Trois Filles, Cinq Mecs, Fin
A peine entrée Patricia enlève son manteau. La pute, elle est prête à lemploi. Des bas et jarretelles, et rien dautre, pas de soutien gorge, pas de culotte. Jean-claude la saisit par le bras et la jette sur un matelas :
- Tu en veux encore salope, tu nas pas assez baisé ? Tiens, prends ma queue dans la choune, putain, je vais ten donner de la bite.
- Doucement, calme toi, tu oublies les règles du jeu.
- Mais le jeu est finit depuis que tu es partie. Maintenant on ne joue plus ? Alors ou tu écartes tes cuisses et tu la fermes, ou tu te casses.
- Salaud, tu sais que jai trop envie de vos queues.
- Cest bien, dis moi que tu es une chienne soumise et que je te fais du bien.
- Oui, je suis une chienne soumise et lubrique, cest bon ta grosse trique, défonce moi la chatte.
Il la baise à grands coups de reins, lui balance des obscénités et insultes quelle doit répéter.
Il se retire, elle reste sans bouger, cuisses ouvertes, et attend le prochain client. Jacques laisse sa place à Jean-claude dans la bouche de Guillaume, et sinstalle pour la pilonner à son tour. Il la fourre profond, et elle lencourage avec des mots grossiers :
- Cette queue mon salaud, quest ce que je la sens bien. Enfonce toi jusquaux couilles, prend moi comme une truie en chaleur, fais moi jouir comme une chienne
.
Il la fait venir à deux reprises et se retire. Cest au tour de Manu de se farcir son abricot liquoreux, puis vient mon tour. Elle est épuisée et je laime tendrement.
- Merci mon chéri, tu es gentil. Quest ce quils mont mis ces salauds.
- Tu tattendais à quoi à venir nous voir avec ta tenue de pute.
- Tu as raison, mais je ne me pleins pas, jaurais juste aimé un démarrage plus en douceur.
- Tu as vu le jeune, il sest pris une double anale. Ca te tente ?
- Ah non, sans façon, même pas une double vaginale. Je veux rester étroite pour mieux vous sentir en moi.
- Et une double classique, devant et derrière ?
- Alors là oui sans problème, même une triple avec ma bouche. En fais cest pour ça que je suis revenue.
Je me retire et demande deux volontaires pour la prendre. Jacques se couche sur le dos, elle le chevauche, et son huître gourmande absorbe ses 22 cm. Elle a le cul en lair, offert, à tous les manches de bonne volonté, et on passe tous les quatre dans son tube. Ceux qui ne sont pas entre ses cuisses se font sucer.
Manu se couche prés de Jacques, elle change de monture, et on remet ça. Puis elle nous enfourche, Jean-claude, moi, et même Guillaume qui baise sa première femme. Vu la matraque quil se tient à la fin de la séance, sûr quil a apprécié.
Ses trous sont enfin rassasiés et on va pouvoir se soulager.
Jean-claude qui a eu lidée du final passe le premier. Elle est à genoux devant lui, bouche fermée, yeux ouverts, et tient une assiette sous son menton. Le vieux vicelard se masturbe énergiquement tout prés de son visage et lui crache son sperme à la gueule. Il a encore des giclées bien fournies et lasperge copieusement. Il se recule, nous invite à limiter, et se branle de plus belle pour préparer la deuxième couche.
Guillaume est jaloux, aimerait le même traitement. Jean-claude lui promet que se sera pour une autre fois, et rajoute :
- Mais si tu veux bouffer du foutre tu peux la nettoyer avec ta langue et lui rouler des pelles pour partager ta récolte. Je veux quelle bouffe elle aussi.
- Moi je veux bien, mais si elle
..
- Quelle veuille ou pas on sen fout, on nest plus dans le jeu, cest notre pute obéissante, et elle fait ce quon lui dit.
On lassaisonne tous de nos épaisses décharges, et on lui sert une deuxième ration.
Elle a le visage couvert de nos semences dont les plus grosses coulées se sont déversées dans lassiette. Elle lape la moitié du contenu et laisse lautre à Guillaume. Il nettoie lassiette puis sattaque au visage souillé de notre belle putain.
Il ne reste plus de trace de notre orgie, et on décide de partir, Patricia et moi. Jacques et Manu nous emboîtent le pas, seul Guillaume reste avec Jean-claude pour une soirée de débauche.
Jacques et Manu rentrent chez eux après de chaleureux au revoir.
La nuit commence à tomber, et je nai pas envie de rentrer chez moi. Jespère passer la nuit chez elle, et appellerais mon patron pour prendre le lundi en congé, et rester avec elle. Elle est enchantée de ma proposition, me promet de ne pas en parler à Joëlle, et minvite à la suivre en voiture. On est au parking et on gagne son appartement :
- Jai du mal à marcher, vous mavez cassé le cul. Dommage que Marie ne soit pas là pour me lécher et me soulager.
- Je peux la remplacer, si tu veux.
- Jaimerais bien, mais juste la langue, rien dautre.
- Pas de problème, jai trop baisé pour remettre ça.
On est dans sa chambre, elle a enlevé son manteau et sallonge quasiment nue sur le lit. Elle est moitié à plat ventre, moitié sur le côté, replie la jambe du dessus, écarte ses fesses et attend. Je me déshabille et minstalle, la gueule dans sa raie :
- Oh tu me fais du bien, salaud, cest trop bon. Ta langue est aussi bonne que celle de ma petite copine, on dirait que tu me fous un bonbon à la menthe dans le cul. Lèche la fente chéri, broute moi le fion, fourre moi ta langue dans lanus
..
Je sais que je ne lenculerais pas ensuite, mais je prends quand même un réel plaisir à la satisfaire.
Je la lèche de longues minutes, et elle me propose de me lécher à son tour. Elle na connu que des culs féminins, et aurait aimé quon lui donne nos trous à déguster laprès midi, et autre chose quelle ne veut pas me dire. On inverse les positions, elle me rend la politesse, me doigte pour mouvrir et me pénétrer de son organe musclé.
On va prendre lapéritif, mais avant elle veut faire pipi et prendre une douche.
- Et faire pipi sous la douche, ça te dit ?
- Comment çà ?
- Jai un fantasme que je nai jamais réalisé, me faire pisser dessus par une femme.
- Je crois quon est fait pour sentendre, jai le même fantasme. Je nai pas osé te le dire tout à lheure, mais cest après midi quand vous mavez couvert le visage de sperme jespérais que vous alliez me nettoyer, surtout le vieux vicieux, en murinant dessus.
Elle finit de se dévêtir et on est dans le bac à douche. Je suis à genoux devant elle. Quelques gouttes séchappent de sa fente, puis un petit filet vrillé et tremblant qui méclabousse, et enfin un jet dru qui sécrase sur ma poitrine. Son urine légèrement dorée et faiblement odorante est chaude à souhait, et je me caresse pour létaler sur mon corps. Elle séclaircit, ne sent plus et jai envie de la boire. Jouvre la bouche, me penche pour la recevoir et remonte jusquà sa source. Je navale pas, et son pipi joli sécoule sur mon menton, mon cou, mon torse, et je me lave avec. Elle pose ses mains sur ma tête et me plaque contre elle :
- Tu es trop salaud, cest génial. Tu es aussi pute que moi, je réalise ton fantasme, mais noublie pas quaprès cest à ton tour.
Elle a terminé, et me relâche. Je me relève la bouche remplie, je crache tout sur mon ventre et étale sa liqueur sur ma queue et mes couilles.
Elle est à mes genoux. Mon urine plus foncée et odorante écrase ses pointes de seins. Elle séclaircit, satténue, et à son tour elle me prend en bouche et remonte jusquau robinet dont elle gobe le bout. Je la maintiens contre moi :
- Il va falloir que lon se fasse un vrai plan pisse, salope. Tu es aussi chienne que moi, et je veux que lon soffre des litres et des litres de jus.
A suivre
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