Na Leslie Tr 17

Leslie à Paris – P17- Les confidences de Laure, initiation, suite.

Pierre.
Quand Pierre rentra la première fois de déplacement il fut étonné de me voir en petite tenue et il siffla d'admiration en disant :
- Mais elle est drôlement jolie la fille de nos amis !
- Oui, elle est belle, dit Corinne, mais encore un peu jeune.
Je vis dans les yeux de Pierre à cet instant une envie de mon corps et de ma jeunesse, mais Corinne veillait.
L’après-midi, Pierre tout naturellement se baigna nu, il avait un beau sexe long et épais, j'aurais aimée qu’il bande à cet instant, juste pour voir son sexe en érection car ce doit être un bel engin.
Le soir Pierre et Corinne montèrent tôt dans leur chambre, quelque temps plus tard dans mon lit je me suis masturbée en pensant à Corinne et au sexe de Pierre m’imaginant ce que cela serait lorsqu’il serait en érection, et pendant la nuit je les ai entendus faire l'amour et je m'endormis difficilement la main sur le pubis en me caressant frénétiquement.

Le lendemain, je me suis réveillée assez tard, Corinne vint directement vers moi pour m'embrasser et je lui ai dit :
- Je vous ai entendu faire l'amour cette nuit.
- Et alors ça t’as plut, je suis sure que tu t’es masturbée en nous écoutant.
- Oui je l’avoue, mais moi, dis-je.
- Quoi toi
- Je voudrais faire l’amour avec vous.
- Laure, tu es trop jeune, soit patiente ma chérie, tu n’as que dix-sept ans et même si je suis bisexuelle et que j’ai eue des aventures avec des femmes de mon âge et des hommes rencontrés en dehors de mon couple, et aussi avec des jeunes femmes mais elles avaient toutes entre dix-huit ans et dix-neuf ans, tu es la première pour moi à être aussi jeune et je suis amoureuse de toi, mais de là à te partager avec Pierre il faudra attendre un peu.
Bien que déçue je me suis faite une raison, Corinne s’en aperçut et tout en me parlant elle s'était rapprochée de moi, sa bouche rejoignit la mienne, nos langue se mêlèrent pendant quelques minutes.


Puis sa main glissa entre mes cuisses, trouvèrent mon bouton et Corinne me fit jouir rapidement, m’arrachant un sanglot, alors elle me dit :
- Dans quelques temps, ma chérie, quand tu sauras donner le plaisir je te ferais rencontrer des hommes qui te feront l’amour et des femmes qui te donneront du plaisir, mais il fait être patiente.

Avec Corinne.
Les jours s'écoulèrent ainsi entre la piscine, les séances de bronzage, les soirées sur la terrasse ou dans le lit de Corinne qui prenait soin de me faire jouir, et souvent plusieurs fois par jour.
Les rares nuits où je me retrouvais seule dans mon lit écoutant les gémissements de Corinne faisant l’amour avec Pierre je me masturbais en pensant à son corps et au sexe de Pierre entrevu quelques fois à la piscine.
Je prenais de plus en plus de plaisir à me retrouver dans les bras de Corinne et quand elle ne me touchait pas pendant quelques heures, j'en devenais nerveuse et je réclamais à mon amante les caresses apaisantes.

Souvent nous nous installions face à face, les jambes largement écartées dans une attitude d'impudeur extrême. Corinne menait la danse, une main sur son sexe, l'autre sur ses seins. Nous nous regardions les yeux dans les yeux avant de nous masturber l’une devant l’autre. Je commençais par la copier en caressant mes seins comme elle le faisait, puis mes deux mains se retrouvèrent rapidement sur mon sexe, je jouissais souvent la première, sous le regard admiratif de Corinne, puis peu de temps après la jouissance l’emportait à son tour.
Souvent après elle prenait mes mains et les posait sur son bas-ventre, sa main sur la mienne, elle guidait les premières caresses que je devais lui donner, comme si elle m’apprenait comment je ferais plus tard avec une autre femme. D’un doigt elle poussait sur mon index pour qu'il vienne toucher son clitoris, et Corinne se mettait à soupirer en disant :
- Oh oui, c’est bon.
En fait il suffisait de faire comme quand je me donnais du plaisir en me masturbant ou comme elle le faisait lorsqu’elle me caressait pour me donner du plaisir.


Pendant ces vacances me donna tous les conseils pour rendre une autre femme heureuse, s’appliquant à chaque instant de faire de moi une lesbienne, Corinne m’offrait tout d’elle, son savoir et son indécence, sa beauté et sa douceur, indécente elle écartait ses lèvres, découvrant les replis de son sexe et faisait ressortir son clitoris pour que je le regarde, que je l’apprenne et que je l’aime, ce geste indécent ne me choquait pas car je sentais qu'elle s'offrait à moi, qu'elle s’offrait par amour.
Parfois elle s'allongeait pour s’offrir et je me laissai guider par ses gémissements et ses conseils lorsqu’elle m’intimait de la voie pour faire plus ceci que cela, accélérer ou ralentir mes caresses.
Elle me guidait pour que mes doigts glissent autour de son clito ou poussent son clitoris vers le haut comme pour le faire sortir de son écrin, ou que j’appuie plus fort sur ce bouton dressé pour lui donner le plaisir, dans ces instants là elle se laissait aller en disant des :
- Oh oui, oh que c’est bon, comme tu me caresses bien.
Elle m'attirait sur elle en rajoutant :
- Oh ma petite chérie fait moi jouir.
Nous faisions de longs corps à corps, seins contre seins et elle gémissait en m'embrassant et plus elle partait et plus elle m'excitait. Je jouissais de son excitation et de son plaisir surtout quand je la sentais se cambrer tandis qu’elle gémissait de plaisir.
Elle m’apprit que dans cet instant les doigts agaçant son clitoris pouvaient plonger dans son sexe pour aviver l’orgasme qui montait en elle, je l’ai vue dans ces instants secouer la tête de droite à gauche et son corps prit de convulsions intenses
Elle me rendait folle dans ces moments déchaînée et je ne pouvais m’arrêter de la faire jouir, encore et encore.
Elle ouvrait les cuisses au maximum, s’offrant dans l’indécence complète de son plaisir avant de succomber dans un orgasme foudroyant qui l’a laissait pantelante comme une poupée de chiffon, alors heureuses nous reposions entrelacées pendant de longues minutes, étant très fière d'avoir si bien réussi à donner du plaisir à une autre femme, Corinne, mon amante.


J’ai passée deux mois dans le plaisir dans les bras ou sous les doigts de Corinne, jamais auparavant je n’avais jouis de la sorte et autant de fois par jour, je constatais que cela me plaisais et que je voulais jouir le plus souvent possible.
Parfois Pierre rentrait à la maison entre deux déplacements et quand Pierre était à la maison Corinne me délaissait un peu passant la majorité dans les bras de son homme, je les entendais faire l’amour le soir et je me masturbais en les imaginant dans leur chambre, j’aurais bien aimée les regarder en me donnant du plaisir. Corinne pendant ces instants ne se cachait pas en criant ouvertement son plaisir pour que je l’entende.
Parfois je l’entendais dire :
- Oh oui mon chéri, c’est bon, oh oui prend moi je suis à toi.
Ou bien :
- Oui, oui oh comme je te sens bien.
J’ai essayée de savoir ce qu’ils faisaient ensemble en posant des questions à Corinne quand nous étions à nouveau seules, mais seul le silence fut la réponse ou Corinne me disait :
- Tu verras bientôt tu sauras.

Fin des congés et retour à la maison.
Les congés finirent, Corinne et moi avions passé la plus grande partie du temps à faire l'amour et à nous aimées. J'avais jouis plusieurs fois par jour sous ses caresses, j'avais appris à connaître son corps et elle avait fait de moi une experte en amours saphiques, experte dans l'art de faire jouir une autre femme de mes mains ou de ma langue.
Les rares moments où je m’étais retrouvée seule je me masturbais frénétiquement en pensant à elle, parfois même je l’avoue en pensant à Pierre et ce qu’ensemble nous pourrions faire, avant de me déposer chez mes parents elle me dit doucement :
- Je viendrais souvent te voir et t’inviterais à la maison, et l’année prochaine nous repartirons ensemble en vacances.

A suivre……

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