Gisèle 8
Seule donc, je passais un dimanche morose. Je me remémorais ma quinzaine
et cette folie qui mavait conduite dans les bras de ce jeune homme. Jeune oui
mais homme
terriblement homme
virilement homme
qui se révélait peut être le meilleur amant que jai eu. Jen ai eu quelques-uns daccord, mais il ne faut rien exagérer sur mes expériences non plus ! Je ne pense pas être une dévoreuse dhomme. Mais là, je dois bien reconnaître quil me faisait beaucoup deffet (et de bien). Pourtant notre écart dâge me tourmentait. Que pensait-il réellement de moi ? Me prenait-il pour une femme facile dont il se séparerait une fois quil en aurait fait (bon) usage. Il fallait que je sois réaliste. Cétait tout à fait vrai que je métais comportée en femme facile
on ne peut plus facile
et puis de toute façon, jétais bien consciente que mon âge ne me permettait pas denvisager une liaison très très prolongée avec Julien. Alors pourquoi en rougir et ne pas seulement profiter de linstant présent et se moquer du reste. Cest sur cet optimisme teinté que jachevais ce week-end.
Le lundi en allant au lycée, jachetais mes journaux comme à mon habitude. Mon erreur fut de feuilleter un magazine à lheure du repas. Avez ou déjà eu ce sentiment davoir une idée en étant certaine que par avance quelle allait vous retomber sur le coin du nez ? Ce sentiment troublant de savoir que vous allez faire une bêtise mais ou vous vous précipitez en balayant toutes vos propres objections
.. Ce genre de pensées qui vous revient comme un leitmotiv
. Jen étais là ! Rappelez-vous, Julien mavait fait le reproche davoir été habillée pour lattendre, vendredi dernier. En moi-même, je métais bien fait la promesse de lattendre nue sil y avait une prochaine fois. Comme il me semblait quil y aurait bientôt une prochaine fois
alors
. Eh bien figurez-vous que ce que je venais de remarquer dans mon journal nétait quune publicité. Mais quelle publicité
ou une somptueuse créature arborait de la lingerie très sexy
.
"Fais-toi belle pour moi ! Tu verras tu ne regretteras pas
je te ferais plein de trucs !"
Consciente de ce que je faisais une sottise ma décision devint définitive. Dire que d'habitude, je n'acceptais cet attirail qu'au bout d'une insistance patiente. Aujourd'hui j'allais provoquer
quoi au fait ? De toute façon j'avais envie de tout ce que Julien voudrait. Mes sens étaient aux abois. J'allais même jusqu'à ressortir du fin fond de mon placard, une paire d'escarpins à talons hauts comme pour faire bonne mesure. Euphorique, cette semaine là je réussis à boucler la comptabilité en avance et mon chef fut satisfait de moi. Aussi lorsque je sollicitais de sa part de pouvoir le vendredi (ce soir
) de quitter un peu plus tôt le lycée, il ne put que m'accorder cette faveur en déclarant :
"Mais bien sûr ma petite Gisèle !"
En attendant mon amant je me déshabillais donc pour ne rester qu'en porte-jarretelles et bas noirs
ni soutien gorge, ni string
. Je soulignais et agrandissais mes yeux. Ensuite, je me redessinais une belle bouche tant je souhaitais que Julien la trouve attirante pour y loger sans réserve son pénis. Je vérifiais l'impeccable tension de mes bas et me chaussais. Petit collier, petites boucles d'oreilles
voilà
il pouvait arriver
j'était prête !
Malgré tout je sursautais quand il sonna.
"Tu es magnifique ! Tu ferais bander un eunuque !"
Machinalement, mon regard se porta sur bas-ventre
une bosse déformait son pantalon.
"Tu t'es fait une bouche très tentante!"
"Tu veux que je te suce ?"
"Tsss
tsss
attends un peu ! Quand on veut jouer les cochonnes, on parle comme une cochonnes !"
"Tu veux que
Tu veux que je
Tu veux que je te taille
une
pipe
?"
"Encore !"
"Tu veux que je te taille une pipe !"
"Evidemment ! Allez hop
à genoux ! Et bouffe moi bine la bite !"
"Oui, oui je vais te bouffer
."
En me précipitant à genoux j'avais ouvert son vêtement et en avait extirpé son phallus. Mmmm
j'en avais rêvé toute la semaine. Il était enfin entre mes lèvres ! je m'appliquais à lui procurer tout le plaisir que je pouvais de ma langue, mes joues, mes lèvres. J'avais saisi d'une main la base de son sexe et je le masturbais au rythme de ma fellation. De mon autre main, je pressais ses bourses gonflées. Il commentait :
"Oui
Ouiii
comme çaaaa ! Bieeeeen
pompes-moi
tu m'exiiiite ! Oui
les couilles !
Bouffes-moi les couilles
!"
Bien sûr, je m'exécutais et après les lui avoir léchées je me mit à les lui dévorer sensuellement puis revint à son membre essayant de l'avaler le plus loin possible. Je bavais littéralement sur sa grosse verge, ma salive inondant son trio infernal. Sans être une novice, je ne détenais certainement pas la médaille d'or en matière de deepthroat, mes amants précédent m'avaient plutôt baisé la bouche que me laisser les initiatives.. Tans pis je m'améliorerais! En attendant, il avait l'air de trouver cela assez agréable. Tellement agréable qu'il se raidit et me prit la tête à deux mains à l'instant ou ses
couilles remontaient et ou un flot de sperme se déversa dans ma bouche.
J'avalais le tout le plus vite possible, car il me fit rapidement relever et m'entraîna par la taille vers le salon.
"Tiens Gisèle prends ça !
J'en eus le souffle coupé. Vu mon état de lubrification, il n'eut aucune peine à se loger à fond
direct
. il se mit à me travailler irrésistiblement, comme je l'avais imaginé pendant la semaine, surtout dans cette position. J'aimais qu'il me retourne ainsi et sentir son ventre cogner contre mes fesses. J'ai tout de suite aimé cette position avec lui. Les sensations étaient violentes et puis surtout à genoux, en levrette, c'était la position de la chienne qui se fait couvrir. J"adorait qu'il m'impose cette saillie
mon bel étalon
. Il m'encourageait, se montrant de plus en plus grossier :
"Ouaiiiis, serre bien ta chatte Gisèle
. Contracte
. c'est bon comme ça
! T'aime ça, hein ?"
"Oh oui
j'aime ça !"
"Hein que t'aime ma queue ? Allez dis-le que l'aime ma queue
. Répètes !"
"Oh oui
j'aime
. J'aime ta queue
.!"
"T'aime ça, hein que je la mette profond ? Je veux que tu me le dises !"
"Oh oui
j'aime
. J'aime que tu me la mette profond
. Mets là moi
.ouiiiiii
. ta queuuuueeee
. Julieeeeeennnnn
. Haaaaaaaa !"
Et l'orgasme m'emporta comme une lame, comme un raz de marée. C'est alors que Julien retira sa verge de mon sexe inondé, fit le tour du fauteuil contre lequel j'étais resté dans la même position et tendis son priape vers mon visage en me demandant :
"Maintenant que tu l'as salie, nettoie là !"
Sans résistance, j'engloutis son phallus souillé de mes sécrétions et ne lui restituait que propre comme un sou neuf.
Il eut ce commentaire laconique :
"Ah putain ça fait du bien !" auquel il ajouta "T'es une sacré baiseuse !"
Je hochais la tête devant l'évidence du propos. C''était vrai avec lui, j'aimais
. J'avais voulu le provoquer en m'attifant comme je l'étais, me préparer ainsi m'avait excité. De plus, il m'avait aussi demandé de répéter ses grossièretés, moi qui ai horreur de la vulgarité (enfin qui avait
), et là aussi j'avais aimé, cela m'avait fouetté les sangs. Tout doucement, je commençais à me rendre compte de l'emprise que ce je jeune homme exerçait sur moi. Jusqu'où cela pourrait-il aller ? Aucune idée
et j'en fus persuadée quand il vint avec moi me "conseiller" sur la tenue qu j'allais porter pour aller dîner. Il choisit la plus courte de mes jupes. Elle m'arrivait une bonne dizaine de centimètre au dessus du genou. Pas franchement mini mais elle était assez sexy quand même. De toute façon, une minijupe
il était hors de question que j'en porte désormais une, vu mon âge. Le chemisier, il le choisit blanc, sage
enfin sage, quand il était porté avec quelque chose en dessous. Sinon
et comme il voulait me le voir porter
les aréoles de mes seins allaient être bien visible
en plus de mon sillon révélé par trois boutons ouverts, comme le dernière fois.
En fait Julien (et je n'avais pas tout vu) était un vrai petit cochon, car bien entendu, je n'eux pas droit aux sous-vêtements et en revanche dus conserver le. Je dus aussi aller me remaquiller comme je l'étais à son arrivée. Comme je lui faisais remarquer que c'était peu être un peu trop pour l'endroit ou nous allions, il me répondit sèchement "que si je l'aimais un tant soit peu et que si je voulais le contenter, il fallait que se soit, en tous cas et en tous lieux, un minimum". Je tentais vainement de lui expliquer qu'à mon âge, cela ne se faisait pas. Il argua du fait que cela l'excitait, lui, et que c'était ce qui comptait, bien plus que le qu'en dira t'on ou ma réputation qui finirait selon lui tachée de foutre puisque je ne faisais pas état de mon âge, lorsqu'il s'agissait de baiser
.
Vu sous cet angle
.
Le petit bar était égal à lui-même. Je crois que mon entrée ne passa pas inaperçue. Pendant le repas, je tentait de dissimuler ma poitrine, visible sous la transparence du tissue, par l'illusoire rempart de me bras. Julien le remarqua et s'en amusa, me trouvant ridicule :
"C'est idiot ! Tu as de beaux nibards ! Tu devrais les montrer !"
Devant mon air contrarié, il me demanda :
"Je te choque ?"
"Oui
un peu
quand tu parles de cette façon en public
."
"Hypocrite
il faut t'y faire ma belle ! En plus, je veux que tu parles aussi comme çà ! Dire des cochonneries te fera du bien et de décoincera un peu ! Tu m'as compris ?"
"Oui
oui
Oui Julien
."
Çà c'était moi qui venais de répondre. Je vous le disais bien que je ne savais pas jusqu'où je pourrais céder à ses caprices.
En guise d'apprentissage, je dus répéter, en rougissant certainement, quelque phrase très crue ou en substance j'avouais "avoir hâte qu'il me fourre avec sa grosse bite"
et ainsi de suite jusqu'au moment ou me fixant au fond des yeux d'un regard pénétrant et brûlant, il m'annonça simplement :
"Décidément, tu m'excites trop
en rentrant, je vais t'enculer
."
Ne nous racontons pas d'histoire, ce n'est pas que je l'attendais, mais du moins je m'y attendais. C'est comme le porte-jarretelles, il arrive toujours un moment ou cela vient sur le tapis. Vu quel amant était Julien, j'avais bien pensé qu'il voudrait me soumettre à ce genre de chose. Vu sa taille j'appréhendais, c'est sûr
mais je savais que d'avance mes reins seraient à lui. C'est donc d'une petite voix que je lui donnais mon accord. Il me promit :
"Tu vas voir, tu vas adorer que je me farcisse ton petit cul !"
On verrait bien
. Après cette déclaration le repas s'acheva vite. Julien envisageait un autre genre de plat de résistance. Dans la voiture, il commença par me déboutonner entièrement mon chemisier. Il voulait voir mes seins nus
en fait me voulait les nichons à l'air
. Il me prévint que demain soir nous reviendrions dîner ici et que cette fois il faudrait que je les montre. Comme je protestais, il compléta :
"Et peut être ta chatte aussi
il faut que je réfléchisse
."
Demain à sa demande, c'était certain, pour la première fois et sans opposition, je m'exhiberais
.
Inutile de vous dire que dès que nous fûmes arrivés, je ne gardais pas mes vêtements très longtemps (mis à par les bs). C'est dans ma chambre qu'il me conduisit pour ce "tir royal". Une fois en position, il vint derrière moi et me câlina la raie de la langue. Une délicate feuille de rose me détendit et ses doigts purent tout à loisir prendre du service pour "faire le passage". Il plongea sa verge dans mon sexe où il fit quelques doux aller et retour. Puis il la releva de quelques centimètres. Cette fois, son gland se positionna en face de mon anus. En femelle soumise je me cambrais. Son membre s'enfonça lentement dans mon orifice tabou. Cela me fit une drôle d'impression, celle de s'ouvrir de l'intérieur. Je quémandais une nouvelle fois "Doucement, doucement!" mais je savais que rien ne peut l'arrêterait. Mon anus s'écarta comme jamais je n'aurais imaginé et le sphincter céda plus facilement que je ne l'aurais cru. Je subis ma sodomie en serrant les dents, les doigts crispés sur les draps. L'impression de brûlure a à un étrange sentiment de d'envahissement. J'aimais cette sensation d'outrage auquel il me pliait. Je commençais à gémir et sous ses directives, je le suppliais, entre autre, aussitôt de "me mettre comme une truie". La redécouverte me sembla une évidence et je n'en revenais pas moi-même : j'aimais deux choses : me faire enculer et proférer des grossièretés pendant
.
Je craquais littéralement
finie la sensation pénible du début et mon trou devinait avide de bite
de pine
de queue. Julien me bourra au delà de toute espérance. Collé à moi je sentais ses mouvements devenir plus emportés et plus décousus, il allait bientôt craquer et ma jouissance était proche. Lorsque je sentis mes reins exploser le foutre de Julien coula très profondément dans le rectum.
Ce n'était pas la première fois que je prenais autant de plaisir à cette pénétration ésotérique et je ne n'étais pas prête de me passer du plaisir qu'elle me procurait. Lorsque je retrouvais mes esprits, je le vis me regarder en souriant et me dire :
"Eh bien toi
décidément
tu as tout pour plaire".
Il passa à la salle de bain et nous terminâmes la soirée par un sensuel soixante neuf ou je pus le boire à satiété. Nous nous endormîmes juste après, moi avec cette seule pensée : le faire bander pour qu'il m'encule à nouveau
.
Nous dormîmes tard et nous prîmes une douche ensemble. Je peux vous affirmer que mes seins et mon entrejambes en ressortirent parfaitement propre. Il y mit beaucoup de soins. Lui, ce furent ses parties génitales qui rutilaient
je m'y étais employé avec zèle. Je dus ensuite me maquiller. Il revint pour assister aux touches finales et me demanda d'accen encore mon changement de look. Toujours devant lui je dus aussi enfiler "ma tenue de baise"
. J'obéissais toujours, avide de ses sensations troubles de me soumettre à ce jeune homme tyrannique mais si bon amant. Je commençais à me faire honte toute seule. Cela l'amusait. Comme en cherchant les mots sans les trouver je lui demandais si je n'étais trop vieille pour jouer les
les
il m'interrompit :
"Arrête avec ça ! Ton âge
. Il n'y pas d'âge pour baiser
pas d'âge pour se faire mettre
pas d'âge pour faire cochonne
. J'aime ça ! Tu m'excite et tu es bonne !"
Avec une délicatesse ciselée, il me demanda de "le branler entre mes mamelles de chienne". Je m'agenouillais donc entre ses jambes et plaçais son membre dans mon sillon mammaire. Je serrais ensuite les bras pour bine le comprimer. Il me fit remarquer que ce n'était pas ainsi que je devis m'y prendre et que pour mener à bien ma branlette, je devais prendre mes roploplos à pleines mains, comme quand je me les touchais. J'appris
et comme commandé, je terminais cette cravate de notaire en lui faisant une pipe. La bouche encore pleine de foutre, il me fit relever pour m'embrasser
ou plutôt me rouler une pelle goulue, mélangeant sperme et salive. Comme, fabuleusement, il n'avait pas trop débandé, je dus le chevaucher sur le canapé. Pendant ma cavalcade, il fallut que ne cesse point de me tripoter les seins, il me força à en étirer les tétons, les pincer, les faire rouler et même les lécher. Pendant ce temps, il me tenait par les fesses et avait même glissé un doigt dans mon anus me faisant concéder "que j'aimais qu'on me mette un doigt dans le cul pendant que je me faisais tirer !". Les mots avaient du mal à passer, mais malgré tout, je devais me rendre à l'évidence, tout ce qu'il me faisait proclamer en termes odieux m'excitait terriblement la plupart du temps, même si cela était un peu outré. Aussi quand il me demanda si en contrepartie d'une bonne enculade j'allais être, ce soir, très obéissante, même sans savoir ce qu'il avait en tête j'acceptais docilement.
Il en profita
le petit salaud
.
Je dus m'habiller comme la veille, même jupe, même chemisier, sauf que ce dernier dus demeurer ouvert jusqu'à la ceinture de ma jupe. Autrement dit, j'étais complètement dépoitraillée et chaque mouvement révélait mes seins. Au petit bar habituel, j'eus un vif succès
.
Pendant le dîner, il me posa cette question :
"Jusqu'où irais-tu pour me plaire ?"
"Je
je ne sais pas trop
loin, je crois
. Mais pourquoi cette question ?"
"Elle conditionne la suite de nos relations
."
"Comment cela ?"
"Voilà, c'est simple
j'ai un ami depuis longtemps, depuis l'école primaire. Nous avons l'habitude de partage nos conquêtes féminine
."
"Tu voudrais que je
avec lui
?"
"Non, non pas que avec lui
avec nous deux !"
"Mais
mais
."
"Je ne te force à rien, j'ai trop d'estime pour toi ! C'est toi qui décide !"
"Et
si je dis oui ?"
"Tu viens chez nous la semaine prochaine
tu ne le regretteras pas, je te le promets !"
Complètement affolée, perdue je bafouillais que
que oui, oui j'acceptais son étrange proposition. Il me demanda si j'avais déjà pratiqué cela à plusieurs. J'avouais
tout, enfin presque, enfin juste Ahmed et ses amis ainsi que Yves et Romain et aussi un ex-mari pour faire bonne mesure. Je tus Fabrice et ses compères ainsi que Roger et Nadine. Julien me ma regarda malicieusement en me disant "qu'il était vraiment temps que quelqu'un me prenne en main
". Comme si l'aventure que je lui avais racontée ne comptait pas. Je crois qu'effectivement, j'avais envie d'être prise en main, dans tout les sens du terme et même si les mains étaient quatre.
"Maintenant, il va falloir être très obéissante Gisèle ! Je te veux très cochonne ! Tu m'as compris !"
"Oui, oui Julien !"
"C'est bien
alors tu vas remonter ta jupe au dessus de tes bas et écarter les cuisses. Je veux que les types se rincent l'il et voient ce que je vais me taper en rentrant !"
Comme je ne bougeais pas, il se fit plus autoritaire.
"Allez dépêches-toi ! Tu seras récompensée comme tu aimes
bien profond
au fond de la rondelle !'
Il avait haussé le ton et comme je n'étais pas désireuse qu'il fasse savoir à la cantonade mes récents goûts pour la sodomie, je roulais vite ma jupe jusqu'à ma peau nue et ouvrit mes jambes, non pas en grand, mais suffisamment pour lui complaire. Il se baissa sous la table pour vérifier et eut l'air satisfait. Il laissa tomber ce commentaire :
"Pas mal
pas mal
pour un début !"
Il était vraiment diabolique. Il me "tenait", il en était conscient et jouait avec moi
. j'étais certaine que le jeu allait se corser.
Pendant le trajet qui nous ramena chez moi, ma jupe dut encore être remontée. Pire, je dus la relever complètement et m'asseoir sur mes fesses nue. Il me prévint que je devrais m'asseoir ainsi un jour ou l'autre dans ce petit bar négligé où il m'emmenait. Cette perspective me fit peur, honte et
m'excita un peu plus.
Arrivés chez moi, il m'ordonna de me mettre nue dans mon entrée. Je pénétrais ainsi dans mon salon. Il vint à moi et me prenant par les cheveux me fit basculer la tête en arrière. Tout près de mon visage je l'entendis exiger :
"Désormais, tu vas faire ta pute
. Tu vas être très salope, hein ?"
"Oui
oui Julien
."
"Oui quoi ?"
"Oui, je vais être très salope pour toi !"
"Ok ! Alors mets-toi là ! Tu vas te branler devant moi !"
Il relâcha la tension sur me s cheveux et me désigna un fauteuil ou je m'assis jambes ouvertes bien entendu. Il se mit nu et prit place en face de moi pour assister au spectacle qu'il mit lui-même en scène. Il m'ordonna de commencer par me caresser les seins, ce que je fis un bon moment malaxant moi-même mes rondeurs sans bien sûr oublier les tétons qu'il me fallut étirer et faire rouler jusqu'à ce qu'ils soient dressés. Je dus ensuite les reprendre à pleines mains et me les lécher. Vu la taille de mes globes cela ne posa aucun problème et je dois dire que pendant certaines occupations solitaires, il m'arrivait de me le faire. Ensuite, jambes très ouvertes je dus m'astiquer et fourbir mon clitoris. Puis il décida que de mon autre main, je devais directement me mettre deux doigts. Depuis que j'avais commencé "mon show" j'attendais cette demande et le fit immédiatement. Il me laissa me branler de cette façon pendant quelques temps, m'interrompant juste histoire de me faire lécher et sucer mes doigts enduits de cyprine. Je le vis se lever et mon cur ce mit à battre. Je fus un peu déçue en le voyant s'éloigner de moi, puis j'eu un brusque coup de chaud. Il s'était dirigé vers un meuble et y avait ôté une bougie d'un des chandeliers qui le décorait. Avec un sourire douteux il revint à moi et me la tendit en disant :
"Changement de genre ! Mets-toi ça dans le fion
ça sera toujours ça de fait ! Mais lèches-là bien d'abord
ça passera mieux !"
Il est vrai que je n'avais pas trop l'habitude de ce type de masturbation
et ce ne fut pas désagréable du tout
. Après l'avoir enduite de salive je l'introduisis précautionneusement et l'enfonçait
. Selon les expressions qu'il me fit répéter (et auxquelles je pris un plaisir équivoque) sans cesser "de me polir le bouton" je me "branlais le cul profondément". Cette fois il s'approcha de moi la verge à la main et ma la tendit :
"Tiens suces-moi là avant que te je la mette
. Dès que tu la voudras préviens-moi que je t'encule !"
En continuant mes occupations manuelles je le pris en bouche. Bigre!... vu comme il me l'enfournait cela n'allait pas être aisé de parler
. J'eus assez vite envie d'être prise, sodomisée de nouveau, de sentir son gland peser sur mon anus ouvert et de s'y engouffrer jusqu'aux testicules et enfin de subir les va et viens de sa queue dans mon boyau. Rejetant brusquement la tête en arrière j'échappais au bâillon de chair et demandais :
"Prends-moi Julien !"
"Mieux que ça !"
" Prends-moi
. Encules-moi
."
"C'est ça que tu veux ?"
"Oh ouiiii
. Mets la moi, mets moi ta pine à fond
prends-moi le derrière !
prends mon cul il est à toi
viens jai envie de te sentir dans mon cul
. Tu veux que je sois salope ?, Alors mon chéri encules comme une salope ? Je suis à toi
je serais ta pute !"
Je crois que je n'avais rien oublié
.
"Mets toi en position vieille roulure
tu vas lavoir dans ton jolie petit cul
. Je vais te défoncer le trou !"
Je me mis à quatre pattes, sur la moquette, les fesses tournées vers lui. Javaisi décidé que je serai sa salope soumise et éventuellement de son copain s'il le voulait. Il passa son gros gland sur ma rondelle dilatée par la bougie. Il avait quand même besoin de plus de place pour me besogner. Soudain il poussa dun coup ! Je ne pus réprimer un cri qui l'amusa:
"Hhaaaaaa tu es énorme
. tu me déchires !"
Il y avait été fort mais rapidement la douleur devint un plaisir immense et doucement je me m'ouvris, mon conduit se déplia sous l'effet de l'introduction. Rien ne larrêterait, il allait me limer le cul et me faire jouir par cet endroit.
Il me besogna longtemps "le couloir à lentilles" j'allais jouir d'une façon éhontée comme le pouffiasse qua j'était en train de devenir
alors toute honte bue je l'encourageais à me posséder encore plus en utilisant les mot qu'il affectionnait pour l'exciter davantage :
"Je sens que ça vient
Oh oui oh oui oh ouiiii
vas y défonce moi
.défonce moi cest bonnnnnnnnnnnnnnnn ! Mets là plus loin
.. vas y entre entièrement
.. Oh je sens ton ventre, tes couilles sur ma chatte
oui oui oui je jouiiiiiiiis ! Encules moiiiiiiiiiiiiii
. Encules ta puuuuuuute !"»
Et je me mis à crier en sentant ses jets m'inonder et tapisser mon conduit d'habitude si secret mais qui allait devenir, je le sentais, un lieu de passage
.
Le "ouaaahhh ça fait du bien !" me renseigna. Mon amant avait apprécié et moi donc ! Les contractions résultant de mon orgasme m'avaient épuisée. Je crois que lui aussi
. Vu l'heure e nos activités de l'après midi, nous n'étions plus bon à rien, sinon à dormir. Je quittais mes bas, mon porte-jarretelles et me lovais dans les bras de mon chéri en espérant un sommeil réparateur.
Le jour était levé
bien avant nous
un bon petit déjeuner avec croissant et mains baladeuses et une fois propres et que mon maquillage eut estompé un peu les cernes témoins de mes plaisirs des deux jours passés. Il décida de reprendre nos ébats. À l'évidence, je n'étais pas contre. Il voulut me lécher l'entre jambe. Pour ce faire ce fou me fit allonger sur le dos, en long sur le dossier de mon canapé (heureusement qu'il était bien remboursé !). Je dus m'agripper au coussin pour rester en équilibre. Julien se plaça devant moi, me fit ouvrir les jambes en grand en me tenant les genoux pour les y contraindre et se mit à me lécher la vulve avec application. Vulve, chatte et clitoris
en détail
. J'étais partagé entre plusieurs sentiments me laisser aller bien sûr mais aussi la peur de perdre l'équilibre, d'un coté sur le canapé et c'eut été sans dommage mais de l'autre je me serais cassé la figure par terre
. En fait ce fut une qu'il m'infligea en ne me permettant pas de m'abandonner à sa langue si habile. Néanmoins, je ruisselais comme une fontaine, il en eut le bs du visage tout mouillé. Il aspira même de ma mouille qu'il vint me resti à pleine bouche avant de me faire glisser coté divan. Il fit vite le tour et continua à me faire glisser jusqu'à ce que mon crâne touche le sol et que je repose ensuite sur mes épaules les reins appuyés contre le bord du siège. Il m'enjamba, de façon à être entre mes jambes et dirigeant sa queue vers le bas il me la mit dans le vagin et se mit à me baiser de haut en bas. Dans cette position, je ne pouvais rien faire d'autre que de subir et que de maintenir ma position. Dire que j'aimais est un faible mot
.
Malgré l'inconfort de la position, je pris deux fois du plaisir. Lui, pour "terminer", me fit agenouiller et un peu comme on le voit dans les films pornographique se masturba au dessus de mon visage et me commanda d'ouvrir la bouche en grand pour y recevoir son éjaculation. Je n'en reçu qu'une partie dans ma bouche, il prit, je le suppose, un malin plaisir à m'en envoyer sur le reste du visage
même les yeux.
Près quelques baiser et de chaudes paroles pleines de promesses pour la semaine suivante (je vous rappelle, en compagnie de son copain) nous nous quittâmes et il me rassura d'un "Je t'appelle dans la semaine pour mettre tout ça au point".
J'était fourbue, mais quel week-end
. A cette époque j'ignorais combien il y en aurait d'autres et de plus torrides
beaucoup plus torrides
.
Mes envies n'étaient pas retombées au début de la semaine suivante. Un sentiment de culpabilité m rongeait toujours d'avoir un amant si jeune. Jeune il est vrai, mais comme il est dit ailleurs "Aux âmes bien nées, la valeur n'attends pas le nombre des années"
jeune certes, mais terriblement cochon, vicieux certainement et pervers assurément. En deux semaines il m'avait transformée, fait renaître
. Du moins c'est ce que je croyais, mais j'étais loin du compte. Je me rendais bien compte que je n'étais qu'un jouet livré à ses sens débridés. Il allait jouer avec moi, de moi
de mon corps
et
et tant mieux
. Inutile de se mentir j'adorais être sous sa coupe et
et lui être soumise
.
Comme je l'attendais, énervée comme une puce, il m'appela le mercredi. Il me donna rendez-vous chez lui, chez eux
pour le samedi en début d'après-midi. Comme je lui demandais comment il souhaitait que je me vête, il sembla réfléchir (le fit-il réellement ou y avait-il déjà songé ?) et son verdict tomba.
"Viens
tiens, comme quand on c'est rencontré au mariage, tu étais assez bandante en robe longue ! Samedi je ne sais pas si ce sera cérémonie, mais il est sûr que ce sera ta fête. Alors fait toi très belle
pour plaire à Anthony
. Ah oui ! Sous la robe
rien n'est ce pas ! Ou juste des bas, c'est toi qui vois ! Bourge dessus
pute dessous
hein ?"
"Oui, oui Julien, je l'ai dit je serais ta pute
."
"Oh que non ! Pas seulement la mienne !"
Cette phrase me hanta tout le reste de la semaine
Le Samedi matin, je le passais à me faire coiffer et maquiller. La coiffeuse me congratula d'avoir de nouveau une cérémonie en si peu de temps. Je lui demandais la même coiffure que la dernière fois. Si elle avait sut que le chignon bouclé qu'elle confectionnait allait être dévasté par les mains impatientes de deux jeunes étalons, je gage qu'elle ne se serait pas donné toute cette peine. Pas plus d'ailleurs que l'esthéticienne, à qui je demandais un maquillage un peu plus prononcé mais qui ne verrait pas son uvre ravagée par des sexes turgescents et leurs vraisemblables coulées de foutre gluant. Je passais vite chez moi m'habiller. Ce fut assez vite fait
ma robe, point à la ligne
. J'ajoutais quand même des bas noirs autofixant et des talons hauts achetés il avait deux jours, pour faire bonne mesure et aussi
salope comme le souhaitait mon Julien.
Et voilà
fin prête
pour ce que je savais être une incommensurable bêtise
.
Je me garais presque devant l'immeuble où habitait Julien. Quelques passant (rares heureusement) dévisagèrent la femme en tenue de soirée qui s'engouffra dans le petit immeuble. Je ne trouvais la quiétude que seule dans la cabine d'ascenseur. Enfin quiétude est un bien grand mot. Une sourde inquiétude me taraudait. Elle avait un prénom
Anthony
. Je me décidais à finir par sonner et Julien m'ouvrit. Il m'embrassa dans le cou et me débarrassa de la veste qui couvrait mes épaules nues. Il me demanda en souriant si je me sentais chaude. Je répondis affirmativement, mais pas assez fort pour lui. Il me fallut répéter à haute et intelligible voix (afin bien sûr que son compère l'entende) que "j'étais très, très chaude et que je me sentais prête à obéir à toutes ses demandes". Sur son insistance je déclarais que " je me sentais prête, aussi, à obéir à toutes les demandes de son ami. Quand il eut obtenu de moi cette déclaration sans équivoque, il me fit entrer dans le salon. Un homme s'y trouvait, jeune lui aussi, comme Julien. Mon complexe me reprit. Il me présenta donc Anthony qui me tendit la main en me m'examinant. Véritablement, il me jaugeais, m'évaluais, m'envisageais.... littéralement comme un objet. Julien me fit asseoir sur un canapé et m'offrit à boire pendant qu'eux deux prenaient place, chacun sur un fauteuil, en face de moi. Anthony continuait à me dévisager (entre autre) avec une évidente gourmandise. Le silence devenait pesant.
Il allait ment se passer quelque chose
.
Ce fut Julien qui rompit le silence
brutalement
à tel point que j'en sursautais presque.
"Dis, Gisèle, si tu montrais ta chatte à Anthony !"
Avec difficulté j'avalais ma salive. De toute façon j'étais là pour çà
alors, effectivement pourquoi tourner autour
du pot. Lentement je remontais ma robe le long de mes jambes. Elle découvrit mes mollets, mes genoux, une petite moitié de cuisse, la limite de mes bas (deux paires d'yeux brillèrent
); une seconde moitié de cuisse. Je soulevais une fesse pour libérer le tissue, la seconde pour faire de même (deux bosses se révélèrent franchement). Avec hésitation je commençais à écarter les cuisses, un peu, un peu plus, davantage, plus encore et ne m'arrêtais que lorsque leur compas fut ouvert en grand et ma vulve exposée aux regards impudiques des deux jeunes.
"Alors t'en penses quoi ?"
"Pas mal ! Elle à l'air pas mal roulée ta bourgeoise ! Pour le reste tu connaît mes goûts, je les préfères lisses !".
"Qu'à cela ne tienne, cela peut s'arranger !"
Je ne compris pas tout de suite le sens de ces paroles. Toujours est-il que Julien se leva et s'éclipsa me laissant ouverte aux regards libidineux de Anthony. Il revint avec une cuvette, une serviette, une bombe de mousse à raser et un rasoir. J'avais compris
.
Ils me firent lever et chacun d'eux s'occupa d'une bretelle de ma robe. Enfin quand je dis s'occupèrent, en fait c'est plutôt firent glisser. Anthony considéra mes seins et les soupesant me demanda :
"Beaux nichons ! J'espère que sais t'en servir ?"
Julien ne me laissa pas le temps de répondre, il assura l'autre que "je branlais comme une reine", si tant est que les reines
.
Il me firent allonger sur leur table de salle à manger et me glissèrent la serviette sous les fesses. Ils se mirent ensuite à l'ouvrage. Après m'avoir méticuleusement enduite de mousse, ils se mirent à me raser à tour de rôle, d'abord le pubis puis précautionneusement la vulve et l'entrejambe. Où je fus la plus gênée, c'est quand ils me relèvent encore plus les jambes et m'écartèrent les fesses pour mieux débusquer mon anus.
"Oh le mignon petit trou du cul !" s'esclaffa Anthony.
"Et encore, tu n'as pas tout vu
attends un peu d'être à l'intérieur !" renchérit Julien.
Il était clair que l'endroit (et, ou l'envers) servirait aujourd'hui. Il me rincèrent ensuite à l'eau chaude et Julien me présenta une glace pour je m'admire. Il y avait bien longtemps que je ne m'avais pas vue sans poil. Instinctivement je portais la main à mon entrecuisse. C'était doux.
Anthony fit semblant de se méprendre. Julien se joignit à lui.
"Bonne idée ! Mais oui vas-y ! Branles-toi ! Il parait que tu aime bien faire ça devant quelqu'un
."
A n'en pas douter Julien n'avait pas été d'une folle discrétion
.
Je dus le faire "à deux mains", une "pour le clito", et "l'autre pour la chatte". Pendant mes travaux manuels, ils se mirent nus et oooooooh ! Je vis le sexe de Anthony. Gros et long, comme je les préférais une vingtaine de centimètre sans doute et le diamètre à l'unisson. Belle bête
j'en eux immédiatement envie. Cela tomba fort bien car il me fit me rapprocher du bord de la table et sa verge tendue vint se presser contre mes lèvres. Elles ne firent pas obstacle et toujours en me masturbant je l'accueillis à pleine bouche.
"Quelle gourmande !" fit Anthony posant ses mains sur mes seins. Et Julien ? Eh bien quand il en eut assez de m'admirer suçant son copain et me doigtant, il enleva mes mains s'approcha comme souvent, comme à son habitude, d'un seul coup plongea sa queue dans mon vagin surchauffé. Je m'offris et m'ouvrais toute grande pour l'accueillir. Ça y était
ce que je préférais
(au moins) une queue pour me pénétrer et une autre à sucer. Là, dans instants magiques, je ne sais pas ce que j'aurais donné pour cela ne cesse jamais. Les deux garçons se mirent à parfaitement se coordonner pour me donner du plaisir. Moi, pour ne pas être en reste je combinais le plus efficacement possible les mouvements de mes hanches avec ceux de ma bouche. en amants chevronnées, ils inversèrent leurs positions. Çà aussi j'aimais beaucoup
prendre en bouche une pine encore toute luisante de mouille qui venait de m'enconner fermement. Avec tout le groupe de Fabrice j'avais été contrainte, au début, à aussi sucer celles qui sortaient toute chaude de mon postérieur. Cette contrainte, je le percevais bien allait me devenir aussi familière au fur et à mesure de mes expériences. De la même façon, ils m'avaient bien fait absorber leurs membres après qu'ils eurent occupé les orifices de Nadine. Je me rendais bien compte que j'avais eu raison. Anthony était bien équipé et son membre faisait merveille. Sous leur actions concertées, j'eu mon premier orgasme arquée sur cette table. Ils mirent à profit l'instant qui précéda pour reprendre leur orifices de départ et ainsi Anthony jouit dans ma bouche et Julien au fond de mon ventre. Une fois tout le monde un peu calmé, ils décidèrent d'aller dîner. Je n'avais, je vous le rappelle que ma robe du soir comme vêtement et je voulus que soit la raison de mon refus d'aller à l'extérieur dans cette tenue. L'objection fut négligée, bien entendu. Ils m'envoyèrent à la salle de bain refaire ma coiffure et mon maquillage. Quand j'en revins, ils étaient de nouveau vêtus. Je passais ma robe et nous partîmes.
J'avais pensé qu'ils auraient choisi un petit resto intime. Il s'en fallut de beaucoup. Leur choix se porta sur un de ces établissements de shoarma et autres kebbab
. Dans ce genre de petite échoppe, il n'y a souvent que des hommes. L'endroit n'échappa pas à la règle avec une petite dizaine de consommateurs et deux ou trois "cuisiniers". Évidemment, notre entrée fut remarquée. Je détonnais complètement. Pensez donc
une femme en robe du soir dans ce genre d'endroit sous les regards brûlants de toutes ces paires d'yeux noirs. Je tentais, en vain, de me faire toute petite. Lorsque le garçon apporta les sandwichs les regards convergèrent de nouveau vers moi pour m'observer absorber ma première bouchée. Visiblement les clients imaginaient autre chose qu'un kebbab entre mes mains. Bizarre quand même
autant que l'ambiance. Du coup, je n'osais plus manger, gênée. Julien se pencha vers moi :
"Tu sais, s'ils savaient que tu n'as rien sous ta robe, il se jetteraient sur toi pour te violer !"
Et Sébastien renchérit :
"Nous les laisserions faire, cela ne devrait pas te déplaire !"
"Vous êtes complètement fous !"
"Pas tant que tu crois ! Je pense qu'ils attendent encore un ou deux copains
et après, ils vont tirer le rideau de fer. La dernière fois, la copine de Sébastien, ils l'ont relâchée au petit matin
elle ne pouvait plus trop marcher
."
Des fous, des malades
encore une fois j'étais tombée sur des dingues ! ce petit salaud de Julien m'avait "levée", séduite, amenée à accepter un trio. Mais en fait cela cachait quelque chose d'autre : me livrer à la clientèle d'un restaurant turc. Contre quoi d'abord ?
J'eus la présence d'esprit de discrètement ramasser mon sac. Brusquement, je me levais et traversait à toute vitesse le restaurant. J'avais été si vite que personne n'eus le temps de me rattr. Une fois sortie, je me jetais dans un taxi
ouf ! Je pus enfin respirer. D'ailleurs pas si longtemps que cela puisque tombant de charybde en scylla, je m'aperçu que je n'avais pas le compte pour régler ma course. Je demandais au chauffeur de me laisser rentrer chez moi pour y prendre de quoi le régler. Sa réponse fut brève.
"On ne me la fait pas à moi ! Dès que vous serez rentrée, je ne vus verrais plus !"
J'eus beau promettre, il n'en démordit pas. Nous étions dans l'impasse. Pour en sortir la seule chose que je trouvais fut de lui proposer une fellation. Il accepta
. Je passais à l'avant de la voiture et en me cognant copieusement la tête contre le volant je suçais la bite malodorante du taxi-man qui ne se gêna pas le moins du monde pour glisser la main dans mon décolleté pour me tripoter les nichons. Remarquez, cela accéléra son éjaculation
et ma libération.
Enfin chez moi ! Enfin seule ! Je l'avais échappé belle !
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