Na Lelslie Tr 26
Leslie à Paris P26 Collocation, Sophie.
Devant faire un stage de trois mois à Toulouse, je fus obligée de chercher un appartement et compte tenu de la courte période du stage seul la collocation me paraissait possible.
Alors je me mis en recherche dès mon premier jour à Toulouse, la chance voulant sourire je tombais sur une annonce dune jeune femme cherchant une collocatrice.
Dans son annonce elle cherchait une collocatrice, dans un appartement meublé, pour une période indéterminée, alors jai répondue à son annonce en me disant que cela serait loccasion de trouver rapidement et chez une jeune fille il serait possible lier connaissance plus facilement sans avoir à subir les avances dun jeune homme quelque peu entreprenant.
Je nai pas eu à regretter cette démarche.
En effet Sophie était un joli brin de fille qui devait avoir deux ou trois ans de plus que moi, à cette époque jen avais vingt et un, elle était de la même taille que moi et dun style très cool.
Le lendemain matin à notre rendez-vous elle portait une robe portefeuille grise avec un tee-shirt blanc, ses cheveux blonds lui arrivaient sur les épaules et javais devant moi une fille mince, jolie et peu maquillée.
Je lui ai fait bonne impression dès quelle a ouvert la porte et son appartement démontrait quelle était ordonnée sans être trop méticuleuse, en fait une fille vouée à être une bonne collocatrice.
Elle savait mettre à laise en montrant une grande simplicité.
Sophie me faisant visiter lappartement me fit remarquer quon était à labri des regards indiscrets et des bruits de la ville, spacieux il donnait des espaces intéressant pour deux filles désireuses de cohabiter.
Lappartement était meublé et comportait le minimum pour passer trois mois sans se poser de question, un petit vestibule ouvrant sur un salon avec de part et dautres deux chambres autonomes, une sales de bains commune et un cuisine tout à fait convenable.
Nous nous sommes entendues sans problème et je me suis installée dès le lendemain matin trop heureuse davoir trouvée rapidement et ce dautant plus que la jeune femme avec qui jallais cohabiter étant sympathique et jolie en plus.
Je navais pas beaucoup daffaires, une valise et un sac de sport de vêtements et de lingerie, la pièce que jallais habitée étant meublée comportait le confort minimum pour un séjour de courte durée, mon installation me prit un minimum de temps.
Dès le début nous nous sommes bien entendues et la vie en collocation avec Sophie fut un véritable bonheur, discrète et peu bruyante nous nous croisions que le matin lors de nos préparatifs pour aller bosser et prendre parfois le petit déjeuner et le soir lorsque nous navions pas de sorties prévues, lors de ces moments nous pouvions parlées ou partagées un DVD.
Ces premiers jours de cette vie en commun nous à apprit à mieux connaitre lautre et aussi ses habitudes, cest ainsi que je remarquais que Sophie ne se levais pas très tôt, particulièrement le week-end, mais pouvais veiller tard le soir. La première quinzaine de jours se passa ainsi et cest le vendredi soir suivant quen rentrant du cinéma, vers une heure du matin que jai découvert Sophie en tee-shirt et culotte se faisant couler un bain.
Elle fut surprise en me disant :
- Déjà rentrée ?
- Oui mais je ne vais pas traînée car je suis crevée, bonne nuit, dis-je.
- Bonne nuit.
En me couchant je ne pus mempêcher de mimagine Sophie, nue, rentrant dans le bain et cest tout naturellement quavant de mendormir que mes mains descendirent le long de mon corps pour remonter remontai mon tee-shirt sur mon ventre et que je mouvris impudiquement à mes caresses en pensant à Sophie.
Le lendemain Sophie vint me retrouver pour le petit déjeuner en débardeur et petite culotte, de mon côté je navais quun tee-shirt long sans rien dessous.
En la voyant arriver, je dois lavouer, Sophie me fit de leffet, surtout quen sasseyant elle largement ses cuisses, provoquant en moi un certain émoi.
Le soir après le diner nous sommes parties dans nos chambres, peu de temps après me relevant pour aller boire un verre deau dans la cuisine je maperçus que Sophie navait pas fermée la porte de sa chambre, je rejoignis la mienne pour tenter de trouver le sommeil.
Quelques temps plus tard de petits gémissements étouffés retinrent mon attention, cela venait de la chambre de Sophie et me demandant curieuse ce quelle faisait je me sui levée pour aller voir.
Sophie nétait pas couchée et de lembrasure de la porte je la découvris devant son ordinateur assise dans son fauteuil. Elle me tournait pratiquement le dos, mais une jambe était posée sur le bureau et lautre pendait, Sophie les jambes largement écartées se donnait du plaisir, Sophie était en train de se masturber.
La gorge serrée, je lai regardée sans faire de bruit, jai attendue quelle se crispe et jouisse sous ses doigts, puis je suis retournée dans ma chambre et allongée sur le lit je me suis masturbée à mon tour ;
Le lendemain matin, alors que jallais prendre ma douche, Sophie vint me retrouver dans la salle de bains, habillée encore de mon peignoir en regardant dans la glace je vis ses yeux implorants, elle croisa mon regard et dis :
- Pourquoi nes tu pas rentrée pour me rejoindre hier soir.
- Je nai pas osée, dis-je.
- Jaimerais bien que tu oses maintenant, me dit elle.
Sophie avait la main dans sa culotte et se caressait tout en me parlant, je me retournais et lui ôtais son débardeur mettant son torse à nu et mes mains prirent possession de ses petits seins aux bouts tendus, Sophie gémit doucement.
Puis tout saccéléra, Sophie ôta sa culotte, puis ouvrit mon peignoir pour coller sa nudité à la mienne, sa main prenant possession de mon intimité elle commença à me branler le clitoris en me demandant :
- Jespère que tu aimes les filles.
Nos seins se frottaient, nos caressaient frénétiquement nos entrejambes et nos bouches se sont trouvées et ce fut notre premier baiser, long et intense.
Longuement nous nous sommes caressées dans la salle de bains tout en nous embrassant avec fougue, comme si nous attendions ce moment depuis longtemps, puis nous nous sommes agenouillées sur le tapis nos jambes largement ouvertes pour les caresses de lautre, nos mains caressant nos intimités déjà humides afin dapaiser les désirs qui montaient en nous.
Jai senti les doigts de Sophie entrer plus profond en moi, toute humide ses doigts glissaient su mon clitoris et me faisaient frémir, pendant que son majeur explorait lentrée de mon anus.
Je lui ai rendue ses caresses la faisant soupirer et gémir en sentant son petit bouton pointer sous le bout de mes doigts alors que sa rosette souvrait à mes caresses.
Nous sommes passées sous la douche enlacées dans nos désirs profitant de chaque minute pour explorer nos corps, puis nous nous sommes retrouvées dans la chambre de Sophie où nous nous sommes aimées sur le lit enlacées, vibrant des caresses sur nos corps.
Nous nous sommes pénétrées des godes que Sophie disposait dans le tiroir de sa commode et avons jouis ensemble en hurlant notre plaisir, puis nous avons reposées un moment nous laissant aller dans le bonheur davoir hurlées notre plaisir mutuel.
Lorsque je me sui levée pour aller boire Sophie somnolait sur le ventre les cuisses ouvertes et la jambe droite légèrement repliée laissait voir la naissance de sa vulve et les petits plis qui convergeaient vers son petit trou, une envie soudaine de posséder ce petit trou monta en moie te je me dis quà mon retour je men occuperais sérieusement.
A mon retour de la cuisine Sophie navait pas bougée reposant encore sur le ventre son joli petit cul toujours bien en vue, exposé indécent comme une invite.
Je suis allée dans ma chambre pour prendre mon gode-ceinture et méquipée avec avant de rejoindre Sophie, puis doucement je me suis approchée delle et après avoir prit place sur le lit entre ses jambes jai commencée à lui caressée sa petite rondelle, aussitôt Sophie sest mise à gémir en relevant légèrement les fesses, lorsque jai accentuée ma caresse jusquà rentrer un doigt dans son joli petit trou plissé Sophie sest réveillée et tout en feulant et en relevant encore plus son joli postérieur, elle me dit :
- Sois douce, chérie.
Alors je me suis placée derrière elle en pointant le gland du gode contre sa rosette après lavoir enduit de gel. Sophie à frémit au contact de sa rosette et du bout du gode, Sophie se cambre encore plus offrant sans pudeur son petit trou plissé, je la prends par les hanches et menfonce en elle doucement.
- Ohhh, sexclame Sophie.
Je relève Sophie pour la maintenir les mains sur ses seins pendant que je mactive dans ses entrailles, Sophie à lair dapprécier et feule de plaisir en ballotant la tête dans tous les sens.
- Ohhh ma chérie, comme cest bon, me dit Sophie.
Pendant un long jai sodomisée Sophie en lui caressant ses seins, Sophie à jouis plusieurs fois jusquau moment où elle sest effondrée su le lit emportée pas les spasmes de sa jouissance.
Le reste de la journée nous lavons passée à nous aimer tendrement en se promettant de saimer longtemps. Ce jour là nous avons dormies notre première nuit ensemble.
Le lendemain je me suis réveillée en sentant Sophie se levée, mais je nai pas bougée, Sophie à prit sa douche et en revenant dans la chambre elle mà trouvée allongée sur le ventre.
Je suis certaine quelle mà regardée nue allongée sur le ventre les jambes ouvertes laissant mon intimité livrée à son regard. Je lai entendue se rapprocher du lit, les yeux mi-clos faisant semblant de dormir, jai entendue le tiroir de la commode souvrir et un instant plus tard Sophie sest assise au bord du lit et elle a posé le bout de ses doigts sur le sillon de mes fesses.
Elle a parcouru ma raie dun doigt, lentement du haut vers le bas, jai entrouvert lentement mes jambes pour lui permettre daller plus loin et ses doigts se sont insinués jusquà lentrée toute mouillée de mon vagin. Sophie à dit doucement :
- Tu mouilles bien ma salope !
Je me suis ouverte encore davantage pour faciliter sa caresse et jai sentie le lit bouger, Sophie montait sur le lit pour sinstaller entre mes jambes et jai sentie les deux mains de Sophie mouvrir les fesses et le contact froid du ode-ceinture à lorée de mon anus, puis une douleur me vrilla lanus, Sophie me sodomisait.
Elle ma pénétrée, doucement, excitée comme jamais je ne lai sentie et pendant quelle se démenait en allant et venant en moi, je lai entendue dire :
- Une sodomie pour être quitte !
Et pendant quelle me pénétrait je pensais que nous allions bien nous entendre ensemble.
A suivre
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