Damien (30) - Mahmoud 2
Il sortit une corde et m'attacha les bras avec les jambes, j'étais totalement
immobilisé au sol, j'attendais complètement apeuré le prochain tourment, il sortit de
la pièce et revint avec une verre à la main, tout en buvant il me regardai songeur,
j'avais l'impression que ma tête avait doublé de volume et tout mon corps me faisait
mal, ayant fini de boire, il prit la corde, c'est là que je vis qu'au plafond il y
avait une poulie, il passa la corde et me souleva, je me retrouvai pendu en l'air tel
un cochon, puis Mahmoud sortit une matraque en caoutchouc et se mit à me frapper
violemment sur tout le corps, je hurlai chaque fois que les coups m'atteignaient, la
douleur était telle que j'avais l'impression que mon corps allait éclater, je ne sais
pendant combien de temps il me frappa mais à un moment je m'évanouis.
Quand je repris mes esprits j'étais de nouveau au sol, détaché et Mahmoud me regardai
essoufflé, tout mon corps était boursouflé, ma peau était éclatée et toute marbrée de
noir.
Mahmoud se leva et se dévêtît, il se posta devant moi et me dit "Allez pute, viens
prendre ton biberon, montre comment tu tètes et applique toi sinon tu dérouilles".
Mahmoud écarta les jambes, son phénoménal pénis dressé réclamait qu'on s'occupe de
lui, je m'agenouillai devant son entrejambe et je me mis à exciter la verge à petits
coups de langue, sous mes attouchements le priape démesuré grandit encore, le prenant
à la base, je me mis à lui faire une lente fellation.
Sous mes titillations, mon mec creusa les reins pour s'offrir plus encore à mes
caresses, au bout de quelques instants de ce traitement Mahmoud gémit, ses reins se
soulevèrent pour venir à ma rencontre, il posa sa main sur ma nuque et rythma le tempo
auquel il voulait être sucé.
Une demi-heure plus tard, je sentis la pine tressauter sur ma langue, mon homme plaqua
mon visage contre son pubis et éjacula en râlant, je bus sa liqueur avec délice, tout
en continuant à flatter sa bite de ma langue.
Quand je me détournai de l'objet de ma dévotion, Mahmoud me dit en souriant "C'est
vrai que tu suces vraiment bien pute".
Me prenant par les cheveux, il me jeta sur le lit, il se coucha sur moi, sa bouche
écrasa ma mienne et il me roula une pelle magistrale qui me laissa pantelant.
Ayant inséré une jambe entre mes cuisses, il me caressait le derrière tout en me
mordillant les tétons, des bouffées de désir affluaient de mon bas-ventre, je ne pus
réfréner un gémissement, mes mains courraient sur son dos je sentais sur mon ventre
son phallus se tendre.
Délaissant ma poitrine, il se leva et écarta mes jambes, sa bouche avide se posa sur
l'intérieur de mes cuisses, il se mit à les embrasser et les lécher glissant un doigt
entre mes fesses titillant ma rosette, ce contact m'électrisa, un râle de bonheur
pulsa de ma gorge.
Mon amant, m'ayant pris à la taille, m'avait relevé et avait glissé un oreiller sous
les reins, il éloigna mes deux lobes charnus et sa langue inquisitrice vint darder ma
corolle, je tendis mon fessier vers lui.
Sous ses coups de langue et ses attouchement experts, mon sphincter s'ouvrit, j'avais
fermé les yeux et savourais le plaisir que mon homme me donnait chaque fois que sa
langue ou un de ses doigt déflorait mon petit trou, j'avais le cul brûlant, tout en
moi réclamait l'intromission de la superbe verge d'ébène qui pointait, je suppliais
mon mec de me prendre, mais sourd à mes supplications, il continuait de m'exciter.
Entre ses mains, je n'étais plus que désir, chaque fois qu'il me touchait, tout mon
corps frémissait, j'avais la raie pleine de salive et mon bassin venait à sa rencontre
pour s'offrir plus encore à la douce qu'il m'affligeait.
Soudain, Mahmoud arrêta et s'étendit sur moi, son priape érigé se glissa entre mes
fesses bouillantes et se posta contre mon anus en fusion, d'un petit coup de reins,
mon homme introduit son gland turgescent, bien que je sois suffisamment ouvert, le
passage de son bout durci fut difficile, je criai quand il écarta mes chairs.
Mon amant s'immobilisa puis se mit à entrer et sortir la fabuleuse tête de son sexe de
manière à m'assouplir la pastille, petit à petit mon canal se détendit, alors à ce
moment mon mec m'enfessa lentement jusqu'à la garde.
L'intromission fut un délice, quand je sentis ses testicules gonflés de liqueur contre
mes fesses, je sus qu'il était en moi entièrement, je nouai mes jambes dans son dos et
mes mains sur sa nuque.
Je sentais en moi, le pénis palpiter, une vague de désir m'envahit, je voulais qu'il
bouge, qu'il me fasse du bien, je lui dis "Vas-y,
défonce-moi".
Prenant appui sur ses avant-bras, Mahmoud commença à me posséder lentement de toute la
longueur de son phallus, le membre puissant sortait presque entièrement de mon tunnel
pour replonger complètement jusqu'à la garde la seconde suivante, mon cul était
vraiment décontracté et la puissante pine coulissait sans aucune gène entre mes reins.
Sous les assauts répétés de mon amant, le plaisir prit totalement possession de mon
être, pour moi seul comptait la hampe qui me forait les reins.
Mon mec avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait avec une
régularité de métronome me faisant atteindre le septième ciel, sous ses coups de bite,
je planais littéralement, la tête rejetée en arrière, j'étais tout à mon plaisir, je
ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose, je ronronnais de
bonheur creusant mes reins chaque fois que la verge tuméfiée se fichait entièrement au
fond de mes entrailles.
J'avais de plus en plus de mal à garder le sens des réalités, les lents va et vient de
Mahmoud me rendait fou, j'avais planté mes ongles dans ses épaules musclées et je
l'enserrais dans l'étau de mes cuisses, mes hanches roulaient en cadence, venant de
plus en plus violemment à la rencontre du phallus qui me bourrait.
A chaque coup de boutoir, je me sentais sombrer, j'avais atteint la plénitude rectale,
tout en moi voulait ce sexe, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler, mon homme se
mit à me fourrer de plus en plus vite, chaque fois qu'il me pinait je faisais un bond
sur le lit, il me cassait le cul avec des "HAN" de bûcheron.
Je ne savais plus depuis de temps il m'enfilait mais je voulais qu'il reste en moi
indéfiniment tant cette bite roide me faisait du bien, soudain me prenant aux
aisselles, il se leva m'amenant avec lui jusque dans la cuisine où il me déposa à
genoux sur la table sans que nos corps ne se détachent, puis debout il se mit à me
pilonner l'arrière-train à grands coups de reins.
Ses coups de boutoir répétés me firent perdre la raison, j'avais atteint le point de
non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon rectum, Mahmoud éjacula en
feulant, ses puissants jets de foutre crémeux m'inondèrent le fondement, un orgasme
déferlant me foudroya, je tendis mon cul vers la bite qui se vidait en moi pour
accen la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je m'affalai sur
la table, je sentis le pénis sortir de mon canal béant.
Quand je repris conscience, je descendis de la table et fis face à mon mec, qui assit
sur une chaise était en train de fumer.
"Ton cul superbement bon ma pute.
S'avançant vers moi Mahmoud me dit "A genoux pute et nettoie ma bite
avec ce qui te sers de langue".
Son sexe à demi flaccide était luisant de foutre, je m'agenouillai devant mon homme et
fis ce qu'il m'avait ordonné, quand j'eus terminé le membre était de nouveau érigé, je
voulus le prendre dans ma bouche mais Mahmoud me repoussa sans ménagement "Non salope
tu ne le suceras
pas maintenant, allez fout toi à quatre pattes au bord du lit".
Je m'exécutai, de l'autre côté du sommier il y avait des menottes avec lesquelles
Mahmoud m'attacha les poignets, j'étais effrayé ne sachant ce que mon tourmenteur
avait imaginé, il passa derrière moi m'écarta les jambes et prenant la corde, les
attacha et fixa les cordes à deux crochets de chaque côtés du mur puis sortit de la
pièce.
Il revint quelques instants plus tard, il n'était pas seul, un homme de taille moyenne
laccompagnait.
Mahmoud me dit "Regarde Brice pute, c'est lui qui va te baiser".
Lhomme portait des habits douteux et exhalait une odeur fétide.
Bien quattaché, jeus un mouvement de recul tandis que Brice ôtait son pantalon,
exhibant un sexe noir de crasse bien dressé.
Je dis à Mahmoud " Non pas ça, je t'en supplie.
- Pourquoi, regarde la belle bite qu'il a pute, ce pauvre Brice n'a
pas baisé depuis longtemps, tu vas bien lui offrir ton cul.
- Non pitié !!!
- Mais si tu vas lui offrir ton petit cul ou plutôt c'est lui qui va
le prendre
- Non !!!
- Comment non pute, tu m'appartiens et je fais de toi ce que je
veux, d'ailleurs tu n'es pas en position de refuser.
- Je ne veux pas, cet homme est sale !!!
- Et alors, oui il est sale mais il va qui va bien te bourrer et tu
vas voir, je suis sur que tu vas aimer pute.
Vas-y Brice, monte cette salope, elle dit non mais elle ne demande
que ça".
Lhomme savança vers moi en souriant et me dit "Tu es belle, quel
joli cul tu as, il y a bien longtemps que je nai pas vu un cul de
princesse pareil, jen ai la bite toute chose".
Brice écarta mes fesses me lécha l'anus, les yeux écarquillés je voyais le sexe
tuméfié s'allonger encore.
Après m'avoir léché quelques instants, Brice se redressa et pissa mon fessier puis il
sagenouilla et posant ses mains sur mon dos et avança, son pénis se glissa entre mes
deux lobes charnus et buta contre ma raie, à ce contact je hurlai, Brice prit son sexe
entre ses mains et le guida vers ma rondelle, après quelques hésitations trouva
l'entrée de mon tunnel, il se mit à rire et par petits coups m'enfessa.
L'intromission de ce membre provoqua en moi un profond dégoût, j'essayais de ruer pour
me soustraire à ce viol, mais ligoté comme je l'étais mes mouvements eurent pour objet
de faire entrer plus encore le phallus en moi.
Brice se mit à bouger et l'immonde priape coulissa dans mon canal abondamment lubrifié
par le sperme de Mahmoud, tout en moi n'était que répulsion et je me mis à sangloter,
je sentais dans mon cou le souffle fétide chaud de Brice et sa respiration saccadée,
Mahmoud excitait lhomme "Vas-y Brice, allez nique bien ta salope, fais-lui
sentir que tu la montes, que tu la couvres".
Je ne sais combien de temps dura cette horreur, je subissais ces assauts en pleurant,
soudain je sentis en moi le membre grossir, les mouvements de lhomme devenaient
désordonnés et je sentis les jets de sperme de Brice fuser en moi.
Lhomme resta enfoncé en moi membrassant la nuque puis le pénis rétrécit et lhomme
s'écarta de moi et se releva.
Il dit à Mahmoud "Merci beaucoup Monsieur, il y a longtemps que je navais pas baisé
une salope comme elle, quel cul, il est génial.
- Je le sais cest une vraie chienne. Hein salope tu n'es même pas
une pute, tu es une chienne".
Il me détacha et me dit "Maintenant que comme une grosse salope tu as
salie la bite de Brice avec ton cul, tu vas la nettoyer avec ta
langue.
- Non, je t'en prie, assez.
- Ta gueule chienne, suce la bite de Brice.
- Non je ne le ferai pas.
- Ah bon, eh bien c'est ce qu'on va voir".
Mahmoud me souleva par les cheveux et m'attacha aux menottes contre le mur, puis il
prit son ceinturon et me dit "Alors tu la suces cette
bite ?
- Non, je t'en prie.....".
Le cuir me cingla les fesses, je hurlai de douleur, Mahmoud me frappait avec le côté
de la boucle, à chaque coup la douleur me vrillait le corps, l'homme me frappait à
toute volée faisant éclater ma peau chaque fois, mon corps était complètement tuméfié,
je pleurai à chaudes larmes sous les coups qui pleuvait.
Je ne sais combien de temps Mahmoud me fouetta mais quand il arrêta j'étais près à
faire n'importe quoi pourvu qu'il arrête, il me demande "Alors cette bite pute ?
- Oui je vais la sucer.
- Oui qui ?
- Oui maître, je vais la sucer.
- Eh bien pute, tu vois avec un peu de bonne volonté".
Il me détacha et je glissai au sol puis je me mis à ramper vers Brice, celui-ci se mit
sur le dos, quand je pris son sexe dans la main il sourit.
Je léchai le membre de Brice, réprimant des haut le cur chaque fois que ma langue
entrait en contact avec le priape, quand le pénis fut propre Mahmoud me dit "Tu vois
ce nétait pas si terrible, maintenant
la bite de Brice est toute propre grâce à ta langue de salope".
Brice se rhabilla et partit tout en me jetant un regard empli de convoitise.
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