Na Leslie Tr 16

Leslie à Paris – P16– Les confidences de Laure, présentation et initiation.

Mon initiation avec Corinne.
En arrivant à la villa en fin de soirée, Corinne me fit faire le tour du propriétaire, puis après une légère collation Corinne après m’avoir installée dans ma chambre, voisine de la sienne, me souhaita bonne nuit en disant :
- Bonne nuit ma chérie et fait de doux rêves.
Puis elle disparue pour se rendre dans sa chambre.
Peu de temps après alors que je venais juste de me coucher, mon attention fut attirée par des soupirs venant de la chambre de Corinne. Prêtant attention je compris que Corinne était entrain de se donner du plaisir, je fus troublé mais en profitais pour me caresser moi aussi, puis je m’endormis en pensant à Corinne et en m’imaginant l’amie de ma mère nue entrain de se masturber.

Le lendemain, je me levai vers huit heures et je descendis. Corinne préparait le petit déjeuner et m'annonça que Pierre serait encore absent plusieurs jours, elle me demanda d'aller mettre la table sur la terrasse en me demandant :
- Café, thé ou chocolat ?
- Café ! lui répondis-je.
- Parfait nous avons déjà un point commun !

Après le petit déjeuner j’émis le désir de ma baigner, Corinne me dit :
- Va vite te changer.
Je lui avouais que j’avais oubliée de prendre un maillot de bains, alors tout naturellement elle me dit :
- Pas de problème nous allons nous baigner toutes nues.
Joignant le geste à sa parole Corinne enleva son teeshirt et son short et apparait nue devant moi, Corinne me présente un corps aux seins pas trop gros et une toison finement taillée, fine et cambrée c’est une belle femme.
A mon tour je me mets nue et me présente à ses yeux, elle ne peut s’empêcher de dire :
- Quelle jolie poitrine tu as et ton pubis est tout à fait ravissant.

Elle me prend par la main pour m’emmener à la piscine, marchant devant moi je ne quitte pas ses petites fesses des yeux et c’est presque à regret que je sentis sa main quittée la mienne pour lui permettre de plonger dans la piscine.


Je la rejoignis peu de temps après et nous avons nagées côte à côte un instant.
C'était la première fois que je nageais nue et de libre, l'eau caressant mes seins, mon ventre et mon pubis réveillait en moi des désirs, que c'était bon, les frissons parcouraient mon corps et je sentais la pointe de mes seins s’ériger.

- Tu aimes nager nue ? me demande Corinne.
- J’adore, c'est très agréable.
- Sensuel aussi et même excitant, me dit Corinne.
- Oui je crois, lui dis-je en balbutiant.
- Jouissif aussi ma chérie.
C'est exactement ce que j'étais en train de penser sans oser le dire tout haut.

- Maintenant je vais bronzer, me dit Corinne, avant que je ne jouisse seule dans cette piscine.
Corinne, depuis qu’elle m’avait vue nue, perdait sa réserve dans ses propos et voulait me faire ouvertement quelque chose.

Corinne sortit de l'eau, et je ne pouvais détourner mon regard de son corps, l'eau ruisselant sur sa peau lui donnait encore plus de beauté, elle se retourna pour me faire face et j’avais une superbe vue sur sa vulve, hormis les poils courts taillés raz au dessus de sa fente, Corinne était entièrement épilée.
Le sexe de Corinne aux lèvres fines et fermées ne laissait pas entrevoir son petit bouton, Corinne me laissait la regarder et paraissait amuser de cela.

Corinne alla s'allonger sur le banc de la piscine et me dit :
- Viens me mettre de l'huile solaire sur le corps !
Je sortis de l'eau et je m'approchai d'elle, me regardant elle me dit :
- Tu sais que tu es très belle.
Puis elle me tendit la bouteille d'huile et se mit sur le ventre, je commençais par étaler l'huile sur les épaules, le dos, je descendis vers la taille, sans toucher à ses fesses en passant directement aux jambes. Mais Corinne en fit la remarque et me demanda de lui huiler les fesses en me disant :
- Tout à l’heure tu feras le devant mais en attendant c’est à mon tour de t’huiler, tu seras encore plus jolie quand tu seras bronzée.

Corinne s'accroupit près de ma chaise et versa l'huile sur mon dos pour l’étaler sur tout mon corps.
Peu de temps après je m’assoupis sous les rayons du soleil.

La première semaine se passa ainsi, la journée entre piscine et repas sur la terrasse sans sortir de la villa, profitant du soleil et de l’eau en nous regardant mutuellement de temps en temps, puis la nuit, seules dans nos chambres, mais moi bercée par les soupirs de Corinne se donnant du plaisir.
Pendant toute la première semaine je sentais les regards de Corinne sur mon corps quand je me baignais nue, mais Corinne ne fit rien pour me séduire ou me donner des désirs sinon que vivre nue dans la maison et se baigner nue aussi.

Un matin de la deuxième semaine, après avoir pris le petit déjeuner comme chaque jours sur la terrasse nous sommes allées au marché faire nos courses puis au supermarché du coin afin de ne manquer de rien.
En rentrant nous avons déjeunées rapidement puis nous nous sommes baignées, et ce fut le temps du rituel quotidien du huilage réciproque, je commençais à être bronzée mais par prudence Corinne tenais à ce rituel.
Après lui avoir enduit le corps comme chaque jour ce fut le tour de Corinne de me mettre de l’huile, ce jour là elle commença par le haut du dos et descendit lentement, s'arrêtant sur mes fesses longuement, Corinne me caressait plutôt que de me passer de l’huile, ses mains ne faisaient qu'effleurer la peau faisant naitre en moi des désirs, puis d'une légère pression de la main elle me fit écarter les jambes pour me caresser l’intérieur des cuisses faisant monter des picotements dans mon sexe, Corinne insista un peu, je sentais mon sexe s’humidifier sous les caresses de Corinne qui je pense à cet instant s’aperçut que j’étais pleine de désirs, puis elle partit s’allonger tranquillement sur sa chaise.
Je m'endormie dans un état second et alors que je sortais doucement de mon sommeil j'entendis les mêmes halètements que ceux des soirs dans ma chambre, j'entrouvris un œil sans bouger la tête et découvris Corinne sur le dos, sa main gauche caressait ses seins et sa main droite perdue entre ses cuisses, Corinne se masturbait.

Quelques temps plus tard, j'entendis sa respiration qui devenait plus forte, elle se cambra sur la chaise les jambes écartées au maximum ses deux mains sur sa chatte, elle poussa quelques petits cris et jouis devant moi.
Je laissais volontairement passer un moment avant de mimer mon réveil, l'envie de me masturber me nouais le ventre, Corinne me regarda en me disant :
- Dis-moi, tu faisais semblant de dormir et tu m'as vue.
Ne pouvant mentir je lui répondis :
- Oui Corinne, je t’ai vue.
- Et tu as aimée me regarder ?
- Oui, beaucoup mais maintenant je suis très excitée.
- Tu te caresses parfois, me demanda Corinne.
- Cela m'arrive souvent.
- Et en ce moment tu en as envie de te caresser ?
- Oh que oui !
- Alors caresses toi, je te regarde.
Corinne par ses propos avait réveillés des désirs en moi et sans me poser de question je posais ma main sur mon pubis et commençais à me caresser, très vite mes doigts ouvrirent ma vulve pour que je puisse caresser mon bouton, le plaisir monta en moi comme une tornade, certainement aussi par le fait d’être observée par Corinne, puis mon corps s’arque bouta et un long gémissement de jouissance s’échappe de ma gorge, je venais de me faire jouir.
En sortant de ma jouissance je vis les yeux de Corinne qui me regardait, à cet instant je compris qu’entre nous rien ne serait plus comme avant et les propos de Corinne me le confirmèrent :
- Viens près de moi, me dit Corinne.
Je m’approchais et elle dans le même temps elle s’assit sur sa chaise, puis passa ses bras autour de mon cou et m'attira tout contre son corps. Elle me regarda un instant et me dit :
- Que tu es belle quand tu jouis, je vais faire de toi une femme et nous allons nous aimer.
Ses deux mains quittèrent mon cou pour se poser sur mes seins et elle se mit à les caresser, les pointes de mes seins se mirent à gonfler et devinrent durs, Corinne les prit dans les bouts de ses doigts et les pinça me faisant frémir.

- Tu es sensible de la poitrine ? me demanda-t-elle.
- Oui, Corinne dis-je tout bas.

Corinne me bascula sur sa chaise et je me laissais faire, elle posa ses lèvres sur les miennes pour me donner mon premier baiser, c’était la première fois qu’une femme m’embrassait sur les lèvres et je trouvais cela agréable car je trouvais les lèvres de Corinne très douces, je sentis la langue de Corinne e mes lèvres que j’entrouvris pour laisser le passage de sa langue qui s’enroula autour de la mienne pour un baiser profond.
Je me sentais fondre dans les bras de Corinne et à cet instant je sentais mon sexe s’humidifier, le plaisir montant en moi.
La main droite de Corinne descendit sur mon ventre, caressant au passage mon pubis pour aller se loger entre mes cuisses, d'un geste ferme de la main Corinne me fit écarter les jambes pour m’offrir à ses caresses.
Ses doigts glissèrent sur ma fente et trouvèrent mon clitoris, ce qui me fit aussitôt gémir, l’instant d’après ses doigts passaient sur mon bouton avec une lenteur savante, se posant là où l’excitation était maximum, puis elle m’arrachait des cris de plaisir en prenant mon clitoris désormais tendu à la base et ses doigts remontaient le long comme si elle voulait me branler le bouton, j’ai fermée les yeux par le plaisir m’emportant et sentais que j'allais jouir. De l’autre main elle me pinçait le bout des seins jusqu’à émettre de sourdes ondes de douleur et je fus emportée dans un orgasme d'une intensité que je n'avais jamais atteinte lors de mes masturbations solitaires.
J’ai hurlée de bonheur pendant de longues minutes, tandis que ses doigts continuaient à effleurer mon clitoris.
Puis allongée dans la chaise elle me fit les jambes de part et d’autre de la chaise en m’écartant au maximum les jambes, j’étais à cet instant impudiquement offerte à mon amante la vulve entrouverte aux yeux de ma chérie.
Elle se pencha pour poser ses lèvres sur ma vulve et à l'instant où sa bouche se posa sur mes lèvres un second orgasme m’emporta. Je sentis sa langue parcourir ma vulve et caresser mes lèvres intimes puis lentement s'insinuer entre mes lèvres. Corinne me rentrait sa langue dans mes chairs intimes, elle me faisait l’amour avec sa langue dardée, et j’inondais sa bouche de ma jouissance.
Les orgasmes se suivirent les uns après les autre, jamais je n'aurais imaginée dans mes rêves les plus intimes qu'il était possible de jouir aussi longtemps et de façon aussi forte.
Corinne se caressait en même temps qu'elle me butinait et elle jouissait avec moi de me voir jouir, je m’abandonnais à mon amante en la remerciant secrètement de me faire découvrir une telle jouissance.
Le soir entre ses bras elle m’apprit à lui donner le même plaisir de ma bouche et dans la nuit nos cris ont envahis la maison lorsqu’en 69 nous nous sommes aimées jusqu’à l’évanouissement.
Pendant plusieurs jours nous nous sommes aimées ainsi, des doigts, des mains et de la bouche sans jamais aller plus loin.

A suivre……

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