Preparatifs Pour Un Plan Pisse
Elle nous sert un apéritif et on se fait un scénario pour un futur plan pisse. Je lui détaille mes fantasmes, elle les siens. On est aussi vicieux lun que lautre et on espère cette séance avec impatience. Il ne faut pas perdre de temps et on programme ça pour demain, après que jai fait quelques achats nécessaires.
On passe ensuite à table, on parle un peu de nous pour mieux se connaître, puis elle se plaît à me parler de Marie, et moi de Joëlle. Bien quon soit libre on a un peu limpression de les tromper, mais en même temps on ne regrette pas.
On se couche enfin, dans le noir. On se remémore notre incroyable après-midi.
- Je naurais jamais cru connaître des heures de baises pareilles. Je ne me savais pas aussi salope, mais il faut dire quavec vos grosses queues vous mavez faite disjoncter. Mais elles tont plu aussi leurs bites ! Je ne pensais pas que tu aimais les hommes.
- Tu aimes bien les filles.
- Ce nest pas un reproche, tu es bi, comme moi et cest très bien. Cest juste que ça ma fait drôle de vous voir baiser entre mecs.
- On avait promis à Guillaume de soccuper de lui autant que de vous, et puis ça a dérapé. Je métais promis de ne plus sucer, mais jai craqué. Cest trop bon.
- Tu suces à fonds ?
- Non jamais, et je ne me fais pas sodomiser.
- Cest dommage, tu perds le meilleur. Demande à Guillaume.
- Ca marrive de bouffer du sperme, le mien, et jaime bien. Pour ce qui est de la sodomie, je crois que jaimerais me faire prendre par une femme avec un gode très étroit, pas les monuments avec lesquels vous vous êtes défoulées sur ces deux pédés.
- Et quand ils nous ont prises et quon sest assises ensuite au dessus de leur bouche ! Je mouille comme une chienne rien que de repenser à tout çà.
Je bande moi aussi et jaimerai que lon rallume pour la regarder se masturber. Elle veut bien à condition que je me branle aussi, et que je lèche mes giclées.
Elle se caresse, se masse, se tripote sans retenue. Elle se fouille profond, se le clito, se gifle la vulve, se suce les doigts.
Je crache sur mon gland, dans ma main, pour faciliter le coulissage, et je me masturbe sans concession. Je bouge pour quelle me voie de face, mais aussi des deux profils. Je lâche de temps en temps ma queue pour quelle apprécie la trique béton que je me tiens. Non seulement on se mate, mais on entend nos bruits dus à sa mouille abondante et à ma salive.
Cest aussi bruyant que dans les baises les plus chaudes. On sencourage, on sinsulte, et je sens enfin ma sève monter, alors quelle a déjà eu plusieurs orgasmes.
Je mapproche delle, elle dégage son bras de dessus, et je me soulage sur son corps, ses seins, son ventre. Je récupère la dernière goutte dun doigt, et létale sur son bouton. On va à la salle de bain, elle se regarde devant la glace et veut que je la nettoie. Je lèche mon sperme et lavale :
- Cest bon de voir des mecs aussi salauds que toi. Ca me réconforte, je sais que je ne suis pas unique. Vas-y, bouffe tout comme une pute, lave moi de tes souillures, ensuite tu auras droit à mon huître pleine.
Je déguste ma semence puis fourre mon visage dans sa moule. Elle dégouline jusquà mi cuisses et je me vautre la gueule dans son jus. Je la nettoie, on se fait une petite toilette, et on se recouche. On est fatigué et on dort jusquau matin. On se lève et je vais faire des achats pour notre plan : des bouteilles deau, une bâche plastique, une petite piscine gonflable.
Je reviens et elle mattend à poil avec un plug dans le cul. Sa chatte est trempée, elle sest branlée cette salope :
- Des putes, salopes, vicieuses et perverses comme toi nexistent pas.
Je nai jamais fait de plan pisse sauf en rêve.
Jai alors compris que la solution à un plan pisse était de beaucoup boire, mais pour un mec de ne pas bander. Le temps de boire, 2 ou 3 litres deau chacun, et davoir envie de pisser, il faut compter une heure minimum. Alors plutôt que me taper une queue seul, autant faire la vidange dans ses vides couilles assoiffés.
- Ok, tu es un salaud comme je les aime
- Et toi une grosse truie. Fous toi à quatre pattes salope, et avance à la salle à manger.
Elle se met dans la position et je lui mets quelques tapes sur la croupe :
- Tu es une bonne chienne obéissante, on va bien samuser tous les deux. Avance pute.
Je la laisse passer devant moi pour la mater. Je trique comme un âne à la reluquer. Elle se déhanche comme une tapineuse, son plug dans le cul, et sa chatte qui laisse deviner par moments un peu de sa fente rose vif. Jai le manche à la verticale.
On arrive à la salle à manger. Jai mis des bouteilles deau et deux bières sur la table, et ai rapproché la table basse du salon pour linviter à sy mettre dessus, toujours à quatre pattes.
Je lui propose une bière mais elle préfère leau. Je lui sers un grand verre, et prends une bière. Je suis à genoux derrière elle, décapsule la bouteille, la secoue en fermant le goulot avec le pousse, puis lui fourre à moitié dans la chatte. Je la retire et pose mes lèvres sur les tiennes pour boire ce qui sest déversé entre ses cuisses. Puis je la gode avec cette petite bouteille et me délecte de boire au goulot. Elle nen a pas voulu, je lui sers un autre grand verre et recommence avec lautre bière. Je lui sers un troisième verre, ainsi quà moi ; on en est à près dun litre, loin du compte.
Je me relève et ai une envie irrésistible de son cul.
- Oh putain que tu es bonne, salope. Cest le meilleur cul que je me sois jamais farci. Tu es une sacrée enculée, bonne à prendre des bites à longueur de journée. Salope, vicieuse, tu es trop bonne, tes quune chienne en chaleur, un vide couilles, un sac à foutre. Je suis trop excité pour me retenir plus longtemps et je jouis, de longues décharges épaisses qui nen finissent plus.
- ah que cest bon, que cest bon de remplir ton cul de putain de salope de chienne vicieuse en chaleur. Je tencule salope, je tencule, je tencule.
Je reste en elle, après les derniers soubresauts de ma trique et nous ressert un verre à boire.
Puis je me retire, lui dis de ne pas bouger, et vient lui offrir ma queue à nettoyer.
- Hummm, cest bon çà madame. Oh oui cest de la bonne salope qui aime les queues parfumées à son trou à merde. Bouffes salope, régales toi.
Je me retire, encore en érection, prend un saladier et le place entre ses cuisses. Elle se met accroupie au dessus, et déverse mon mélange de sperme et de salive. Elle force sur son illet pour bien vider son puis anal, puis fourre ses doigts dedans, secoues son anus pour laisser sécouler les dernières gouttes, et lèche ses doigts.
Elle se remet à quatre pattes, je place le saladier devant elle. Je la prends en levrette et me sens tout petit tellement elle est ouverte et mouillée. Salope, je nose imaginer ce quelle doit pouvoir prendre dans sa putain de choune. Je latt par les cheveux, les tirent en arrière, et plonge sa gueule dégagée au fonds de la gamelle
- Bois chienne, bois mon foutre, avale ma semence, gobe ma sauce pute, tu aimes çà catin, tu es vraiment une pompe à sperme, un tire jus, une ordure. Applique toi à tout engloutir, à tout lécher, je veux que ce récipient soit propre comme au début.
Quand elle relève la tête tout est nickel, et je me retire pour lui donner ma queue toute encrémée de sa mouille à sucer en récompense.
Un autre grand verre, et on repars à la chambre, elle à quatre patte devant moi.
Jai une envie folle de bouffer son huître. Arrivé sur son lit, elle sallonge cuisses relevées et ouvertes, et je me vautre dans leur creux.
Sa moule sent délicieusement bon et je me délecte de ce merveilleux nectar. Je la broute comme un affamé et elle nen finit pas denchaîner tes orgasmes. La même scène se répète sans cesse : Elle frémit, vibre, tremble, ses muscles se raidissent, ses reins se soulèvent pour mieux soffrir et son plaisir explose. Son petit volcan entre en éruption et sa lave sécoule dans ma bouche, mon vide choune, abondante, brûlante, succulente, généreuse, onctueuse, savoureuse, délicieuse. Que du bonheur.
Je me tiens une trique denfer et on repart à la salle à manger. Elle est toujours devant moi à quatre pattes, je ne me lasse de ce spectacle.
On reboit un verre, et je la sodomise violemment sur la petite table. Elle hurle de plaisir. Jaccentue mes coups de bélier, la pilonne, la matraque jusquà épuisement, jusquà jouir. Je me vide en elle en un long filet qui nen finit plus, et jinonde son petit trou à bites.
Je me retire et plante son plug entre ses fesses pour quelle garde mon offrande en elle. Je lui donne mon manche à couilles à nettoyer.
Encore deux verres, et on va pouvoir passer au plan pisse
A suivre
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