Je Retrouve Joëlle, Et Son Joli Petit Cul
Je rentre chez moi après ce week-end épuisant. Jappelle Joëlle pour avoir de ses nouvelles. Elle a passé la soirée de dimanche à saimer avec Marie, puis elles ont dormi ensemble. Je lui dis que jai moi aussi bien baisé avec les mecs, et que jai dormi chez J-C, avant de rentrer chez moi. Je ne lui parle pas de Patricia qui est venue nous retrouver, ni de ma nuit et journée du lundi avec elle.
On ne baise pas par téléphone, on veut garder nos forces pour le week-end suivant.
Enfin le dimanche arrive. Jai donné rendez vous sur laire dautoroute à nos deux habitués. Lun comme lautre aurait préféré que lon se retrouve plus longtemps ailleurs, mais jai envie de ma petite blonde rien que pour moi.
On est aux toilettes, et ils ont déballé leurs ustensiles. Je leur accorde vingt minutes et fais un petit tour à pied pour me détendre, et me réserver pour chez elle. Jai confiance en elle, en nos deux comparses, elle aussi, et je labandonne sans soucis.
Ils ont terminé, et on reprend la route. Elle est toute épanouie de cet arrêt, et me raconte tout dans les moindres détails, comme pour revivre la scène.
A son habitude le vieux à joui deux fois, et toujours en abondance.
Elle a commencé par lui, et tandis quelle le pompait, Manu sest placé derrière elle, a relevé sa jupe, baissé ses collants et petite culotte, la doigtée pour louvrir, puis à pénétré son petit trou. JC a déjà déchargé une première fois, elle a tout bu, et continue sa pipe goulue tandis que lautre lencule à grands coups de reins. Il prévient de son éjaculation imminente, se retire, et elle a juste le temps de se retourner et de refermer sa bouche sur son manche quelle sent une délicieuse liqueur chaude lenvahir. Elle avale et le nettoie. Il se rhabille et reste pour voir le vieux se masturber au ras de sa bouche, larguer sa purée épaisse sur sa langue, et tout pousser de son manche au fonds .Elle dévore tout et le nettoie à son tour.
Elle me fait bander la petite salope, vivement que lon arrive chez elle.
A peine la porte franchie, on file à la chambre, on se met à poil et je la prends comme une bête. Je suis sur elle et la possède sauvagement. Elle sest fait poser un stérilet, et je vais pouvoir enfin cracher mon sperme dans son vagin. Je suis à fonds, souffle comme un buf, et la baise sans répit. Elle gémit de plaisir, mencourage, mouille à flots, et je jouis enfin. Mon foutre se répand dans son ventre :
- Cest bon salope, ton troisième vide couilles. Jaime te remplir par tous les trous, tu es ma pute préférée.
Je la lime encore jusquà la faire rejouir, puis me retire épuisé. Je glisse mes doigts dans sa chatte, récupère un peu de notre mélange, et lui fais lécher. Puis je replonge mes doigts et recommence plusieurs fois en allant un peu plus loin à chaque fois.
- Je vais te fister ma petite salope, je suis sûr que en as envie. Dis moi, dimanche, vous vous êtes fistées avec Marie, non ?
- Comme des chiennes, recto, verso, les deux à la fois, cétait génial.
- Tu as envie de ma main dans le cul ?
- Jaimerais bien, mais elle est plus grande que celle de ma petite copine.
Je nai pas de si grandes paluches et la persuade dessayer. Si vraiment ça force trop, jarrêterais. Je continue à lui fouiller la chatte, enfile ma main entièrement sans aucune résistance, la ressort, lessuie sur ses seins, et recommence. Elle gesticule comme une possédée, jouis en rafale, puis demande grâce. Jessuie ma main dégoulinante de mouille sur son ventre, et la nettoie partout, des cuisses aux mamelles, de ma bouche gourmande et de ma langue experte. Je mallonge contre elle et on reste calme quelques instants.
Je veux maintenant sa petite rondelle. Elle est couchée sur le ventre, et écarte ses fesses. Je plonge ma gueule entre ses adorables miches et broute son petit illet. Ma langue musclée parvient à le perforer pour une première petite ouverture.
Je me retire jusquaux phalanges, je salive sur sa chute de reins et tourne ma main pour bien louvrir. Je menfonce à nouveau, me retire entièrement pour mieux me réintroduire. Son cul shabitue à ce traitement, elle cesse de mordre loreiller et ne crie plus, mais gémit.
- Oh salaud, tu parles dune menotte. Jai cru que tu me déchirais, mais ça vaut le coup. Tu me fais du bien, cest bon ta main qui me démonte le cul. Fiste moi profond, je suis ta petite pute soumise.
- Oui, tu es ma petite pute, et cest pour cela que je taime. Mais maintenant que je sais ce que tu peux prendre en anal, crois moi que je vais toffrir des queues à volonté, et pour commencer tu auras celle de J.C.
Jarrête mon fisting, et lemmanche de mon pieu qui sest refait une santé. Elle est large et je me demande si elle me sent. Très vite son cercle samenuise et épouse mes contours avec ravissement. Je la matraque avec passion et me libère dans son fondement.
On prend une douche et elle me montre sur internet, sur le site que je lui ai indiqué, des filles qui séclatent à se faire fister le cul. Cest ce qui lui a donné envie, et elle ne regrette pas pour rien au monde.
Je lai prévenue, le dimanche suivant je veux quelle se fasse enculer par J.C. et son énorme gourdin (16x5,2)
Une semaine dattente insoutenable, où on sappelle régulièrement, et le jour est arrivé. Jai donné rendez vous à Manu un peu plus tôt que dhabitude, et à J.C. un peu plus tard. On arrive sur laire. Ma blonde chérie est en mini jupe et enlève ses bas et culotte. Manu arrive et on va aux toilettes. Il déballe son sexe, elle le suce pour le mettre en condition, puis se retourne et offre son derche. Il crache dans sa main, lui lubrifie la raie, la doigte, puis lenfile sans autre précaution. Elle crie, plus de surprise que de mal, et sabandonne à cette fornication. Sa queue est au bord des larmes et elle lui offre sa bouche pour recueillir ses gros sanglots quelle avale avec délectation.
On regagne nos voitures et il sen va. On reste sur place et on sinstalle sur la banquette arrière en attendant notre deuxième invité. Je suis assis au milieu, elle est couchée sur moi en travers, son cul en lair à portée de main. Son tube est bien ouvert suite au passage de Manu, et je la fiste sans problème pour louvrir davantage.
- Salope, je ny crois pas, comme elle est souple et élastique ta putain de rondelle. Il va séclater le vieux, tout comme toi. Tu es un garage à bites
.
Le vieux en question arrive et on repart sur notre lieu favori. Elle suce son gros chibre pour le faire raidir et lui offre son sublime cul. Il bande encore plus fort à lidée de se la faire par derrière, et sengage sans tarder. Elle hurle de douleur, mais il sen fout. Personne ne peut lentendre et il se régale à sortir et entrer. Après plusieurs passages sa rondelle laccepte sans souci, et ses cris deviennent des plaintes jouissives, des encouragements. Il la burine comme un lapin et jouis rapidement entre ses reins. Elle éructe son bonheur de recevoir sa chaude et abondante semence qui lui remplit lanus.
J.C. ne se retire pas mais la tringle de plus belle pour une deuxième fournée quelle accepte avec autant de plaisir. Il se retire et lui offre son engin à nettoyer. Je trique dur et ne peux résister à lappel de son cul. Je la martèle profond et décharge à mon tour. Elle me nettoie. Elle est toujours penchée en avant et J.C. lemmène dans cette position jusquau toilettes. Il baisse le battant, le nettoie avec du papier et de leau, puis linvite à sasseoir au dessus pour vider son anus. Nos spermes sécoulent dessus, et quand son conduit est vide elle se retourne pour tout bouffer. J.C. sen va et on reprend la route.
- Tu tes éclatée salope, tu aimes ça des gros manches par derrière.
- Trop bien, et dire que jai attendu jusquà aujourdhui.
- Mais si tu veux rattr le temps perdu, cest facile.
- Ah oui, et comment ?
Jai mon idée, mais attend dêtre chez elle, dans une situation plus chaude, pour lui dévoiler mon plan.
A suivre
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