Je Me Donne - La Transition 9

Depuis l’épisode de révolte d’Anthony, rien, mais rien n’a changé et tant mieux pour moi.
Ce soir-là, nous avons un couple d’amis pour dîner. Super sympas l’ambiance. Vers 22h00 mon smartphone bip. Je regarde et c’est un message du gardien.
« je t’attends, descends »
« désolé, mais nous avons des amis ce soir »
« et alors, tu rappliques et vite, ce sera rapide »
« mais je ne peux pas, je ne peux pas les abandonner »
« tu en as pour dix minutes c’est tout, arrête de discuter et rapplique tes fesses
Je ne comprends pas, d’habitudes c’est différent. Je décide de descendre, ai-je le choix…
-mes amis, je vais voir une mamie en dessous qui a besoin d’aide, j’en ai pas pour longtemps.
Anthony me regarde drôlement, il ne comprend pas. Je descends à la loge. Le gardien me prend par le bras et referme la porte. Il me fait mettre à genoux et sort son membre déjà bien dur.
-ça fais une demi/heure que je me branle, tu as juste à me finir, ça va être rapide.
Je prends sa queue en bouche et commence à le sucer. Ses mains posées sur ma tête donnent le tempo de la fellation.
-rraaah ouais vas-y suce comme ça…continu, ouaaaiii
La cadence est rapide. Il arrête tout, me relève, me pousse dos sur sa table en bois, relève ma jupe, retire la culotte et me pénètre. Il me prend avec des mouvements rapides, heureusement que j’ai le sexe déjà mouillé. Il retire son membre de mon sexe et je sens son jus gicler sur mes lèvres intimes, il me repénètre trois ou quatre fois et se retire définitivement. Pour finir, il s’essuis la queue dans ma petite culotte que je dois remettre.
-tiens, tu la remets et ne la quitte pas de la soirée, dégage maintenant.
En remontant à l’appartement j’ai l’entrejambe gluant de son jus et toute la soirée a été ainsi, Dès que je bougeais, mon entrejambe me rappelais que je venais d’être prise, enfin plutôt souillée au jus.
Vous allez me dire et Anthony, il devient quoi.

Lui, il continu à se faire prendre par des hommes, enfin des réguliers. Quand il rencontre ces hommes, je le libère de sa cage de chasteté pour qu’il puisse profiter un peu, mais la plus-part du temps sa queue est enfermée, je n’ai même pas le temps de vraiment m’occuper d’elle, mais ça ne semble pas le déranger. Il a moins de besoin que moi.
Le mardi suivant l’épisode précédent, je rentre du bureau et Anthony n’est pas encore rentré. Je suis un peu surprise, mais bon, ça peut arriver. Quand je vois 20h00, je décide de lui téléphoner une première fois. Rien pas de réponse. La deuxième fois, toujours rien, puis je reçois un sms.
« descends dans 5 minutes ».
« je peux pas je cherche Anthony »
« Descends je te dis, je sais où il est, la porte sera déverrouillée, tu entres referme derrière toi et tu me rejoints dans les pièces à vivre »
Je descends et entre comme demandé. Je parcours la loge et pénètre dans les pièces privées. J’entends du bruit, là ou habituellement je suis prise par le gardien. J’entre. Je découvre mon Anthony sur la table en bois nu, le gardien le besognant.
-regarde ton cocu, lui aussi il est à moi, ça ne fait pas longtemps, mais il est à moi.
Je suis surprise de ce que je vois, comment Anthony est-il tombé dans les mains du gardien ?
-tiens, prends ce qu’il y a sur le meuble, tu lui tonds les cheveux et tu finiras à la mousse pendant que je lui ramone la chatte.
-mais, enfin, je…………
-il ne peut pas refuser et il ne refuse pas, alors dépêches toi, c’est un cocu et soumis en plus, alors mois je les tonds à blanc ces lopettes.
Je me sens obligée de faire ce qu’il me demande. Pendant que je tonds et rase son crâne, Anthony subit les assauts du gardien. Il est aussi actif, violent, avec autant de force que lorsqu’il m’utilise. Anthony subit les coups de queue. Le gardien se retire des fesses de mon mari, il le fait mettre à genoux et se fait sucer. Et oui, mon homme subit la même chose que moi, sucer le membre après la sodomie, humiliant, non ? La queue se retire de la bouche et elle déverse son jus sur le visage et le crâne d’Anthony. Elle se fait nettoyer par la langue de mon mari, qui lèche et suce avidement cette queue.
-tient, viens lécher mon jus sur sa tête chauve, en riant.
Je m’exécute et nettoie propre la tête fraichement rasée d’Anthony.
-bon, je suppose que tu as envie de te faire prendre maintenant, approche.
Il passe sa main sous ma robe, écarte ma culotte.
-j’avais raison, elle mouille ta salope de femme, tient je vais te faire un cadeau, tu vas pouvoir prendre ta femme, je veux voir ça.
Je constate que le gardien est en possession de la clé du cadenas de la cage de mon mari. Il libère la queue d’Anthony.
-aller profites, je te libère, et toi reste pas là, occupes toi de sa petite queue.
Bah oui, sa petite queue, elle ne remplacera jamais la sienne, il provoque et se moque. Sous mes doigts, Anthony bande, il descend de la table, s’allonge sur le sol. Je me place au-dessus de son membre et le fait entrer en moi. Ainsi je m’active, mais évidemment elle ne me comble pas l’intimité. En moins de 5 minutes, il se vide en moi.
-ah, c’est comme ça que tu honores ta femme, la pauvre, je comprends qu’elle cherche des queues et des vraies. Nettoie ton jus dans sa chatte, après je te ferais voir comment faire.
Anthony de sa langue lèche son jus, me nettoie au plus profond de mon intimité. Le gardien le pousse sur le côté. Il me prend par le bras, me lève, me plaque visage contre sa table et son membre me prend l’intimité. Là j’ai une bonne queue en moi, surtout celle-là. Anthony contourne la table et vient me prendre la main. Je suis labourée par cette queue qui dilate mon intimité.
-demande à ta femme si c’est bon.
Anthony obéit.
-c’est bon ma chérie ?
-oooh oui, que c’est booonn.
-continus à interroger ta femme.
-il te baise bien ?
-ouiiii,
-ma queue est plus grosse que ton cocu ?
-huuuum oh oui, elle plus grosse, elle est meilleure…
-c’est pas difficile, vu que la sienne est petite.
-ah ah, oui il a une petite queue, j…. je préfère les grosses comme toi, oui encore, encore.
-tu aimes te faire ramoner la chatte ?
-ouuuiiiii avec ta queue, hhuuummmmm, ooohh , j’adoreeeee………
Mon mari ne dit plus rien, il est là, il regarde et écoute, me tient la main.
-si tu veux le cocu, tu peux te branler, sauf si tu n’es pas capable de rebander.
-oui chéri, ah ah ah, vas-y, fait ……ce qu’il dit.
Anthony prend en main sa petite queue qui finalement reprend vigueur.
-mon amour, je veux que tu jouisses en même temps que moi, vas-pas trop vite.
Le gardien me prend profondément, sa queue me prend toute mon intimité, le plaisir est là, bien présent, il monte coup après coup, chaque passage de ce membre augmente mon plaisir.
-ah, ah t’arrête… pas, encoreeeee, …..je veux ton jus.
-tu veux te faire remplir, bien remplir.
-ouiiiiii je veux ta semence en moiiiiiiiiiii.
-tiens prends ça alors.
Le gardien augmente sa cadence en moi, je vais craquer, je ne vais pas tarder à jouir, je vais pas tenir. Je sens le membre se raidir.
-ouiiii donne ton jus, encoreee, ooohh ouiiii, ennncoorree, pluusss ouuiiiii, toi chéri jouis, … vas-y, aaaaaaaaaaaaahhhhhhh.
Je parts dans un sacré plaisir, encore une fois. Avec ce membre ça ne peut pas être autrement. Anthony, lui aussi se libère de son jus, mais la quantité est bien moindre, son jus est liquide et transparent, alors que le gardien, lui, donne un jus bien blanc, parfois épais, voir très épais. J’adore.
Le membre reste planté dans mon sexe, sans bouger.
-toi le cocu, remets ta queue en cage.
Pendant que chérie renferme son membre, le gardien reprend quelques mouvements en moi. Malgré ma grande jouissance précédente, je ne suis pas insensible aux nouveaux mouvements du membre. Le plaisir est retombé, mais les sensations sont bonnes. Il glisse aisément en moi, moi qui suis pleine de son sperme.
-c’est juste pour bien me vider, jusqu’à la dernière goutte.
Il sort finalement son membre, laissant mon intimité béante.
-aller suce moi pour nettoyer.
Je me mets à genoux et gobe son membre. Je suce sa queue pleine de son jus et de ma mouille.
-bon, c’est bon, vous pouvez rentrer, je n’ai plus besoin de vous pour le moment.
A l’appartement, Anthony et moi avons échangés sur ce moment. Comme d’habitude, Anthony ne pouvant me donner ce que j’ai besoin, abdique et accepte que je sois devenue la chose du gardien. Il est conscient que pour lui, les choses risques de devenir identique. Nous ne savons pas ce que le gardien va faire.