Sophie Trouve Du Travail 1er Partie
J ai 20 ans, un physique assez quelconque. Je viens enfin de trouver une place de femme de chambre, merveilleusement bien payée, ainsi que nourrie et logée, dans un superbe manoir, à 600 km de ma ville natale. J ai trouvé cette place grâce à un site d offres d emploi sur le Net. Je quitte Lorient sans regret, mon mari m a quitté, il y a 3 mois.
Le trajet en train me prend une bonne partie de la journée et j arrive enfin à destination vers 16h00, une voiture avec chauffeur m attend, le manoir est très retiré, le trajet est interminable sur des petites routes sinueuses.
Sitôt arrivée, je suis invitée à rejoindre ma chambre dans une mansarde assez coquette. Je me prépare pour être reçue par le maître de maison. Une autre femme de chambre vient me chercher et me conduit dans le bureau du propriétaire des lieux.
Intimidée, j attends devant la porte close, quand une voix glaciale me convit à entrer. L homme la cinquantaine, un embonpoint certain, le crâne chauve et le cigare à la bouche m invite à m asseoir, je suis terriblement intimidée, seule le tic tac de la pendule sur la cheminée résonne dans la pièce. Rapidement, il me pose les questions usuelles Le contrat signé, mon nouveau patron me signifie que l'entretien est terminé et que je peux dès à présent m enquérir du travail à effec. L homme ne me quitte pas du regard, quelque chose d infiniment déplaisant me fait frissonner, rien qu à le regarder.
Par souci de sécurité, il réclame mes papiers d'identité et autres documents afin de les placer dans son coffre personnel, sa demande me surprend, néanmoins, je fais ce qu il me demande et tous mes papiers personnels disparaissent dans son coffre.
- Une dernière précision, Sophie ! Quand vous vous adresserez à moi, je tiens à ce que vous m appeliez Maître, c est bien entendu ?
Une nouvelle fois, je suis étonnée mais acquiesce cependant et murmure doucement :
- Oui Maître !
Je rejoins immédiatement le reste du personnel qui m indique le travail qui m incombera, la soirée est déjà bien avancée, j avale un sandwich et je file dans ma chambre me coucher afin d être en forme dès le lendemain matin, aux aurores.
C est seulement en voulant m enfermer à clé, que je constate qu il n y a aucune serrure et donc l impossibilité de condamner ma porte. Je décide d en parler dès demain matin, mais pour le moment, je suis si fatiguée que je me déshabille, et me couche sans attendre.
Epuisée le sommeil ne tarde pas et je plonge dans mes rêves.
J ai froid, c'est l'absence de ma couette sur mon corps dénudé qui me sort de ma léthargie, dans un demi sommeil, je la cherche d une main. Puis brutalement mes sens en éveil, je me rends compte d une présence dans ma chambre, mes yeux s habituent à l'obscurité et j aperçois la silhouette grassouillette ainsi que l odeur âcre du cigare. Je tente immédiatement de cacher ma nudité, moi qui dors nue depuis toujours. Mais l homme s avance et je vois avec effroi qu il est nu et tient son sexe dans sa main, je suis tétanisée et n arrive pas à faire le moindre geste, pas un son ne franchit mes lèvres. Les nuages qui cachaient la clarté de la lune disparaissent et l homme apparaît devant moi très nettement. Son sexe est énorme, luisant, il s avance près de moi, enfin je réagis et tente de m enfuir. Trop tard, il me tient solidement les mains, je chute du lit, il s empare de mes longs cheveux et tire comme un fou, me scandant de lui prendre sa bi.. dans ma bouche, je refuse mais la douleur est intolérable, son sexe me frôle le visage, je sens une forte odeur qui m écoeure, il me fait trop mal Je me résous enfin à le prendre dans ma bouche, un grognement de satisfaction se fait entendre, sa queue envahit ma bouche, il me dit :
- Tu vas savoir pour quoi le salaire est si bon.. Tu seras à moi à chaque fois que l envie me prendra, à ma complète disposition, suce la queue de ton maître, suce moi bien, petite pu.. !
Des larmes coulent sur mes joues et je continue de sucer mon bourreau, sa main a fini d arracher mes cheveux, il s emploie maintenant à avancer ma tête sur son sexe à son rythme, je suis dégoûtée et je n ai qu une envie, qu il finisse vite, ce qui ne tarde pas, le voici qui frissonne et qui se vide longuement par saccades dans ma bouche, un haut de coeur me submerge vu la quantité de sperme qu il a éjaculé.
- Alors as-tu apprécié mon nectar ?
La bouche salie de son foutre, je ne réponds pas, mes pleurs l'exaspèrent et une gifle me fige
-Réponds moi quand je te parle.. Je t écoute !
-Ouii
-Oui, qui ?
-Oui, Maître !
-Bien . Je sens que nous allons bien nous amuser, tous les deux !
L homme quitte ma chambre et je m écroule sur la moquette, anéantie, je voudrais m enfuir à la minute, mais pour aller où ? Pas d'argent, pas de papier, pas de famille et je ne connais personne ici. De plus, le patelin est éloigné de tout. Désespérée, mes larmes redoublent.
Le réveil sonne, il est 5h00, je me suis endormie sur le tapis. De nouveau, je pense à la scène de cette nuit, je file dans la minuscule salle de bains rattachée à ma chambre. L eau de la douche me fait un bien fou, encore humide, je vais chercher ma tenue dans le placard.
Affolée, je vois que mon patron est là, ses vêtements posés sur une chaise, il est nu, son ventre flasque et gras contraste avec son sexe épais et dur. Aussitôt, il me bloque le passage, m att fermement les mains et me bascule sur le lit, je hurle.. Lui s amuse !
- Vas y crie, personne, ne viendra ! Ici chacun tient trop à sa place .. Fais moi voir ton gros cul !
La tête dans la couette, il me caresse les fesses de sa main libre, il introduit son doigt dans mon petit trou si serré, puis l enlève, je sens qu il crache de la salive, je comprends son désir, je me débats, mais en vain, l homme est fort, son sexe se présente à l entrée de mon anus et il force le passage, je hurle, sa queue si grosse me déchire
- " ça te plait, ma grosse queue dans ton cul, réponds ?
Il continue à avancer dans mon anus, il m encule au plus profond de mes entrailles, je subis cette sodomie avec dégoût et souffrance, des claques cinglent sur mes fesses
- Réponds moi, quand je te parle, petite pu..
Je crie :
- Oui, Maître
- Je veux entendre, oui Maître, j aime que vous baisiez mon gros cul !
L homme me défonce comme un malade, mais il veut aussi m avilir, je n en peux plus, je suis prête à tout pour qu il s arrête, alors je hurle
- Oui Maître, j aime que vous m enculiez avec votre grosse queue !
Le Maître est satisfait, il accélère la cadence et enfin se crispe sur moi et me remplie le cul de sa semence.
- Ne soyez pas en retard, j aime la ponctualité dans le travail ! Compris ?
Le cul douloureux, les fesses toujours dans une posture indécente, je chuchote
- Oui Maître
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