1 Ère Fois
Cette histoire avec mon actuelle épouse remonte à dix ans.
A lépoque, je sortais avec ma copine Julie depuis 3 mois.
Jhabitais à Paris et elle à Lille. Nous nous voyions tous les week-ends.
Ce week-end là, j étais remonté à Lille.
Nous avions passé laprès-midi ensemble à nous balader dans les rues de Lille.
En fin daprès-midi, nous étions retournés chez elle et ses parents souhaitaient aller au restaurant.
Nous nétions pas enchantés de devoir passer la soirée avec ses parents, son frère et sa sur, aussi Julie prétexta un mal de tête.
Il était 20 heures et nous nous retrouvions tous les deux seuls dans la maison.
Nous nous assîmes dans le canapé où nous embrassions tendrement.
Julie était encore vierge et elle mavait déjà fait comprendre quelle nétait pas prête à franchir le pas.
Mais, ce soir-là, je sentais que Julie était différente des autres fois.
Elle membrassait langoureusement et se collait fortement à moi.
Aussi je décidais de prendre quelques initiatives.
Jouvrais sa chemise et lui dégrafais son soutien-gorge. Quelle fut ma stupeur de voir ses deux petits seins bien blancs au milieu desquels pointaient deux beaux et gros tétons tout roses. Je les faisais rouler entre mes doigts. A lévidence elle appréciait. Ses yeux étaient fermés et elle les ouvrait quelques fois pour me montrer sa flamme.
Jétais très excité et mon pénis prenait de bonnes dimensions dans mon caleçon.
Emporté par ce désir qui montait en moi, je posais ma deuxième main sur son pubis.
Bougeant lentement son bassin, el le me chuchota à loreille : « enlève mon pantalon »
Je me reculais quelque peu, attrapais les deux jambes de pantalon et tirais lentement dessus.
Dans le mouvement son slip descendit un peu laissant apparaître une toison bien fournie.
Jétais surpris de la couleur si noire de ses poils pubiens alors que ses cheveux étaient châtains clairs.
Très délicatement, elle prit le soin de remettre son slip, mais ses poils dépassaient généreusement sur les côtés.
Mon excitation venait de franchir un nouveau cap.
Je me rasseyais à côté delle et posais ma main sur sa cuisse. Remontant doucement ma main, jécartais sa culotte blanche pour dégager lentrée de son vagin.
Jintroduisais tout doucement un doigt. Quelle fut ma surprise de voir à quel point son vagin était humide.
Emporté dans mes pensées, je sursautais quand je sentis sa main caresser mon pénis au travers de mon pantalon.
Dune main maladroite, elle enleva le bouton, descendit ma braguette. Je laidais à descendre mon pantalon.
Puis elle glissa sa main dans mon caleçon et saisit ma verge dune main peu experte.
Je sentis à son hésitation quelle navait jamais touché de pénis, et la taille de mon instrument devait quelque peu linquiéter.
Dune voix timide, elle me dit : « je ne sais pas comment il faut faire »
Je lui prenais le poignet et lui guidais la main. « Ce nest pas plus compliqué » lui dis-je.
Mon doigt saventurait toujours à lentrée de son vagin. Je nosais pas le rentrer trop profond de peur de blesser son hymen encore intact.
Quant à elle, elle prenait de lassurance.
Elle sarrêtait de temps en temps, décalottant mon gland au maximum, ce qui tendait fortement mon frein. Jétais au bord de la jouissance. Puis elle reprenait par quelques mouvements lents, elle accélérait la cadence et augmentait lamplitude. Elle était plutôt sèche dans ses mouvements, ce qui nétait pas pour me déplaire.
« Nas-tu pas envie de faire lamour» lui murmurais-je.
Elle ne dit rien.
Je me levais et enlevais mon pantalon et mon caleçon. Son regard fixait attentivement ma verge. Je lisais dans ses yeux son désir mêlé dinquiétude.
Elle sallongea sur le canapé et je lui fis glisser sa culotte.
Je magenouillais devant sa toison et laide de mes deux mains lui entrouvrais légèrement le vagin.
Là je vis apparaître son clitoris. Il était dune taille surprenante (je nen avais jamais vu de pareil).
Je lui embrassais tendrement son petit bouton avant de lui plonger deux doigts dans le vagin qui était totalement trempé. Je savais que mon pénis (22 long, 18 diamètre) était imposant et qui l fallait que je la prépare bien.
Puis je mallongeais sur elle et plaçais ma verge à lentrée de son vagin.
Tout doucement jenfonçais mon pénis dans son fruit ouvert. Je bloquais devant son hymen.
Je ne voulais pas lui faire mal. Mon phallus avait ce jour-là des proportions inhabituelles.
Je fis quelques mouvements avant arrière à lentrée de son vagin pour mieux le lui dilater.
Je marrêtais puis enfonçais lentement ma verge. Son hymen résistait un peu, puis je passais dun seul coup à travers plongeant mon gros dard dans un océan de bonheur.
Elle poussa un petit cri (de bonheur ou de soulagement ?).
Quelques instants plus tard, je sentis sa respiration saccélérer. Elle se crispa.
Je compris alors quelle allait jouir.
Jaccélérai la cadence et jouissais à mon tour.
Nous restâmes un moment sans bouger inconscients.
Nous nous rappelâmes alors que ses parents allaient bien rentrer.
Nous nous rhabillâmes et nettoyâmes quelques gouttes de sang sur le canapé.
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