Ma Renconte Amoureuse

Ma rencontre Amoureuse

Je suis Christine, 20 ans plutôt mignonne, toutes mes copines ont un chéri, mais pas moi ! Alors je suis allée à la recherche de mon cher et tendre sur Internet.

Toutes les histoires d’amour ont pour début la rencontre entre les deux tourtereaux. Celle-ci s’est déroulée par un bel après-midi d’été. Patrick, que je connaissais un peu en discutant sur le net où il avait mis sa photo, celui-ci m’a contacté pour que l’on se voit.

Vu que je n’avais rien à faire, j’ai accepté sans problème. Je ne me souvenais pas très bien de lui car j’avais plusieurs contacts, et les seuls souvenirs sur le net que j’avais n’étaient pas très positifs. Mais je recherche un mari alors Bref, je voulais tenter ma chance.

Nous nous sommes donc donnés rendez-vous à Paris à la gare Saint-Lazare à coté du monument aux morts. Quand je suis arrivée par le grand escalier, je ne l’avais même pas remarqué. Je suis immédiatement rentrée à l’intérieur de la gare. Et à peine rentrée, qu’il m’appelait sur son portable pour me dire que je venais de passer devant lui.

Bref, je sors et je le vois assis sur les marches, habillé d’une manière si ridicule qu’il était normal de ne pas l’avoir vu. Sur ses cheveux une casquette. Il portait une chemise noire avec de gros logos très ringards et un jean foncé et déchiré. Il avait en plus d’énormes lunettes rondes.

Je lui fais quand même remarquer que notre rendez-vous était aux monument aux morts et pas sur les marches de la gare.

Etant assez gentille, je lui laisse sa chance. Après tout, ce n’est que pour aller prendre un premier verre. Nous nous installons à une terrasse. Nous discutons un peu. Rien de très intéressant :

Que fais-tu dans la vie ? Quelles sont tes passions ? Tout le bla-bla habituel.

Il m’apprend qu’il a entamé des études mais que faute de motivation, il a arrêté bien vite. Moi, je me souvenais qu’il étudiait l’informatique, visiblement, ça ne lui avait pas plu.

Bref, pour l’instant, il ne faisait rien. Il était du genre à se lever à midi et puis, à glander toute la journée avec un copain de son genre et à attendre à la sortie des écoles pour draguer les petites jeunettes.

Il faut savoir qu’à cette époque, j’étais encore bien jeune et j’étais moi-même encore dans l’enseignement secondaire.

La journée passe et finalement, je rentre chez moi. Cinq minutes après l’avoir quitté, je reçois sur mon portable un message disant : Tu me plais. Quand est-ce qu’on se revoit ? Alors ! On sort ensemble ?"

Ce n’était pas du tout le genre de message que j’aurais voulu recevoir mais bon ! Je n’ai pas répondu et je suis rentrée chez moi.

Puisque je n’avais pas répondu, il m’a renvoyé un 2ème message en demandant quelle était la réponse.

J’ai donc répondu que je ne savais pas du tout et que je devais réfléchir. Bref, un 3ème message a suivi me demandant quand est-ce qu’il aurait la réponse et me disant qu’il ne pouvait pas attendre.

Alors ! Je fus donc prise d’une pitié incroyable et j’ai répondu : ma réponse est oui.

Comme dans toute relation, les débuts sont toujours tout rose. Patrick avait l’habitude de passer me voir avec son copain l’inséparable tous les jours après l’école. On passait les mercredis après-midi ensemble à se balader. J’avais droit à pleins de petits messages du lever au coucher. Ça semblait être un rêve.

Après quelques mois, j’avais déjà remarqué quelques petits soucis. L’excès de messages et de coups de fil semblaient plutôt une manière de vouloir contrôler et savoir tout ce que je faisais à n’importe quel moment.

De plus, ayant l’habitude de le voir chaque jour, j’ai pu constater que ses vêtements ne changeaient pas. Il portait toujours la même chose chaque jour de la semaine. Alors moi qui, moi étant une maniaque de la propreté, je trouvais déjà assez dégueulasse. Il devait laisser ses chaussettes dans ses chaussures, car ils n’étaient pas très net, je devais me taper toujours les mêmes vêtements puants.

Le temps passe et notre relation est toujours au beau fixe. Cela fait presque deux mois que nous sommes ensemble. Patrick décide de me présenter sa meilleure amie, Marie. Nous avions prévu d’aller au cinéma.

Cependant, nous nous sommes rendus compte que l’endroit n’était pas propice pour faire connaissance. Nous sommes donc allés au billard. Marie et moi avons beaucoup discuté. Je l’ai trouvé tout de suite, très sympa.

Après quelques parties, le téléphone de Patrick s’est mis à sonner. Patrick a fait mine de rien en me disant que c’était sa mère et qu’elle s’inquiétait de savoir où il était mais qu’il lui enverrait un message après la partie. Puis, son téléphone a encore sonné, sonné, et sonné sans arrêt.

C’est là que j’ai vu la tête de sa copine Marie se décomposer. J’ai demandé ce qu’il se passait. Patrick a toujours fait semblant de rien. Quand tout à coup, le téléphone s’est remis à sonner. J’ai exigé d’avoir la réponse afin de savoir ce qu’il se passait. J’ai décroché à sa place ! C’était une fille. Il s’agit d’un scénario tout ce qu’il y a de plus classique.

Qui est-ce ?
Et toi, qui es-tu ?
Sa copine.
Ah non, c’est moi sa copine.

Après avoir essayé de tirer les vers du nez de Patrick, j’ai appris qu’il avait eu une autre petite amie avant moi et qu’il ne l’avait pas encore quittée. J’ai donc appelé cette fille.

Nous avons discuté. Entre temps, Patrick ne cessait d’essayer de m’appeler pour savoir si je voulais encore de lui. J’avais envie de le quitter et de passer à autre chose. Cependant, pour se racheter, il m’a fait une grosse déclaration d’amour. Et là, j’ai été piégée. Je n’ai rien arrêté.

Pendant la première année ensemble, il ne s’est rien passé de très spécial. Patrick et moi étions juste un jeune couple heureux de vivre. Les problèmes étant oubliés par mon aveuglement et mon jeune âge, nous vivions pleinement notre vie de couple.

La première année est souvent une année de découverte. On a les premiers émois, les premiers baisers, les premiers rendez-vous, surprises les premiers dodos avec beaucoup de câlins ensemble, les premiers restos, les premières escapades à deux ! Il y a tellement de choses à faire qu’on oublie même de se disputer. On zappe totalement les petits et les gros défauts.

Selon moi, cette première année en couple a été l’année de l’émerveillement. C’était la plus belle à vivre. On était totalement dans un cocon bien chaud. Les suivantes sont devenues plus des habitudes. Je ne pense pas que ça soit toujours le cas, bien sûr.

Et puis, on en arrive même à excuser les erreurs du passé, les erreurs du présent et celles qui se produiront dans le futur.

La famille de Patrick est très penchée famille et traditions. On ne perd jamais l’occasion de fêter tout et n’importe quoi par un dîner gastronomique interminable : Noël, anniversaires, Pâques, Toussaint, enfin, toutes les fêtes ont droit à leur petit dîner.

La particularité de ses dîners, c’est que tu sais quand ils débutent, mais tu ne sais jamais quand ils vont se terminer. En général, c’est rendez-vous à 19 heure pour l’apéritif. Vers 21h, on commence seulement à manger l’entrée. Le plat principal arrive vers 23h - minuit. Le dessert vient ensuite vers 3h du matin et on clôture le repas par un café et pousse café vers 4h du matin. On va finalement se coucher le ventre trop plein et on est malade toute la nuit tellement on a mangé.

Pour un des nombreux anniversaires, nous étions allés dans un restaurant bien connu dans la région. Dans ce genre d’endroit, on te remplit ton verre sans arrêt même si tu n’as bu qu’une gorgée. A l’entrée, tu ne sais déjà plus comment tu t’appelles.

A la fin du repas, plus personne n’était en état de conduire et la police qui rôdait nous a, bien entendu, arrêté. Et comme le père de Patrick est très connu de la brigade de gendarmerie, il ont fermé le yeux, pas de sanctions juste l’obligation de faire appel à un taxi pour rentrer chez nous.

Une autre tradition familiale, c’est le jour de l’an. Même si on a fait la fête toute la nuit du réveillon, toute la famille doit être présente pour le traditionnel verre de champagne accompagné de galettes servi à midi. Ensuite, chacun se retrouve à souhaiter la bonne année à des dizaines d’inconnus uniquement dans le but de récolter les enveloppes garnies de petits billets. Il faut savoir que Patrick n’y allait que pour ça : aller voir des vieux et recevoir de la thune.

Alors que la première année symbolise la découverte de ce que l’autre veut bien nous montrer. La 2ème année est caractérisée par la découverte du vrai ! C’est pendant cette année que j’ai réellement découvert Patrick.

Rapidement, il a essayé de m’écarter de mes loisirs et de mes amis. Le sport que je pratiquais, le dérangeait. J’ai arrêté une de mes activités, tout en conservant l’autre. Heureusement ! Il a également pris plaisir à me faire croire que les amis que j’avais n’allaient pas être éternels.

Sur ce point, il avait raison puisqu’il les a montés contre moi et qu’il s’en est servis pour m’espionner. Bref, je devais presque inventer que je ne sortais pas et il fallait que je voie mes amis en cachette.

Patrick s’est révélé ensuite être un gros hypocondriaque. Dès qu’il avait un tout petit quelque chose de rien du tout, c’était comme si la terre entière s’arrêtait de tourner. Monsieur a un peu mal au ventre, il va faire une prise de sang. Monsieur a un peu mal à la tête, il prend de l’aspirine qui t’achève. Monsieur a un peu mal aux jambes, il va se faire faire des infiltrations. Heureusement que Monsieur n’a pas ses règles tous les mois.

Le principal loisir de Patrick, c’est de se la péter constamment en cachant son complexe d’infériorité toujours à dire : Je suis le meilleur de la planète. Il croit aussi que sa voiture est la plus belle, que son style est le plus classe, que fumer comme un toxicomane lui donne un style intelligent. Bref, Patrick a l’habitude de prendre les autres pour des moins que rien alors qu’il les envie.

Les gens raisonnables n’ont pas la belle vie. Ils regardent les gens pas raisonnables et bien souvent ils les envient.

La seconde passion de Patrick, c’est la Techno Boum Boum. il ne sort jamais en boîte. Or, il est persuadé qu’il connait tout au monde de la nuit et de la Techno. Souvent, il met du Boum Boum à fond dans sa voiture. Et pour ne pas changer, il se la pète.

Sa troisième plus grande occupation, ce sont les commérages. En effet, Patrick aime bien qu’on lui raconte les détails croustillants de la vie de l’un et l’autre. Il adore se moquer des gens, en mal bien sûr. Il pense être le meilleur, donc les autres ne peuvent pas lui arriver à la cheville. Il aime les ragots et les potins. C’est d’ailleurs étonnant qu’il n’ait pas pris un abonnement au journal : Ici-Paris ou France-Dimanche.

Quand à ses derniers points faibles ce sont l’alcool et le shit. Pour s’amuser, Patrick a toujours besoin d’avoir bu ou consommé une quantité suffisante de drogue. Monsieur n’arrive pas à se lâcher au naturel. A vrai dire, je pense qu’il n’a jamais su réellement s’amuser.

Avant d’aller à une fête quelconque, il fallait soit qu’il se vide une bouteille de vin rosé, soit passer une heure à trouver quelqu’un qui pouvait lui vendre du shit et surtout quelqu’un qui savait lui rouler son joint. Eh oui, Patrick consomme mais ne sait pas rouler ses joints, sauf se rouler les pouces, Il trouve toujours des excuses bidons telles que j’ai perdu l’habitude, j’ai mal à la main, je suis trop nerveux.

Eh oui, comme je vous le présente, Patrick a également des petits caprices.

Le premier étant la jalousie. Patrick souffre d’un excès de jalousie. Dès que sa copine monte aux toilettes et qu’elle traine un peu, il ne comprend pas que c’est peut-être pour faire une grosse commission. Pour lui, sa copine est entrain de mal faire. Elle est sûrement entrain de le tromper. Surtout si elle a emmené son portable avec elle.

Dès que tu t’absentes quelques minutes, il faut toujours justifier tout ce tu as fait. Le quotidien avec Patrick se résume à justifier et expliquer points par points tout ce que tu as fait pendant son absence.

Patrick a pris l’habitude de fouiller de fond en comble le contenu des messages et l’historique des appels dans mon portable.

Alors ! J’ai même fini par le mettre constamment en mode silencieux et dès que je recevais un sms ou un appel, je stressais, même s’il s’agissait de ma mère. Dès que j’allais boire un verre après l’école avec mes amies, je devais dire qui j’avais vu, ce qu’il m’avait dit, où j’étais.

A la longue, c’était devenu une habitude et je ne me rebellais pas contre ça. Pour moi, ce n’était ni de la jalousie, ni de la paranoïa, mais simplement, qu’il s’inquiétait pour moi.

Comme deuxième caprice, Patrick voulait faire de moi une pute ou une secrétaire. C’est à dire qu’il voulait que j’adapte mon style vestimentaire à ses désirs.

Donc, pour moi, c’était terminé du look cool et original. Maintenant, je devais avoir l’air le plus féminin possible en portant un maximum de jupes, décolletés, et un strings !

Même pendant les règles, les grosses culottes confortables étaient prohibées. Il fallait toujours être apprêtée comme si on allait sortir alors que lui se contentait des vêtements qu’il avait porté toute la semaine ou même plus.

Son 3ème vice était l’appel de l’argent. Patrick étant un gros demandeur d’argent, les arnaques en tout genre sont ce qu’il chéri le plus. Il était jaloux lorsque ma grand mère me donnait 5 euros qu’elle avait mis de côté pour ses petits s. Il râlait quand des membres de sa famille me donnaient de l’argent pour mon anniversaire. Son dada étant de comparer ce que chacun recevait.

Mon père a eu le malheur un jour de lui donner 50 euros pour intervenir dans ses frais d’essence. Depuis, il exigeait régulièrement que je demande à mon père de lui donner de l’argent pour l’aider à payer sa note d’essence pour les trajets qu’il faisait en venant chez moi.

Comme mentionné plusieurs fois, Patrick avait l’habitude de ne pas changer régulièrement de vêtements. Il avait également plusieurs pratiques vestimentaires assez spéciales et totalement incompréhensibles.

Premièrement, il porte toujours un jean, bleu foncé et de marque Levis de préférence. Sous le jean, il porte en général un boxer ainsi qu’un short de sport. Pourquoi le short ? Parce que les jeans provoquent des brûlures sur la peau sensible de ce cher petit Patrick, il a bobo à ses fesses.

Deuxièmement, pour ce qui est du haut, Patrick porte en général un gilet sport ou une chemise classique accompagné de deux t-shifts blancs. Enfin presque blanc ! Pourquoi deux t-shifts blancs ? Le blanc pour la pureté peut-être et deux parce qu’il s’agit de son chiffre préféré sûrement. Sérieusement, j’ignore la raison de ses deux t-shifts blancs.

Troisièmement, Patrick porte en général aux pieds des baskets imposantes ou discrètes, du moment que cela fasse sport. Il porte également souvent 2 paires de chaussettes. Pourquoi deux paires ? Comme je vous l’ai dit plus haut, je l’ignore.

Quatrièmement, le dimanche, Patrick porte toujours ses habits du dimanche. Il s’agit d’un training blanc de la marque Puma. Il est tellement usé qu’on dirait qu’on lui a offert pour ses 10 ans. Sur sa tête, il porte une affreuse casquette bleue foncée à la base mais qui a bien décoloré. Il faut savoir que pour Patrick, il est hors de question de se laver le dimanche, jour du Seigneur.

Cinquièmement, comme la plupart des hommes, Patrick veut avoir l’air classe. Cependant, il n’y arrive pas. Son physique ne le met pas spécialement en valeur et il ne fait pas en sorte d’être éventuellement mis en valeur. Je n’ai jamais compris pourquoi ces habitudes vestimentaires. J’ai même tout fait pour en changer certaines, mais en vain.

Enfin ! Patrick a toujours aimé le sexe. Il aime parler de ça. Il aime tout ce qui touche au sexe. Cependant, je ne sais pas trop comment il s’y prend, mais il le fait mal :

Imaginez avoir des relations sexuelles avec un homme qui ne s’est pas lavé et devoir prodiguer des caresses buccales à un engin dont l’odeur vous rappelle le vieux camembert moisi qui traine dans le fond du frigo.

Imaginez avoir des relations sexuelles dans une chambre où les murs sont recouverts de vieux posters d’une équipe de foot dont les joueurs sont à la retraite depuis longtemps.

Imaginez devoir prendre du plaisir en cinq minutes top chrono, parce qu’après, il dit que le spectacle est terminé et le Monsieur est fatigué.

Imaginez devoir donner envie avec un type qui vous parle toujours sans aucune finesse, ni raffinement.

Imaginez qu’à tout bout de champ, en plein orgasme, on vous dise des phrases qui refroidissent, telles que :

- Je veux te faire un !

Replaçons nous dans le contexte ! Quand j’ai eu droit à ce choc, je n’avais que 20 ans et comme la plupart des filles de mon âge, je n’y avais pas du tout pensé.

Imaginez quelqu’un qui vous saute dessus en plein milieu de la rue, qui vous soulève la jupe, qui hop hop hop fait ce qu’il doit faire et s’en va le cœur léger sans savoir si vous aviez envie.

Imaginez aussi que vous partez en voyage en amoureux, rien qu’à deux, que vous vous êtes farcie une épilation de tout le corps chez l’esthéticienne, que vous avez emmené toute votre lingerie fine, que vous êtes chaude comme une cocotte minute qui siffle. Et que lui ne se sente pas à son aise parce qu’il n’est pas dans son lit et qu’il n’a pas eu de nouvelles de sa maman.

Imaginez devoir faire l’amour toute une vie à quelqu’un qui se contente d’un petit coup de temps en temps pour son plaisir juste histoire de vider ses bourses et que du moment que c’est sorti de sa bite, il est heureux et ne se soucie pas du reste.

Imaginez ne devoir faire l’amour qu’avec des préservatifs à la fraise parce que Monsieur ne supporte pas les autres. Normal, avec l’odeur de fraise, ça fait effet : arbre magique, cela cache l’odeur du camembert.

Imaginez que le type vous supplie d’aller acheter ses préservatifs au distributeur parce qu’il n’ose pas être reconnu par des gens dans la rue.

Imaginez que votre mec ne puisse pas faire l’amour s’il n’a pas consommé d’alcool avant même si c’est juste comme il le dit qu’un petit verre de cognac.

Imaginez qu’en suite, il prétende que vous lui faites quand même de l’effet mais qu’avec une petite bouteille, c’est beaucoup plus facile d’être excité.

Imaginez que le mec justifie ses problèmes d’éjaculation précoce en disant que le problème vient de vous, que c’est vous qui l’excitez trop et que avez réellement un problème qui doit être soigné par un médecin.

Oui ! Imaginez, enfin, je ne sais pas si vous pouvez encore imaginer après tout ça. Je pense que ça fait longtemps que vous lui aurez claqué la porte au nez.

Et moi, non, je suis toujours avec lui car je l’aime ce con, et avec tous ses défauts.