Na Leslie Tr 18
Leslie à Paris P18 Les confidences de Laure, Corinne linitiation continue.
A la maison.
Ainsi durant lannée suivante Corinne à tenue sa promesse, venant le plus souvent possible me voir et sarrangeant pour que nous nous retrouvions seules pour nous aimer, elle ma aussi invitée chez elle, quand Pierre nétait pas là, afin de passer ensemble des nuits dans sont lit.
Au côté de Corinne je suis devenue une lesbienne insatiable à la recherche constante du plaisir, je devenais une véritable accroc des plaisirs saphiques et tout naturellement cest lors dun week-end chez Corinne quelle ma initiée aux plaisirs saphiques à trois ayant invitée une amie à elle, une lesbienne convaincue naimant que les femmes. Ce week-end fut un moment de plaisirs sexuels entre trois femmes, et poursuivant mon éducation lesbienne, Corinne et sa compagne mont montrées comment deux femmes pouvaient saimer avec des godes, senfonçant tour à tour dans leurs orifices des godes aux belles dimensions, Corinne pendant ces instants ne me perdait pas des yeux mencourageant à me caresser.
Cest lors de ce fameux week-end que jai vue pour la première fois deux femmes se sodomiser à laide dun gode ceinture dont elles sétaient harnachées chacune à leur tour, cette image est restée longtemps gravée dans mon esprit et javoue mêtre souvent masturbée en y repensant.
Petit à petit, avec Corinne, nous ne prenions pratiquement plus de précautions, elle me demanda de ne plus porter de sous-vêtement et dêtre toujours nue sous ma robe, ma jupe ou dans un pantalon, ainsi me dit-elle tu seras prête.
Cest ainsi quun jour étant passée à la maison pour prendre des nouvelles, alors que jétais dans ma chambre, Corinne profitant dun instant pendant lequel ma mère était au téléphone, me rejoignit, sitôt dans ma chambre elle me poussa contre la porte, releva la jupe sous laquelle évidemment j'étais nue et me fît jouir de ses doigts rapidement.
Très rapidement durant cette année les moments dabsence de Corinne commencèrent à me peser, je supportais de moins en moins de ne pas voir Corinne aussi souvent que je laurais désirée, je rêvais delle sans cesse en repensant à nos longs moments sexuels passés dans les bras lune de lautre, mon corps réclamait des jouissances et mes masturbations solitaires ne me suffisaient plus.
A cette époque je passais beaucoup de temps avec mon amie Sylvie, nous étions très proches et souvent elle me recevait chez elle en petite tenue, juste vêtue d'une petite culotte et dun tee-shirt moulant sa frêle poitrine.
Plusieurs fois je lai vue nue éveillant en moi des désirs et des pulsions saphiques, je regardais Sylvie non plus comme une copine mais comme une amante potentielle avec qui jaimerais faire l'amour, Corinne avait éveillée en moi des pensées insoupçonnables envers les filles de mon âge et les femmes en général.
Comme jaurais aimée embrasser Sylvie, la caresser et la gouter, la faire vibrer sous mes caresses et sous ma bouche, mais je nosais pas redoutant une moquerie ou simplement un refus.
Les garçons ne mintéressaient pas et je passais des instants de grande solitude.
Durant toute lannée je navais plus la tête aux études mais plus aux plaisirs sexuels avec Corinne, je me disais que dès mes dix-huit ans je partirais de la maison pour vivre libre mes désirs saphiques et sexuels.
Dautres vacances avec Corinne.
Aux vacances dété suivantes, comme lannée passée, je passais mes vacances avec Corinne dans la maison du sud, le jour de notre arrivée nous nous sommes retrouvées dans sa chambre sans même défaire nos bagages empressées de nous aimer.
Installées dans sa chambre Corinne me fît jouir avec ses doigts, puis elle me butina le sexe et le clitoris en marrachant des cris de plaisir. Sa langue sur mon clitoris mélectrisait et plusieurs fois de suite je fus emportée par un orgasme fulgurant.
Puis à mon tour jai posée ma bouche sur son sexe pour lécher Corinne comme une dingue, nous nous nétions pas vues depuis près dun mois et nos corps réclamaient le plaisir, Corinne avait passé ses mains dans mes cheveux et guidait ma bouche vers les endroits intimes où ma langue lui donnait le plaisir, Corinne jouit en minondant la bouche de son plaisir et pendant quelle jouissait en hurlant de plaisir, je sentais son clitoris tout dur vibrer sous ma langue.
Les jours qui suivirent Corinne me fit découvrir petit à petit le plaisir des pénétrations, dabord, dès le lendemain et les jours qui suivirent, lorsquelle me donnait du plaisir avec sa bouche je sentais un de ses doigts venir caresser mon petit illet plissé, son doigts caressait le repli de mon anus en tournant autour de mon petit trou et cette caresse me faisait gémir de plaisir, puis les jours suivants le doigt inquisiteur ne resta plus sur le bord de mon intimité, après quelques pressions sur mon petit trou Corinne força le passage pour introduire ce doigt en moi, très vite elle me branla le fion me faisant crier de bonheur. Une semaine plus tard Corinne mannonça :
- Maintenant tu es prête !
Corinne me dépucelle.
Le lendemain, alors que nous étions en 69 et folles dexcitation et que Corinne sous moi me léchait la vulve elle rentra plusieurs fois son doigt dans mon anus, le tournant et le faisant aller et venir, puis elle me fit découvrir un gode vibrant en me disant :
Ce soir je vais faire de toi une femme.
Corinne, me fit placer sur le dos et me donna toutes les caresses qui me faisaient partir, puis armer de son gode, quelle mit en marche de vibrations, elle se mit à me parcourir le corps de la pointe, les vibrations réveillaient en moi de douces sensations, puis le gode descendit le long de mon ventre pour terminer sur ma vulve, je partais et devenais folle tant les sensations étaient fortes, après mavoir longuement caressée avec son gode tout le pourtour de ma vulve elle le positionna à lentrée de ma vulve, le contact du gode-vibrant sur mon clitoris mélectrisa et me fit partir dans une folle jouissance cest linstant que choisit Corinne pour me le rentrer en moi doucement.
Lentement je sentais cet objet rentré en moi, les vibrations me rendaient folle, puis Corinne arrêta la progression quand elle sentit une légère résistance, elle arrêta les vibrations du gode puis se pencha vers moi et me dit doucement à loreille :
- Je taime.
Cest à cet instant ou jentendais Corinne mavouer son amour quelle enfonça entièrement le gode en moi provocant une douleur dans le bas ventre, des larmes perlèrent dans mes yeux, Corinne laissa le gode planté en moi entièrement en me cajolant et en disant :
Voila ma petite chérie, tu es une femme maintenant, je viens de te déflorer et je te remercie de mavoir donnée ta virginité.
Corinne sappliquait dans ses caresses pour me rassurer et me consoler, et aussi apaiser la douleur, puis doucement elle fit bouger le gode en moi, lentement pour commencer puis de plus en plus vite, le plaisir fit place à la douleur et je jouis en mouillant les doigts de Corinne de mon plaisir.
Nous nous endormîmes tendrement enlacées, et je soufflais dans loreille de Corinne :
- Merci, mon amour.
- Bonne nuit ma chérie, me répondis Corinne, demain nous ferons bien dautres choses.
Le lendemain et les jours suivants Corinne semploya à me faire accepter les pénétrations de ses godes en moi, chose aisée pour elle car jétais plus que consentante à sa plus grande joie.
Quelques jour plus tard Corinne, alors que nous étions entrain de faire lamour et que mon corps frémissait sous ses caresses me dit :
- Maintenant ma chérie ile est temps que tu découvre encore autre chose !
Javoue que ses propos me donnèrent des frissons et avaient éveillés en moi de la curiosité.
Elle se leva et se dirigea vers larmoire de sa chambre et en sortit un gode ceinture de bonne taille, beaucoup plus long que les godes avec lesquels elle me pénétrait depuis maintenant trois jours mais surtout plus épais, lapparence de ce gode ceinture était très réaliste avec les dessins des veines apparentes et le gland complètement décalotté, hormis quil était de couleur noire javais limpression de voir un vrai sexe dhomme. Corinne sharnachât avec cet instrument en le fixant autour de sa taille et vint vers moi en me disant :
- Ne tinquiète pas me douce chérie, je vais être douce et tu vas hurler de plaisir.
Elle me fit mettre à quatre pattes sur le lit en me demandant de tenir mes fesses bien relevées.
- Offres-toi ma belle, me dit-elle.
En pensant à ce pal qui allait entrer en moi et à Corinne membrée comme un homme du phallus factice fixé autour de sa taille et décorant son pubis je me mis à mouiller comme une dingue, Corinne sen aperçut et me dit :
- Eh bien toi tes ça te fait de leffet !
Elle positionna le gland du gode à lentrée de ma vulve, le gland juste positionné entre mes lèvres intimes et me demanda de me détendre, puis doucement dun mouvement de reins elle commença à me pénétrer, la sensation était folle, je me sentais distendu par le pal qui rentrait en moi me remplissant complètement. Très vite il fut entièrement en moi butant au fond de mes entrailles.
La sensation dêtre prise comme par un homme par ma chérie provoquait en moi des bouffées de plaisir, Corinne commença de lents aller et venue ma laissant émettre des :
- Ohhh, ma chérie, oui.
Très vite un premier orgasme monta en moi me tétanisant en me laissant complètement offerte à la pénétration du gode de Corinne, alors elle accéléra ses mouvements. Corinne me pénétrait avec force et vigueur memportant dans des jouissances que je ne contrôlais pas jusquau moment ou je meffondrais à plat ventre sur les draps.
Corinne sortit de moi et remonta le gland du gode sur ma petite rosette, je sentis celui-ci sécarter un peu, mais effrayer je dis à Corinne :
- Non pas par là, ma chérie sil te plait.
- Laisses-toi faire, me répondit-elle.
- Non je vais avoir mal et tu vas me déchirer.
Corinne se déplaça un peu et prenant un tube dans le tiroir de sa commode elle menduisit le trou de gel et déposa une bonne quantité de gel sur le gland du gode et sur toute la longueur de la verge factice.
- Ainsi ça va glisser tout seul, déclara telle.
Puis elle se remit en position en redéposant le gland à lentrée de mon petit trou, je frémis et sentit le gland sintroduire en moi lentement, je criais mais la sensation dêtre ainsi possédée ne me déplaisait pas, je me laissais aller et mouvrit entièrement à cette pénétration. Corinne me déflora lanus et me fit lamour par cette voie pendant un long moment je ne jouis pas cette fois-ci mais ressentit beaucoup de bonheur et de plaisir à offrir cette voie à mon amante.
Lorsquelle se retira de moi elle déclara :
- Maintenant tu es prête à rencontrer un homme.
Pendant les dix jours suivants Corinne me fit lamour avec ce gode démoniaque, me prenant par mes deux trous afin de mhabi disait-elle, me demandant de le sucer parfois comme si cétait un vari membre dhomme.
Elle mapprit à me servir du gode ceinture, dabord à le fixer sur moi et à lutiliser sur, non plutôt en elle, nous nous sommes pendant ces deux semaines fait jouir mutuellement, nous nous sommes aimer avec un double dong en mous pénétrant simultanément par les mêmes orifices, elle ma fait porter pendant toute une journée des boules de geisha.
Mon plaisir était total et Corinne en profitait, je lui avouais que je laimais et elle me répondait quelle aussi maimait et elle rajoutait :
- Je taime Laure, mais tu sais que je suis bisexuelle et que si jaime la compagnie des femmes et plus particulièrement la tienne, jaime aussi les hommes.
- Mais tu es mariée, lui dis-je.
- Tu sais, me dit-elle, avec Pierre nous nous aimons, mais nous avons des relations extras conjugales et même parfois nous avons participés à des soirées échangistes, nous sommes un couple très libre et nous désirons profités de la vie.
A suivre
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