Damien (32) Mahmoud 4
Mahmoud me fit revenir à la réalité en m'administrant une violente claque sur les fesses, puis me prenant par les cheveux il me fit me lever et m'entraîna vers une espèce de coffre sur pieds arrondi sur le dessus. "Allonge toi sur le ventre en travers de ce meuble pute".
J'obéis, mes mains pendaient d'un côté et mes jambes de l'autre, l'homme me les attacha avec une corde et vérifia la solidité de mes liens.
Il ouvrit l'armoire et en sortit deux boites qu'il ouvrit, dans l'une il y avait quatre godes de plastique tous d'une saleté repoussante et dans l'autre quatre godes d'ivoire, le plus petit était déjà plus gros que la bite de Mahmoud, il me prit par les cheveux et me dit "Alors pédale, ah on veut sucer des grosses bites et se les prendre dans le cul, en voilà qui ne se fatiguent pas, tiens ordure suce
celui-là, nettoie-le avec ce qui te sert de langue".
Il me présenta le plus petit et me l'enfonça dans le bouche, j'eus un haut-le-cur quand l'extrémité de l'olibos arriva au fond de ma gorge, sans en tenir compte, mon tourmenteur commença à le faire aller et venir entre mes lèvres, à force de sucer, le priape de plastique devint propre, Mahmoud s'en aperçut et m'enfila le suivant.
Quand arriva le dernier, j'avais un goût de pourri dans la bouche, j'avais les lèvres enflées tant j'avais sucé, j'eus beaucoup de mal à le prendre en bouche tellement il était gros, mais Mahmoud sans aucune pitié me le fit avaler, quand il me libéra, la première chose que je fis fut de me lever pour aller boire un verre d'eau, Mahmoud me rattrapa par le bras et me dit "Où vas-tu morue, ici à quatre
pattes, ton cul va jouir allez dépêches-toi".
Tandis que je prenais la position, il me mit une grande claque sur les fesses, le cri que je poussai le fit rire et il commença à me fesser très fort, mon cul devint brûlant sous les coups qui pleuvait, je pleurai à chaudes larmes car Mahmoud avait remplacé sa main par une badine qui me cinglait le postérieur.
Quand je commençai à devenir sans réaction sous l'avalanche qui pleuvait sur mon arrière-train, mon tortionnaire sans prévenir, m'enfonça sans ménagement le 1er gode entre les fesses jusqu'à la garde puis le fit aller et venir vivement.
La brûlure causée par l'intromission fut telle que je hurlai de douleur, j'avais le trou du cul écartelé et j'avais l'impression que mes miches allaient se détacher.
Peu à peu, la souffrance se calma faisant place à une douce langueur et je me mis à ronronner tout en roulant des hanches en cadence, Mahmoud retira le gode et prit le suivant qu'il m'enfonça dans le cul sans aucune précaution, cet olibos devait faire le double du sexe de mon tourmenteur, le mal fut encore plus vif que le première fois, je faillis m'évanouir sous l'impact de la douleur, mon fondement était complètement éclaté et me brûlait ardemment, j'étais sans plus aucune réaction au traitement qui m'était infligé, mais petit à petit, mon anus s'ouvrant et s'habituant au calibre qui me ramonait, je me mis à râler de plaisir, c'est alors que Mahmoud me décula et essaya de me mettre le troisième, mon cul bien que largement ouvert n'arrivait pas à accepter un tel calibre, le gland buta contre ma grotte, mais Mahmoud d'un grand coup le fit entrer tout entier dans mon cul "Aaaaaaaiiiiiiiiieeeeeeeee !!!!!!!!!!!!! mmmmmmooooooonnnnnnnn
ccccccuuuuuuullllllll !!!!!!!!!!!!!!" hurlai-je m'affalant sur le lit le cul en l'air, je croyais qu'il m'avait ouvert le rectum avec un bistouris, mon ventre me brûlait et ce qui allait et venait en moi était tellement gigantesque que ça me donnait des nausées.
Plusieurs minutes passèrent pendant lesquelles je restai sans réaction face à l'activité du phallus artificiel qui me martyrisait l'arrière-train, puis malgré moi le plaisir refit surface dans mon être ravagé par le mal "aaaaaahhh aaahhhhhhhhh ouuiii c'essttt boonnn
ooooohhh noonnn".
Une fois encore, mon tortionnaire comprit que le jeu était fini, il prit le dernier priape et entreprit de me l'enfiler, Mahmoud eut beau forcer, mon rectum refusa de le prendre, alors Mahmoud appuya son torse sur le membre artificiel et petit à petit obligea mon trou à l'accepter, je hurlai sans discontinuer tant la douleur était intolérable, je croyais que mon cul était ouvert par un bistouris.
Tout mon ventre me brûlait, on aurait dit qu'on me mettait des fers rouges dans les entrailles, les mouvements de cette énorme chose me donnaient des nausées.
J'étais sans réaction, le corps totalement meurtri à la merci des assauts de cet immonde pénis artificiel qui me martyrisait l'arrière-train.
A force de souffrir abominablement, j'avais atteint la frontière où le mal et le plaisir se confondent, les élancements se transformèrent en vagues de chaleur qui envahirent mon corps, malgré moi je me mis à ronronner tout en allant à l'encontre de la monstrueuse verge de plastique qui me défonçait, mes hanches se mirent d'elles même à rouler, Mahmoud avait beau me bourrer le cul de plus en plus violemment pour me faire mal, c'est le plaisir qui m'inondait maintenant.
Au bout de quelques instants, je râlai sous les coups de boutoir répétés de cet énorme engin qui m'alésait le sphincter
Soudain un orgasme tumultueux explosa au plus profond de moi, je m'empalais littéralement sur le gode et hurlai de jouissance puis je tombai lourdement sur le lit aux portes de l'inconscience.
A ce moment je sentis qu'on m'écartai les miches et un objet monstrueux et froid se positionna contre mon oeillet béant, tant l'engin était gros j'eus un mouvement de panique pour me soustraire à ce viol, mais me maintenant solidement Mahmoud, pesa sur ma pastille, bien que ouvert largement par les assauts que je venais de subir, l'intromission de l'olibos fut extrêmement douloureuse quand le gland d'ivoire m'enfessa, je poussai un hurlement de douleur, dans le brouillard du à la douleur aussi bien qu'au plaisir que je n'avais cessé de prendre pendant de longs moments, si jamais, c'était le plus petit de la deuxième boite je voyais ce que j'allais endurer par la suite, une fois la tête du gode passée mon tourmenteur enfonça le priape artificiel d'un coup violent jusqu'à la garde et se mit à le faire aller et venir en moi à une vitesse folle, la chose devait faire au moins 30 centimètres de longueur.
J'essayais de me débattre pour échapper à ce véritable supplice qui me défonçait le fondement, mais Mahmoud m'avait bien coincé de sa poigne de fer et continuait à me casser la pastille, peu à peu mon sphincter s'ouvrit et mes cris se transformèrent en râles et je me mis à onduler, voyant que je ne souffrais plus il me décula et aussitôt sa verge raide investit mon canal et commença à aller et venir en moi vigoureusement, bien qu'imposant le pénis coulissait aisément en moi, j'avais atteint le point de non-retour et tendant ma croupe vers celui qui me chevauchait je me mis à délirer.
Mon amant me décula sans jouir et un gode encore plus grand et gros que l'autre fut enfoncé dans ma grotte complètement éclatée "aaaaaaaaaaiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeee" hurlai-je quand l'immense engin pénétra en moi, mais sourd à mes cris désespérés mon bourreau se mit à me travailler le cul avec une violence inouïe, la douleur me vrillait les sens, tout le plaisir né de l'étreinte que j'avais subi tout à l'heure s'était évanoui, j'étais écartelé par ce monstrueux phallus, je pleurais tellement j'avais mal.
Pendant plusieurs minutes, j'avais l'impression qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans l'anus, puis peu à peu la souffrance fit place à un sentiment de bien être, l'olibos coulissait plus librement en moi et je me mis à gémir tout en roulant des hanches, à cet instant je reçus une formidable giclée de foutre en pleine figure, Mahmoud qui n'avait pas éjaculé en moi s'était masturbé et venait de décharger, il m'étala sa liqueur sur tout le visage, c'est alors qu'il m'ôta le membre qui me forait les reins, je pensais que c'était terminé. Mais aussitôt un gland incroyable se posta contre mon ouverture anale. "nnnnnnnnnnooooooooooonnnnnnnnnnnn" criai-je devant les dimensions absolument fabuleuses de cet objet.
"ccccccccccccccc'eeeeeeeeeeeeeeesssssssssssssssttttttttttttttt
tttttttttttttttrrrrrrrrrrrrrrrooooooooooooooppppppppppppppp
gggggggggggggggrrrrrrrrrrrrrrrooooooooooooooossssssssssssss
aaaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeee".
Mais sans se soucier le moins du monde de ces supplications, Mahmoud fit peser sur mon oeillet l'inhumain godemiché, il dut s'y reprendre à plusieurs fois pour parvenir à me l'introduire entre les fesses, la pénétration fut très longue et extrêmement douloureuse, je hurlai sans discontinuer tout le temps que la bite factice mit à me prendre millimètre par millimètre, quand enfin il arrêta de pousser, je sanglotai et j'avais tout l'intérieur qui me brûlait, j'entendis la voix de Mahmoud me dire "Eh bien tu vois qu'il n'était pas trop gros,
tu l'as tout pris dans ton joli cul, tu as eu un peu de mal mais
il y est tout entier, pas un morceau n'est pas rentré d'accord ton
petit fion n'est pas beau à voir mais ça ce n'est pas le
principal, et tu vas voir quand je vais commencer à te travailler
le derche avec, là tu vas jouir. Hein ma petite pute ?".
Joignant le geste à la parole, le salaud se mit à me besogner à une vitesse folle, chaque fois que l'énorme pieu qui était entre mes reins s'enfonçait, j'avais l'impression qu'il me déchirait complètement les parois, je me tordais de douleur sous le supplice qui m'était infligé, tout en moi n'était que souffrance, de ma gorge ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeee" continu.
Je ne sais combien de temps je fus violé par cet instrument, mais quand il me l'ôta pour m'en mettre un plus énorme encore, je m'évanouis sous l'impact de la douleur, quand je revins à moi, je ne saurais dire combien de temps après, Mahmoud était toujours en train de me sodomiser à l'aide de ce monstrueux appareil, mais mon cul entièrement éclaté le laissait coulisser sans gène aucune, j'avais dépassé le stade de la douleur et je subissais sans réaction le tourment physique que mon bourreaux m'administrait.
Au cours de la nuit, l'homme m'infligea d'autres souffrances, tout y passa, après les godes j'eus droit à des lavements, il me fit asseoir sur des bouteilles de plus en plus grosses jusqu'au magnum, il me pénétra avec de divers légumes allant de la carotte jusqu'à l'aubergine en passant par la banane, il me sodomisa aussi à l'aide de saucissons, ce qui me fit souffrir beaucoup quand le sel toucha mon oeillet à vif, il me fouetta, se masturba sur moi, me pissa dessus, après m'avoir attaché à plat ventre sur le sol les mains au pied du lit et les jambes écartées à deux portes il se livra sur moi à toute sorte de jeux sadiques et finit en m'administrant une raclée magistrale sur les fesses,
Quand enfin il m'abandonna au petit jour, j'étais perclus de douleur, je sentis qu'on me détachait, je n'eus pas la force de bouger pour monter sur le lit et m'endormis à même le sol.
Quand je m'éveillai, le soleil était déjà haut dans le ciel, je voulus me lever mais une douleur me cisailla, c'est à cet instant que les événements de la nuit me revinrent à l'esprit.
Mon corps était couvert d'ecchymoses, mes lèvres étaient éclatées, mes pommettes étaient ouvertes et un de mes yeux était fermé, je rampai jusqu'au téléphone qui était dans le couloir, en passant devant un miroir je fis un effort surhumain pour me mettre à genoux, ce que je vis me remplit d'effroi, mon anus était boursouflé et sanguinolent et jamais je ne l'avais vu autant ouvert même juste après avoir subi plusieurs enculades, sombrant dans le désespoir je retombai à terre.
Mahmoud arriva et me dit avec un grand sourire "Alors ce fut une
belle baise ?
- Ça na pas été une baise, tu mas violé et battu, je ne veux plus
jamais entendre parler de toi
- Pauvre petite chochotte, on a mal à son petit cul ?
-
- Ferme ta gueule salope et casse-toi puisque tu ne veux plus
entendre parler de moi. En tout cas moi jai bien aimé ton joli
petit cul".
Tant bien que mal, je remis mes vêtements et partis chez moi en pleurant.
Arrivé chez moi, je pris un long bain, je mis de la pommade antalgique sur tout mon coprs et partis me coucher.
Le lendemain matin, jétais encore tellement marqué par les évènements que je téléphonai à mon travail pour le dire que jétais malade.
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