Patricia, Enfin Un Plan Pisse Avec Elle.
Encore deux verres, et on va pouvoir passer au plan pisse.
On va à la chambre où elle enfile une jolie culotte transparente. On va à la cuisine. Elle est spacieuse, jai poussé la table et les chaises, et ai installé la petite piscine gonflable, vide bien sûr, avec la bâche en dessous. On enjambe le rebord, elle est debout jambes serrées, moi accroupi devant elle la tenant par les hanches.
- Pisse salope, pisse. Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps jespère cet instant.
Pisse, dépêches toi.
Elle ouvre doucement les vannes, pisse quelques secondes et stoppe. (il faut quon pisse très souvent et très peu pour faire durer le plaisir.) Je suis émerveillé.
- Ohhhh ! Cest beau. Cest magnifique ta culotte qui semplit durine. Génial.
Puis je plaque ma gueule sur son slip et my frotte faisant dégouliner son liquide sur ses cuisses. Je me dégage, elle reremplit sa culotte, écarte les jambes. Je me place sous elle, elle écarte le tissu entre ses cuisses dun coup sec, et je reçois sa flaque sur la gueule, chaude et odorante. Jenlève sa culotte, la trempe au sol, la tiens au dessus de mon visage penché en arrière, et la fais descendre entièrement dans ma bouche. Je la mâche pour savourer et la retire. Jen ai plein la bouche et je crache tout sur les seins.
- Salope, elle pue ta pisse, et jaime ça. A ton tour maintenant, tu vas faire tout ce que jai fait.
Jenfile sa culotte, à elle de jouer. Elle répète tout à la perfection et je lui roule une longue pelle pour la féliciter.
Je me remets à genoux devant elle, elle est nue, je prends son jet doré direct dans la bouche et le remonte jusquà sa source. Elle stoppe net. Je reste un instant collé à elle dans la chaleur de son con, puis me retire et crache tout sur sa chatte. Salope.
Cest à son tour. Ma queue grosse et molle trempe dans sa bouche pleine de ma liqueur, tandis quelle me pelote les valseuses. Elles pendent très bas tellement mes bourses gonflées sont devenues flasques après avoir déchargé généreusement, deux fois, dans son cul de chienne salace.
- Elles te plaisent mes couilles, bouge pas je vais te faire les bouffer.
Il y a quelques ustensiles dans la piscine et je prends un verre large. Je réalise quon na pas bu et je nous sers un grand verre. Il faut quon boive encore au fur et à mesure que lon se vide.
Je reprends le large verre et pisse dedans. Elle est assise penchée en arrière, bouche ouverte. Je suis au dessus delle, trempe mes joyeuses dans le verre puis dans sa bouche, le verre, la bouche, un bon nombre de fois. Puis je vide le verre dans sa bouche, y plonge mes couilles et la maintiens contre moi, ne me retirant quau dernier moment pour lui éviter davaler.
On va maintenant se pisser dans le cul. Elle est penchée en avant le plug dans lanus. Je lenlève et la fouille avec une cuillère pour récupérer mon foutre et lui faire bouffer. Ce serait dommage de gaspiller. Puis je la masturbe pour bien louvrir et pouvoir enfouir ma bite souple. On na finalement pas beaucoup pisser jusquà présent, et là jai vraiment besoin de me soulager. Je me soulage entre ses reins et elle manifeste son plaisir. Son trou est plein, çà déborde et mon urine se renouvelle en elle. Je me retire, et elle pisse par le cul pour le vider.
- Ahhhh ! Ca va mieux. Cette envie que javais. Salope tu nes pas quun vide couilles, tu es une décharge.
Je me force à boire deux grands verres deau, et elle va pouvoir se soulager à son tour.
Je me mets à quatre pattes et lui autorise un doigt, mais surtout sa langue pour mouvrir légèrement lillet et y fourrer lembout dun entonnoir. Cest fait et je sens son urine bien chaude se répandre en moi. Cest bon. Son jet est si puissant que le trop plein ne peux remonter dans lentonnoir et sécoule sur mes cuisses. Elle se retire, se met à genoux bouche ouverte pour que jy vide mon cul plein de son urine. Elle boit aussi deux verres deau.
On est prêt pour le 69 de pisse, sauf que je bande. Nos scènes de lavement mont trop excité, et il faut que je la farcisse à nouveau.
- Tournes toi salope, donnes moi ta bouche. Dépêches toi traînée, je vais jouir.
Elle me prend en bouche et me suce.
- Ohhhh ! Ouihhh ! Tu es bonne salope, pute gourmande. Cest bon de se faire pomper par une enculée, et de savoir que je nai pas à faire gaffe, à me retenir, sauf pour prolonger mon plaisir. Je peux jouir quand je veux, sans te prévenir, gicler, éjaculer, décharger, vidanger, me soulager, vider mes couilles, balancer la purée, me dégorger le poireau. Je sais que la putain que tu es ne va pas sen émouvoir, bien au contraire. Tu ne demande que çà, bouffer du sperme, avaler du foutre, engloutir de la semence de mecs, encore et encore, jusquà plus soif et au-delà. SALOPE !
Je jouis sans retenue, elle gobe tout et me nettoie.
Jai envie de pisser et elle aussi.
On se couche en 69 sur le fonds de la piscine tout couvert de nos urines. On est couchés sur le côté, jambes repliées, la gueule entre les cuisses de lautre, et on y contient juste.
Il nous reste prés de deux litres à éliminer, mais mécaniquement ça ne se fait pas tout seul. Par moment on a très envie, mal au ventre et ça ne vient pas. Puis cest la libération.
On reste ainsi plus dune heure à pisser lun sur lautre, lun dans lautre, en alternance avec fellation et cunnilingus. Si nos premiers jets étaient foncés et odorants, leur couleur et senteur satténuent peu à peu, et on échange une urine claire, légèrement colorée, délicatement parfumée. On se boirait presque.
On se relève, et on se roule dinterminable pelles goulues le temps que nos corps ségouttent.
Puis on enfile des tongs pour aller prendre une douche.
On se lave réciproquement, très intimement et elle en profite pour me masturber.
- Baise- moi
- Désolé mais je nen peux plus.
- Jai la chatte en feu, tu ne vas pas me laisser comme çà.
- Je te jure, je suis crevé. Je tai quand même prise trois fois !
- Oui mais toujours dans le cul, à part une petite visite devant.
- Cest vrai mais trois fois cest le maximum
- Viens dans la chambre, et laisse moi faire. Tu vas battre ton record.
Je suis sur le dos, elle me branle pour me faire raidir un peu, puis menfourche, glisse ma queue dans sa fente, et me monte, me chevauche sans ménagement.
- Alors mon salaud, ça te plait de prendre les femmes de force. Tu vas voir ce que ça fait. Tu vas demander grâce mais je vais te baiser à fonds, jusquà sentir ton foutre dans mon ventre. Jouis, salaud, jouis, inonde moi, éteins mon feu salopard. Tu es pédé ou quoi ?
Elle multiplie les injures, et je comprends quelle cherche à ménerver pour se faire prendre sauvagement. Elle a gagné. On bascule et je suis sur elle. Je léclate, la défonce, la burine, la matraque, la pilonne sans écouter ma fatigue réelle. Elle va me payer certaines de ses insultes, salope. Pour le coup cest elle qui demande grâce, mais je men fous. Je la baise sans relâche et finis par jouir alors quelle hurle de plaisir. Je lui donne ma queue à sucer, ramasse son string et lui enfonce dans la chatte.
- Rhabille toi, sans toucher à ton huître. Je veux que tu gardes mon sperme en toi, en souvenir du pédé.
Il nous reste encore tout laprès midi, et jai peur de ne pas être à la hauteur.
A suivre
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