L'Agent Immobilier
Coucou, moi, Mallaury, je reviens aujourd'hui pour vous raconter une nouvelle aventure érotique. Comme vous pourrez le constater au fil de l'histoire, cette fois-ci, il ne s'agit pas d'un de mes célèbres trios mais seulement d'une aventure pleine de piment.
Tout commence par une journée assez froide du mois de décembre. Voulant avoir ma liberté et enfin quitté le cocon familial, je décide de me trouver un petit appartement pour devenir indépendante. Je considère être en âge de partir pour vivre ma vie telle que je la conçois.
Je me mets donc à la recherche d'annonces plutôt intéressantes et pas trop chères. Après plusieurs jours de recherches, je tombe sur une annonce qui me plaît beaucoup pour un petit appartement de 30 m², meublé au premier étage d'une résidence calme dans la ville de LAON (02). Je contacte l'agence immobilière pour prendre rendez-vous pour une éventuelle visite de l'appartement. La visite se fera 3 jours plus tard en début d'après-midi.
Le jour de la visite est arrivé, je me rends à l'adresse de l'appartement (ça sert de connaître cette ville comme ma poche). En principe, une jeune femme devait me faire visiter cet appartement, mais en vérité, ce n'est pas comme ça que ça se déroule.
Je vois une voiture se garée prés de moi. Je vois un très bel homme en descendre et s'approcher de moi. Il se présente à moi :
- Vous devez être Mademoiselle Bernard, bonjour, Mathias Legrand, agent immobilier, voici ma carte.
Je le regarde avec un air un peu confus.
- Vous devez être surprise ?
- Un peu oui, je m'attendais à voir une femme.
- Oui, ma collègue a eut un empêchement pour la journée, c'est donc moi qui s'occupe de ses visites.
Finalement, je préférais cette situation sans rien laisser paraître. Je suivis donc mon guide pour la visite, de dehors la résidence paraissait assez vieille, mais quand on fut à l'intérieur, c'était moderne, des travaux avaient été effectués pour relouer les appartements.
A peine entrée, je remarquai que l'appartement était lumineux et assez grand. On commença la visite par la pièce principale qui était la cuisine / salon, équipée avec de l'électroménager neuf et moderne. Je regardais partout autour de moi, dans les placards, j'observais la place disponible.
On poursuivit ensuite par la visite de la salle de bains et des 2 chambres. La salle de bains était équipée d'une douche et d'un lavabo, la pièce était assez petite mais éclairée par une fenêtre qui donnait dehors. Pour la chambre, je fus conquise par son espace et sa luminosité.
Soudain, je me rendis compte que l'agent s'était approché de moi et qu'il me collait. Je sentis que ses mains se déposaient sur mes épaules. Un sursaut me fit me retourner, il paraissait gêné, et il me bafouilla quelques mots sous l'effet de la gêne.
- Veuillez m'excuser, je ne sais pas ce qui m'a pris, mais vous êtes si désirable.
- Ne soyez pas désolé, bien au contraire. Quand vous vous êtes présenté à moi tout à l'heure, je suis tombée sous votre charme.
Je me suis alors approchée de lui en mettant mes mains autour de son cou. Son corps était imposant. Il était grand, brun avec un regard ténébreux qui me faisait frémir. Arrivée à la hauteur de sa bouche, je n'osais plus bouger. Soudain, il fit le premier pas en approchant ses lèvres des miennes.
Ses lèvres étaient douces et légèrement charnues. Tout à coup, nos langues se rencontrèrent, elles se cherchaient pour mieux se découvrir comme pendant un tout premier baiser. Notre baiser fut long mais très agréable par sa douceur. Mon amant sentait bon, Soudain, je sentis mon manteau tombait à mes pieds.
Mathias me caressait le dos avec ses mains d'homme si tendre. Il m'attrapa par la taille pour me coller à lui, ma poitrine vint s'écraser sur son torse musclé, que je devinais à travers son costume. Il m'entraîna dans la pièce principale, où était disposée une sorte de banquette.
Je sentais mon coeur qui battait la chamade. Mes mains étaient posées sur le torse de Mathias qui me dévorait des yeux. Je me retrouve devant lui en soutien-gorge. Ma poitrine débordait de mon soutien-gorge noir. Il le détacha d'une seule main, il était vraiment doué et doux dans ses gestes. Mes seins tombèrent dès qu'il eut enlevé leur prison de tissu.
Pendant ce temps, moi, j'avais ôté sa veste et sa cravate, je commençais à m'attaquer à sa chemise quant il décida de s'occuper de mes seins gonflés par l'excitation. Il les palpa avec beaucoup de douceur, je frémissais à chacune de ses caresses. Soudain, il descendit sa bouche pour me les titiller. Je sentais sa langue glissait sur mes tétons, ils étaient dressés vers lui, ils me faisaient mal tellement ils étaient si bien excités.
Sa langue glissa sur mon ventre, il s'attarda sur mon nombril avec lequel il jouait habilement. Pendant ce temps, mes mains glissèrent sur ses hanches, je m'attardai sur ses fesses rebondies et fermes. Je lui ôta sa ceinture puis la fermeture de son pantalon, qui glissa sur ses jambes musclées. Mathias était musclé là où il le fallait et légèrement bronzé. Autour de son nombril, un tatouage tribal en forme de soleil me fit craquer.
Tout à coup, je me sentais vulnérable dans ses bras. Il me bascula et m'allongea sur la banquette, il entreprit de m'enlever mon jean. Je me retrouva très vite les seins à l'air encore humides par ses caresses et en boxer. Mathias se tenait debout devant moi. Il s'approcha de ma bouche, il m'embrassa tendrement et me glissa quelques mots au creux de l'oreille.
- Tu es magnifique, j'ai envie de te donner du plaisir.
- Vas-y, fais ce qu'il te plaît, je suis à toi.
Il abaissa mon boxer, se mit à genoux, il me releva les jambes qu'il posa sur ses épaules. Il commença à lécher l'intérieur de mes cuisses puis je sentis sa bouche arrivait sur mes grandes lèvres.
Je gémissais, mon bassin ondulait sous ses caresses buccales, je me sentais défaillir, ma respiration était rapide, mes mains moites caressaient mes seins pendant son délicieux cunnilingus. Soudain, Mathias s'arrêta et se redressa. Moi, de mon côté, je venais de jouir tellement ce fut l'extase.
A mon tour, je décida de lui donner du plaisir comme il venait de m'en donner. Nous échangeâmes nos places. Je me retrouvais donc entre ses cuisses, sous son boxer, une énorme bosse se dessinait ; pour le libérer de sa prison, j'enlevais son boxer. Sa queue n'était pas totalement au garde à vous. Elle était longue et assez fine, avec un gland assez épais. Je caressais ses cuisses.
Je pris sa queue en main, je commença à le branler avec une main, l'autre main glissait sur son torse. J'approchai ma bouche de son gland que je venais de décalotter, il était rouge et gonflé. Ma langue entra en contact avec son gland, elle glissa sur toute la longueur de sa queue, je le sentais qu'il continuait à grossir dans ma bouche. Je fus surprise quand je me suis rendue compte que j'avais la quasi-totalité de sa queue dans ma bouche malgré la longueur. Ma langue tournait autour de son gland quand Mathias m'arrêta.
- Attends, ne soit pas si gourmande, je ne veux pas jouir tout de suite, je veux encore te donner du plaisir.
Il me prit par les épaules et me releva pour m'embrasser. Il m'allongea sur nos affaires étalées au sol. Il commença à me pénétrer doucement, je sentais son gland qui entrait dans mon intimité. Ses va-et-vient étaient doux et sensuels. Tout à coup, il accéléra ses mouvements, il était sauvage, il m'agrippait les hanches. Je gémissais de plaisir, des cris sortaient de ma bouche tellement il me donnait du plaisir.
Il me retourna à quatre pattes. Il me pénétra plus fort dans une levrette torride. J'étais en sueur, je sentais ses couilles qui cognaient le long de mes fesses, il continuait à m'agripper les hanches. Une de ses mains glissa sur mon clitoris, il jouait avec. Je balançais mon bassin pour suivre ses mouvements de plus en plus forts.
- T'arrêtes pas, plus fort, fais moi jouir encore.
Tout en lui disant ça, je gémissais de plus en plus fort, je venais de jouir pour la seconde fois mais cette fois-ci se fut plus intense. Je sentis même une larme qui roulait sur ma joue avec l'orgasme que je venais d'avoir. Tout à coup, il se retira de moi.
- Je vais jouir, finis-moi.
Je pris sa queue luisante de ma mouille en bouche, je le suçais vite et fort tout en malaxant ses couilles. Il poussa plusieurs gémissements quand il déversa 4 ou 5 longues giclées de sperme au fond de ma gorge.
On se rallongea au sol et on resta enlacés tous les deux, j'avais ma tête posée sur son torse pendant qu'il me caressait les cheveux. Notre respiration était encore rapide et saccadée. On se rhabilla et on décida de se revoir.
A bientôt pour la prochaine.
P.S. : au fait j'ai eu l'appartement !!!! (même si la visite n'a pas été terminée)
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