La Visite De Mon Beau-Frère

Ma sœur m’avait appelée pour me demander si je pouvais recevoir son mari qui restait pour son travail sur Paris. Elle m’expliqua qu’elle était un peu jalouse et désirait que je le surveille du coin de l’oeil. Alors ! Un dîner chez moi serait un bon prétexte pour l’empêcher de sortir.

J’avais été très jalouse de ma sœur quand j’avais vu qu’elle sortait avec ce garçon qui est devenu son mari. Mais j’étais mariée et j’étais encore amoureuse de mon mari. Ça n’avait pas duré. Après une grosse dispute, mon mari avait demandé le divorce. Après deux ans de mariage, ça n’allait plus trop et on ne faisait même plus l’amour.

Il ne m’avait fallu que quinze mois pour en épouser un autre. Ma sœur et son mari venaient de temps à autre dîner à la maison, il avait maintenant deux s. La vie suivait son cours.

Mais pour moi c’était encore les engueulades et un nouveau divorce. J’en avais fini avec tous ces types. Le prochain, ce serait copain copain, juste pour la bagatelle, fini le mariage.

Je me surprend à penser à mon beau-frère, et me rappelle ses défauts, une fois où il m’a embrassé sur la bouche alors qu’il était un peu pompette, lors d’un réveillon. Ce n’était pas allé très loin mais j’avais trouvé ça assez agréable de penser que ma sœur vivait avec ce type-là, et baisait avec lui. Une autre fois, il m’avait peloté la poitrine, me murmurant à l’oreille qu’il aimait les filles qui avaient de gros seins.

Mon beau-frère ne voulait pas dîner chez moi pour ne pas me donner du travail il m’attendait au bar du restaurant de la gare. J’avais déjà déjeuné dans cet endroit, on a dîné en plein milieu de la salle. Difficile d’être intime dans ce cas. Mais visiblement ce n’était pas l’intention de mon beau-frère de me faire la cour. Il a choisi cette place pour moi. C’était bien, c’était cher, c’était bon. Et puis on est sorti et on s’est promenés et comme c’était pas loin de chez moi il m’a offert de me raccompagner.



On n’a que quelques marches à monter pour arriver devant ma porte je sens une main sur ma cuisse. Une main volontaire qui désire aller encore plus haut. Je serre les cuisses, mais comment faire pour me libérer ! Reste à lever une jambe pour monter une marche de plus et la main reste collée et qui se frotte par le mouvement de mes cuisses. Je monte une autre marche, puis une autre, une dernière. Je suis maintenant devant ma porte et mon beau-frère collé sur mon épaule, sa main entre mes cuisses.

Dans un effort périlleux, je parviens à lui dire de me laisser tranquille et il finit par retirer sa main. Je n’ai pas le courage d’en dire plus, et de lui dire de partir. Le bon vin du dîner m’a fait un peu tourner la tête. Alors ! J’invite mon beau-frère à prendre un dernier verre.

Après tout c’était sûrement de ma faute. je n’avais pas à mettre cette jupe ultra-courte, ce décolleté vertigineux. Oui, après tout c’était de ma faute ce qui est arrivé ?

Je lui ai servi un verre, on a bu et on s’est assis dans le canapé. J’aurai pas dû lui laisser prendre ma main, et la porter à sa bouche. J’aurai pas dû le laisser toucher à mes cuisses, et me forcer à m’asseoir à cheval sur ses genoux. J’aurai pas dû l’embrasser sur la bouche. J’aurai pas dû surtout trouver cela agréable.

Quand il m’a dit qu’il bandait, et si je voulais voir, j’aurai dû refuser. Au contraire J’ai détacher la ceinture de son pantalon, je le déboutonne, je baisse son slip et je vois apparaître ce sexe énorme, je le saisis avec deux doigts de chaque côté. Je n’ai pas besoin de tirer, juste à en dégager le gland. Mon beau-frère lève les cuisses pour que je fasse passer le pantalon et le slip sur ses genoux. Oui, c’est un vrai chapeau chinois, je n’ai qu’une hâte, en dégager les bourses. Ma sœur n’a jamais songé à me vanter les charmes de son mari, des charmes que je n’ai jamais vu chez aucun de mes amants et maris.

Il m’aide à retirer mon T-shirt.
Je dégrafe mon soutien-gorge et quand je le retire mes seins tombent. J’ai les seins en poire, un peu tombants car mes maris successifs n’aimaient pas les soutifs, et ils me demandaient d’en mettre le moins souvent possible.

Ils aimaient soulever mes seins dans ses mains, et en pincer les bouts, tirer dessus.

Mon beau-frère n’arrive pas à se décider lorsque je lui présente mes seins. J’ai envie qu’il en suce les mamelons, qu’il les morde.

Je pense rapidement à ma sœur. Après tout c’est mon tour. J’avance mon torse, présente mes seins à la bouche qui les suce sans attendre et j’aime ça. Je mets mes mains derrière sa tête. Ses cheveux sont si doux. Je me laisse faire. pendant qu’il me suce les seins, il me retire alors ma culotte et ma jupe.

Il y a si longtemps que ça ne m’est pas arrivé. Oui, ça fait longtemps que je n’ai pas été baisé. Et j’en ai si envie ! Ce cochon de beau-frère va me faire jouir rien qu’à me sucer les mamelons. Mais voilà qu’il m’explore, que ses mains se portent sur mes fesses, il les écarte.

Je m’enfonce sur le gland, mes lèvres redevenues vierges. Je suis prise, empalée, Il a dû lâcher mes seins que je frotte maintenant sur son torse.

Mon dieu, qu’est-ce que je fais ! Je baise avec mon beau-frère.

Mon corps prend son plaisir. Ça a l’air si facile. Il a mis ses mains sous mes fesses et me soulève et il me laisse m’empaler. Sa bouche à repris la mienne. Nos langues se retrouvent et maintenant je ne suis plus qu’une femelle en chaleur.

Je me suis relevée, ai porté ma main à ma croupe pour empêcher la semence de couler sur mes jambes. Dans la salle de bains je me suis assise sur le bidet, les fesses douloureuses poutant elle en ont déja vue d’autres.

Quand je retourne dans le salon je me demande si ce n’est pas un rêve que j’ai fait. Non ! Il est là, assis sur le canapé, jambes ouvertes, son pénis en banane. Il me tend les bras pour que je vienne, mais je reste debout devant lui, il me dit :

- C’est beau, un con complètement épilé.


- Oui ! J’ai toujours eu horreur des poils et me suis depuis toujours épilé complètement.

Mais je me dis qu’il faudra bien qu’on parle enfin de ma sœur. J’ai baisé avec son mari. Elle avait confiance en moi. Je n’ai pas pu résister. Il me regarde avec des yeux ronds. Il a deviner mes pensées il reprend :

- Tu ne vas pas lui dire à ta sœur ce que nous avons fait ! Tu sais, elle aussi elle adore baiser, mais depuis quelques temps, c’est plus la même chose et notre petit dernier à deux ans.

Ma tête pense à ma sœur et mon corps pense à cette queue à qui il ne faudrait pas grand chose pour bander à nouveau. Il me dit :

- Vous avez deux ans de différence, mais vous vous ressemblez. Quand elle a envie, elle aussi à les bouts des seins qui grossissent. Ce qui te manque à toi c’est d’avoir les petites lèvres. Cela m’excite ! Et toi, t’as pas d’amant ? Tu te masturbes ?

Il me fait approcher et me touche du bout des doigts.

- Tu dois beaucoup te branler parce que ça n’a pas été difficile de te prendre.

Mon beau-frère me traite de cochonne. Mais c’est pas cela qui m’empêchera de faire n’importe quoi pour lui cette nuit, je n’imagine même pas que ça va se terminer sur l’instant.

Il est plus de minuit. On boit un autre verre de whisky et moi je suis complètement excitée, avide de sexe. Mais une fois au lit... Je ne me souviens plus de ce qui s’est passé.

Je me lève et je m’observe. Je suis propre, c’est donc qu’on n’a pas baisé. Je n’ai pas idée de ce que mon beauf prend pour le petit déjeuner. Je prépare donc mon idée.

J’ai mis mon peignoir. Je vais dans la chambre. Il se réveille. Quand il écarte les draps, je vois la banane au repos. On déjeune. Il me dit soudain qu’il doit partir car il a promis de retrouver ma sœur dans la soirée. Moi je suis abasourdie car l’envie me tenaille encore.

Je tends la main sous la petite table. Le membre est bien dur sous mes doigts.
Il m’obéit. Mon beau-frère me dit qu’il est trop tard pour cela mais je me comporte comme une idiote, je supplie. Je le suis dans la salle de bains.

Qu’est-ce qu’on peut être conne. Mais finalement il succombe et me prend en levrette sur le lavabos. En même pas deux minutes crac-crac et c’est fini. Je suis remplie de son foutre.

Il s’habille. Il me laisse. Quand il passe la porte, je pleure comme une madeleine. Il me fait jurer encore que jamais je ne dirais mot de tout cela à sa femme.

Je le jure. Je lui demande qu’il promette de revenir. Il part ! Je sanglote et je me retrouve dans la salle de bains en larmes.

J’ai à peine eu le temps de me rincer que le téléphone sonne. Je n’ai qu’un désir : que ce soit lui. Mais c’est la voix de ma sœur qui m’appelle. Elle veut savoir comment s’est passé le dîner.

Je le lui dit. Après tout il ne s’est rien passé de spécial durant le repas. Elle me confie qu’elle ne sait pas ce qui se passe avec son mari, qu’elle a peur qu’il ait une maîtresse, qu’ils ne font presque plus l’amour. Elle m’embrasse. Elle raccroche.

Deux jours plus tard, ma sœur m’appelle au téléphone. Sa voix tremble. Je crains le pire mais elle parle d’une voix enchantée pour me dire que depuis le retour de son mari, ça a été un miracle, qu’ils ont baisé sans arrêt pendant deux jours, qu’il l’a baisée même en levrette, chose qu’ils n’avaient jamais fait malgré son désir, je me suis conduite comme une chienne et j’ai bien l’intention de continuer ! Et elle ajoute : C’est un homme comme ça qu’il te faudrait, pas un de ces types que tu as le chic de trouver !

Je suis tellement dépitée par ce qu’elle m’a appris que je lui réplique que si elle veut me le prêter je suis prête de mon côté :

- Tu n’as pas honte ! Ton beau-frère !

A ce jour, nous n’avons pas recommencé car il en a décidé ainsi.

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