Damien (29) - Mahmoud 1

Une semaine après être rentré de Côte d’Ivoire, je trouvai un travail dans une société comme technicien sur micro ordinateur, je pus quitter l’hôtel que j’avais pris et emménager dans un charmant deux pièces.
Quelques temps après ma vie bien réglée m’allait bien mais il me manquait une bonne bite pour éteindre le feu qui couvait en moi.
J’étais totalement excité et il fallait que je trouve un mec.
Au travers de petites annonces sur des magazines gays, je pris rendez-vous avec un type prénommé Mahmoud.
On avait discuté par téléphone et nous nous étions donné rendez-vous chez lui pour le samedi soir suivant.
Le samedi matin je restai au lit jusqu'à 11 heures puis je me levai, après avoir déjeuné je pris une douche et m'installai devant la télé en attendant le soir.
Vers 18 heures je pris une collation et partis dans la salle de bains, je pris un bain parfumé dans lequel je restai une demi-heure donnant à mon corps une propreté toute suédoise.
Vers 19 heures j'allai au rendez-vous fixé, Mahmoud m'accueillit avec un grand sourire et fit entrer.
Mahmoud était très grand, c’était un noir avec un visage fin qui me semblait très athlétique.
Il me sourit et me dit "Tu sens bon et tu as l’air d’être une bonne
salope et tu vas être à moi toute la nuit.
- Bien sur, tu sais toi aussi tu es très beau.
- Je le sais mais c’est à ma bite que tu vas le dire".
Il eut un sourire bizarre qui m’effraya, il ferma la porte d’entrée à clef, m’entraîna dans la chambre et me dit "Et maintenant à poil et
en vitesse pédé".
Je me dévêtis en le regardant droit dans les yeux, quand je baissai mon string je lui tournai le dos et me déhanchai tout le temps que je fis glisser le slip le long de mes cuisses fuselées, quand je lui refis face, je vis que sa respiration était saccadée, il déglutissait difficilement, je m'approchai de lui et caressai son sexe tendu à travers l'étoffe de son pantalon.


Mahmoud m'envoya un coup de genoux dans le ventre qui me fit tomber à terre la respiration coupée et me dit "Qui tu as dit de me toucher la
bite salope, je sais que tu la veux dans ton cul, mais ce sera
quand je voudrai et comme je voudrai, allez ordure debout et suis-
moi".
Je me relevai péniblement et obéis, il m'amena jusqu'aux toilettes et dit "Allez larbin, nettoie ces chiottes".
Je n'avais ni chiffon ni produit, je dus laver la cuvette, qui heureusement était propre, avec seulement mes mains, puis Mahmoud me fit briquer la salle de bains et faire la vaisselle tout en m'envoyant quelques coups de pieds quand il jugeait que je n'allais pas assez vite.
Après ça je dus lui faire à manger, quand il eut fini il me fit ingurgiter ses restes et nettoyer son assiette avec ma langue, puis il me conduit à la buanderie faire sa lessive, pour commencer il me fit humecter ses slips sales, ses chaussettes et ses dessous de bras de chemise avec ma salive.
Quand j'eus terminé, il me regarda et me dit "Tu es vraiment
dégueulasse, allez monte dans le lavoir".
Je m'exécutai, une fois que j'eus pris place il sortit son sexe érigé et m'arrosa de la tête aux pieds de son urine toute chaude, après quoi il prit un tuyau et m'aspergea d'eau glacée et tout sourire dit "Alors pute, tu ne fais plus ton fier cul maintenant, et tu n’as pas fini d'en chier tu vas voir".
Il me fit sortir du baquet et me tendit une serviette pour que je m'essuie, là nous retournâmes à l'intérieur, dans sa chambre, il prit dans un placard une large ceinture et me dit "Tu vas prendre la raclée de ta vie pute, tu vas voir comment tu vas déguster".
Le cuir s'abattit violemment sur moi, marbrant mes fesses, la douleur fut telle que je hurlai "aaaaaaiiiiiiieeeeeeee !!!!!!"
Mes cris eurent pour effet d'exciter Mahmoud, il se mit à me fouetter de plus en plus fort, je me tordais de souffrance sur le sol essayant d'échapper aux sévices qu'il m'affligeait, profitant de mes mouvement de fuite, il me frappait sur tout le corps, j'avais le ventre et les fesses violacés.

Au bout de quelque temps, ayant dépassé le stade où le mal devient anesthésiant, j'étais sans réaction sous les coups qui pleuvait sur moi, Mahmoud m'ordonna d'écarter mes miches, aussitôt la boucle du ceinturon cingla mon anus, une immonde douleur me vrilla le corps "aaaaaiiiiiieeeeeee !!!!!!" hurlai-je en me débattant pour me soustraire à l'emprise de mon tortionnaire.
La correction continua jusqu'à ce que je sombre dans l'inconscience sous l'effet de l'horrible souffrance qui me tenaillait.
Quand je revins à moi, Mahmoud me tapait encore, des gouttes de sueur perlaient de son front, ses yeux étaient exorbités, on aurait dit un fou, de ma bouche ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh" continu, je ne réagissais plus à la morsure du cuir sur moi.
Peu à peu, la douleur s'estompa et une sensation inconnue se propagea dans mon ventre, au point où j'étais arrivé, je ressentais du plaisir à me faire fouetter, je me cambrais sous les coups offrant mon fessier à mon tourmenteur.
La violence de Mahmoud baissait sous l'effet de la fatigue et c'était moi qui maintenant l'excitait de la parole et en prenant des poses totalement obscènes "aaaaaaahhhh oouuuiiii aaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
enncccoooorrrrreeeeee aaaaaaaaaaaaaaaahhhhh aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh
frraaapppppppppeeeeee-mooiii aaaaaaahhhhhh plluuussss ahhhhhhhhhhh
foorrrtttt ahhhhh çaahhh faaiiitttt maalll ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
maaiiissss j'aaiiimmmmeeeee çaahhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh ooouuuuiiiii ahhhhhhhhhhhhhh".
Mahmoud posa son ceinturon et bu un verre pendant que je râlai au sol, mon corps était brûlant et j'avais le cul en feu, il me fallait une bite, non sa bite je la voulais, je savais qu'elle seule pouvait éteindre le brasier qui couvait en moi, j'étais totalement en transe, je voulais qu'il me baise et je lui dis "Aaaahh je t'en supplie,
encule-moi ahhhh.
- Non pute pas tout de suite, je veux encore m'amuser avec toi
morue".

Me prenant par les cheveux il me fit me relever puis me colla face à un mur, il m'attacha les poignets et les chevilles avec des menottes scellées dans la cloison.
J'étais inquiet ne sachant quel tour démoniaque il allait me jouer, je l'entendais fouiller dans les tiroirs puis il vint à mes côtés et me montrant une cravache me dit "Regarde pute, la ceinture c'était un
hors d’œuvre, avec ça tu vas voir c'est autre chose, je suis sur
que tu vas aimer".
Passant derrière moi, il se mit à me cingler le dos, le fessier et les cuisses, chaque fois que l'instrument de entamait mes chairs je hurlai comme un dément me contorsionnant pour essayer d'échapper à la morsure de la cravache, la douleur me vrillait tout le corps, ma peau éclatait à chaque coup, je sentais le sang couler le long de mes jambes, je ne sais combien de temps dura ce supplice mais à un moment la souffrance fut telle que je perdis connaissance.
Je fut ranimé par un mal encore plus violent, Mahmoud était entrain de mettre du sel sur mes plaies, un hurlement strident pulsa de ma gorge, des larmes jaillirent de mes yeux et je retombai dans les pommes.
Mahmoud me fit revenir à moi à coup de grandes claques, il m'avait détaché et j'étais à terre, j'avais la lèvre inférieure éclatée et ma pommette droite était douloureuse, il me dit "Alors sale pute, tu as
aimé ?
- Je t'en supplie, fait de moi ce que tu veux, mais plus de violence
je t'en prie.
- Bien sur que je vais faire de toi ce que je veux pute, et
absolument tout ce que je veux".
Il me cracha au visage et me dit "Vas-y pédé, avale".
J'obéis et avalai son crachat ce qui me souleva le cœur, éclatant de rire il me dit "Tu préfère quand c'est de la jute. Hein pute ?".
Il me tira par les cheveux jusqu'à un miroir et me dit "Regarde comme
tu es belle pute, regarde ta gueule, c'est beau hein ?"
J'avais le visage tuméfié, ma lèvre était enflé et ma pommette virait au bleu, je voyais sur mon corps les meurtrissures sanguinolentes faites par la cravache, j'avais mal partout.

Mahmoud m'envoyant un coup de pied dans l'estomac me dit "Lève-toi
pute, on va te laver la gueule".
Il me traîna jusqu'aux toilettes, me fit mettre à genoux et plongeant ma tête dans la cuvette il actionna la chasse d'eau, je faillis , me tenant toujours par la chevelure il me releva et me dit "Voilà toute belle la pute après s'être lavée dans son lavabo
personnel. Allez suis moi".
Nous arrivâmes dans la salle de bains où était posé un appareil de lavement, pointant sur index dans cette direction Mahmoud me dit "Je
veux que tu ais le cul propre pour quand je te baiserai pute,
allez vas-y lave toi le et tourne toi que je vois si tu le fais
bien".
Je fus obligé de m'exécuter, ce fut humiliant de la voir assister à mes déjections, il me regardait d'un sourire moqueur, de la merde glissait le long de mes cuisses, Mahmoud me dit "Oh la grande sale,
je savais bien que tu ne lavais pas, pour ça tu mérite une
punition.
- Oh non, je t'en supplie.....
- Ta gueule pute et continue à te récurer le trou".
Quand enfin au bout de trois lavements plus rien ne sortit de mon fondement, mon tortionnaire se leva et s'approcha de moi, j'étais terrorisé, je ne vis pas le coup partir mais une violente gifle m'atteignit, je perdis l'équilibre et tombai dans la baignoire, là Mahmoud prit ma tête et me frotta le visage contre mes excréments, j'avais la figure complètement maculée, mon tourmenteur hurla "Dépêche-toi conasse, mange, mange ta merde et tout, finis tout".
Il me maintenait contre le fond de la baignoire et je fus obligé de lui obéir, je sanglotais tout en mangeant, à chaque fois que j'avais un haut le cœur une claque tombait.
Quand ce fut terminé, Mahmoud m'arrosa d'eau froide et me dit " Sors
de là et sèche toi ordure".
D'une bourrade il me projeta hors de la pièce et je tombai sur le carrelage du couloir, il me prit par une cheville et me tira jusqu'à sa chambre, j'étais sans réaction.
D'un coup de pied dans l'abdomen, il m'ordonna de me lever, une fois que péniblement je me mis debout il me gifla à toute volée, sous l'impact des coups mon autre lèvres éclata et je glissai au sol en pleurant le bras repliés sur ma figure, Mahmoud me demanda "Alors
roulure, qui c'est le maître ?
- C'est toi.
- Toi quoi ?
- C'est toi le maître.
- Bien c'est mieux pute, maintenant tu vas ôter mes chaussures et
mes chaussettes et avec ta jolie petite bouche de pute tu vas me
lécher les pieds".
Je le fis, ses pieds sentaient fort, il devait y avoir au moins une semaine qu'il ne se les était pas lavés, quand il en eut assez, il me repoussa d'un coup de talon puis se leva et se dit à lui-même "Bon
maintenant qu'allons-nous faire à notre petite pute".

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