Un Orage, Une Rencontre Fortuite, Une Proximité Et On Lâche Pour Une Partie De Baise Sous La Pluie.

Cet été nous étions en vacances en Bretagne. Ce matin là, avec Chantal, ma jeune femme, nous sommes partis faire un jogging sur la plage à marée basse, le long des falaises. Elle portait un léger short un peu lâche au niveau des cuisses, simplement retenu par un élastique. En haut, un fin tee-shirt blanc de coton. En la suivant je la trouvais très excitante avec ses tennis blanches et ses petites chaussettes qui mettaient en valeur la finesse de ses jambes et de ses chevilles. Il faisait chaud, lourd même et la sueur faisait briller sa peau.
Soudain le ciel s'est couvert très vite et la violente averse qui menaçait s'est abattue sur nous. Brutale, abondante. En quelques secondes nous étions trempés. Pas d'abris.
Nous continuons à courir. Mouillés les vêtements de ma épouse disparaissent comme par enchantement. Ses fesses, qui courent juste devant moi, apparaissent clairement dans sa fine culotte de coton elle aussi trempée sous le short. Le tissu plaqué sur les rondeurs pénètre profondément la raie des fesses soulignant leur volume. A chacune de ses foulées, on distingue le ballottement de ses muscles. On peut même distinguer le granité de la peau mouillée qui a froid.
Elle ne s'est aperçue de rien.
Tous les muscles de ses épaules et de son dos se dessinent là devant mes yeux au rythme de ses foulées. Ses longs cheveux collés par l'eau sont superbes. Elle court pratiquement nue devant moi. Entre ses fesses ruisselantes on peut même saisir à la faveur d'une enjambée quelques poils de son pubis trempé.
L'idée de la savoir nue, sans défense, exposée au regard de quiconque, me rend fou. J'en suis à prier de rencontrer un violeur. La pluie, la sueur, la chaleur ajoutent au tableau une note de sexualité sauvage.
Et mon miracle se produit.
Au loin contre la falaise, un petit abri. Un homme se protège. On le rejoint. Quand Chantal s'arrête, son short légèrement descendu, emporté par le poids de l'eau, découvre son ventre juste au dessus de son pubis.

Elle est à bout de souffle.
Soudain, elle se rend compte de son aspect quand elle surprend le regard de l'inconnu posé sur elle. On est presque collés les uns aux autres. Par devant, le coton trempé ne cache plus rien. Comme une seconde peau, je découvre à mon tour la vision de ses seins très nettement exhibés malgré son soutien-gorge, laissant voir leur auréole. La fraicheur fait pointer leurs bouts. On devine combien ils sont fermes. Plus bas, le tissu du short et du slip n'empêchent pas les poils du pubis de dessiner le triangle parfait de son sexe. Chantal est toute rouge de honte de se trouver ainsi exposée si près aux regards de cet homme jeune qui sans vergogne la détaille de la tête aux pieds sans se soucier de ma présence. Moi je bande et notre voyeur s'en aperçoit et il prend cela comme un signe de complicité. Et c'est vrai, sa présence ajoute à mon excitation. La pluie continue, on est bloqués. Alors la folie me prend. Je passe derrière mon épouse, je la saisis aux épaules, lui bloque les bras dans le dos et de la main libre, je lui caresse les seins devant l'inconnu qui n'en revient pas.
Chantal se débat mais je la rassure et la supplie. Elle résiste et dans un souffle me demande d’arrêter. J’insiste, je suis trop excité. Je lui dis que je veux simplement la montrer car elle est très belle. Flattée, elle se ramollit. Elle finit par me dire doucement :
- « Tu es un salaud ! ».
L’inconnu reste immobile, subjugué par ce qui arrive. Il fixe mes mains qui caressent les seins, font rouler leurs bouts qui déjà bandent fièrement.
- « Elle est belle, non ? »
Il ne dit rien mais regarde. Alors brusquement, je relève le teeshirt lui relève son soutien gorge et découvre sa poitrine. Elle fait un geste pour se couvrir mais elle est devancée par l’homme qui s’est approché et saisit les seins à pleine main. Elle frémit et s'esquive. Je la maintiens. Il lui prend le visage et colle sa bouche sur ses lèvres essayant de forcer le passage.
Ma femme résiste, il insiste.
- « Laisse-toi faire, il est sympa et tu es vraiment bandante ! » Enfin, elle cède et la langue pénètre brutalement la bouche ouverte. Je la pousse alors contre son violeur en lui dégrafant son soutien gorge. L’homme descend une main et se saisit à pleine main du sexe au travers du short. Mais cela ne lui suffit pas et sans douceur il baisse le vêtement, le dégage des jambes et le jette. Il fait pareil pour le slip. Maintenant Chantal est nue à partir de la taille devant cet homme qui sait qu'il va la baiser avec l'accord de son mari. Moi, pour la voir plus nue, je lui enlève son haut.
D’une main il lui caresse un sein et de l’autre il lui doigte la chatte sans ménagement. Chantal halète, la bouche collée à celle de son amant. Sans pudeur, elle lui rend son baiser, écartant même ses cuisses pour mieux lui offrir son ventre.
Elle ne résiste plus d’ailleurs et participe maintenant appréciant la situation. L'homme qui a ouvert son pantalon se saisit de sa queue qui est énorme. Il bande tout haut. Il la frotte contre le ventre nu devant lui. Son gland décalotté mouille abondamment.
Je la lui retourne, elle met sa tête sur mes épaules en signe d'abandon. Elle encore toute mouillée de pluie mais son corps est terriblement chaud. Il s'empare à pleine main de ses fesses pour en contempler les rondeurs, puis il les écarte pour dénuder sa raie et exposer son petit trou. Je la fait se pencher en avant pour que son cul, bien rond et qui en a excité plus d'un, se présente bien abandonné au sexe de l'homme. Il n'hésite pas un instant, il écarte les lèvres toutes mouillées et d'un seul coup s'enfonce entre elles. Ma femme se cabre sous le choc, son visage marque une grimace de souffrance. Le sexe est très gros bien plus gros que le mien et c'est la première fois que celui de mon épouse s'ouvre ainsi à une autre queue. Elle a mal et demande au violeur d'aller doucement.
- « Doucement s’il vous plait. Vous êtes trop gros, j’ai mal.
». Mais il ne l'entend pas et sans attendre il pousse pour bien se planter au fond de ce ventre chaud. Il veut profiter au plus vite de la femelle devant lui. Impatient, il entreprend un violent va et vient sans se préoccuper du plaisir de sa prise. Pourtant, Chantal commence à pousser des petits cris de plaisir, elle se livre de plus en plus, elle si réservée dans ses manifestations de jouissance.
Je la vois même à un moment passer sa main derrière elle et se saisir des fesses de son amant pour l’inciter à mieux la pénétrer plus profond.
Notre abri est tout petit et la pluie continue à nous mouiller. On n’a pas froid car cette pluie d’orage est chaude.
Je me suis déculotté à mon tour et demande à Chantal de me sucer tandis qu'elle se fait baiser devant moi. Rapidement l'homme accélère son rythme et Chantal présente des signes de plaisir. Bientôt c'est elle qui, abandonnant un instant ma bite, prend la parole pour lui demander de pousser encore plus loin sa queue qui la baise. Cela excite l'inconnu qui ne tarde pas à se jouir en râlant. Je jouis également dans bouche et lui demande d’avaler tout mon sperme.
L'inconnu déverse son sperme par saccades longues et puissantes dans le vagin brûlant de mon épouse adorée. Quand il se retire, son sperme ruisselle le long des cuisses de ma femme, mêlé aux gouttes de pluie. C’est superbe. Il s’écoule jusqu'aux chevilles tant il est abondant. Chantal a jouit en criant là sur cette plage sous la pluie.
Bien vite elle se rhabille sans remettre sa culotte ni son soutien gorge ni échanger un mot avec notre inconnu, et sous la pluie qui n'a pas cessé, on s'éloigne de ce lieu et de cet homme qui resteront dans notre mémoire comme notre plus beau souvenir sexuel.
Toujours disposé à montrer, si vous le demandez
AL

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