rien à redire.
On est à nouveau dans la chambre.
A suivre
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