Fin De Soirée
Cétait il y a environ 16 ans, à cette époque je ne savais plus où jen étais. Mon job me pourrissait la vie (levé tôt le matin, rentré tard le soir), et ma femme au lieu de compatir et de mencourager, me faisait la gueule et en plus croyait même que je la trompais !
Un vendredi soir on décidait avec des collègues de sortir en boîte, je me souviens que cétait du coté de CERGY-PONTOISE. Il y avait longtemps que ça ne métais pas arrivé. Jappelais tout de même ma femme pour la prévenir.
Une fois entré, nous nous installâmes à une table accompagnés dune bouteille de whisky. De temps en temps nous allions sur la piste de danse puis nous retournions à notre place pour se remettre à discuter.
A un moment jai remarqué une fille qui dansait avec dautres mecs, elle ne paraissait pas farouche. De temps en temps elle regardait dans ma direction, et je lui souriais tout en soutenant mon regard. Elle devait avoir 24 ans environ, était blonde, yeux bleus, cheveux épais coupés au niveau de ses épaules, légèrement potelée mais très mignonne.
Finalement je décidais de rejoindre la piste de danse, en me tenant juste à coté delle. Je nattendais quune chose : la série de slows ! Ce qui ne sest pas fait attendre. Aussitôt je linvitais à danser, et accepta sans concession. Nous nous collâmes lun à lautre, et commençâmes la conversation habituelle. Son sourire était charmant, voire enivrant, ces yeux pétillaient de joie, elle était très gaie et très amusante. Je mis mon visage contre son cou, elle sentait très bon. Nous nous resserrions de plus en plus et je sentis (surement elle aussi) mon sexe gonfler et se durcir contre son pubis. Elle ne disait plus rien et se laissait aller à nos déhanchements au rythme de la musique. Jen avais oublié tout mes soucis. Je lembrassais dans le cou avec tendresse passant ma main derrière sa nuque. Nos regards se croisèrent un instant, et nous comprîmes tout de suite le désir de chacun.
La série de slows terminée, je linvitais à rejoindre notre table où je la présentais à mes collègues. Nous étions de coté presque face à face, je lui tenais les mains. Soudain elle prit conscience que je portais une alliance, et commença à sinquiéter. Elle avait peur davoir un jour des ennuis avec ma femme ; et si mes collègues racontaient tout ? Je la rassurais, et lui fit comprendre la discrétion de mes collègues, nayant pas un pour racheter lautre ! Je la senti tout de suite plus détendue. Son chemisier présentait un décolleté bien doté, et je lui passais mon index délicatement entre ses deux seins. Nous nous embrassions à nouveau, entre deux conversations à parler de tout et de rien. Mes collègues devaient être verts ! En même temps je prenais conscience de ce que jétais en train de faire. A quoi bon
Je relativisais en me disant que ma femme de son coté pourrait certainement, elle aussi avoir des choses à cacher. Je me sentais coupable mais à la fois dans un autre monde. Le temps sétait arrêté
Finalement je lui fis comprendre que je voulais quitter cet endroit, et je prétextais dabord une envie de prendre une douche avant de rentrer chez moi. Je lui demandais donc si je pouvais en prendre une chez elle, et elle me répondit quil ny avait aucun problème (Avait- elle comprit mes arrières pensées ?). Je saluais rapidement mes collègues en leur disant simplement que je rentrais, et nous quittâmes discrètement les lieux chacun de notre coté.
Nous nous retrouvâmes sur le parking pour récupérer notre voiture, et je la suivi jusquà son domicile. Son petit appartement dans une maison de ville était plutôt sympa. Je lui demandais la direction de la salle de bain, et je pris ma douche. Dans la précipitation je nai même pas pensé à lui demander si elle voulait quon la prenne ensemble. Cela na fait que de reporter léchéance ; je me suis rapidement rhabillé, et quelle nétais pas ma surprise lorsque jai entrouvert la porte en sortant de la salle de bain. Elle mattendait assise, en prenant une tasse de thé. Elle sétait changée et sétait mise en chemise de nuit. Elle posa son breuvage et se leva. Je mavançais jusquà elle et la prenais par la taille en faisant remonter mes main à hauteur de ses seins. Nous sommes embrassés tendrement. Ses lèvres douces, sa langue tiède et humide, commençaient à me faire bander. Je passais une derrière sa nuque pour la caresser, elle fit de même. Je senti alors son autre main se plaquer sur mon jean au niveau de mon sexe, comme si elle voulait sassurer que tout allait bien.
Jentrepris alors de faire glisser sa chemise de nuit sur ses épaules. Je découvris enfin une superbe poitrine. Aussitôt je mis à lui lécher le bout de ses seins, en aspirant chacun leur tour ses petit tétons, en passant de lun à lautre. Elle laissa tomber sa chemise de nuit, et saccroupi devant moi son visage à hauteur de mon bas ventre. Mon sexe était tendu au possible. Délicatement elle déboucla ma ceinture, enleva le bouton tout en malaxant ma bosse, fit glisser la fermeture éclair, et ses deux mains sur mes fesse firent descendre mon jean. Ces deux mêmes mains plongèrent dan mon slip, je sentis un instant ses doigts effleurer mon sexe. Mon slip glissa le long de mes jambes. Elle sarrêta un instant, fixant mon membre gonflé à bloc, puis me lança un regard avec un sourire espiègle. Puis elle reprit sa concentration sur ma tige et déposa un peu de salive du bout de sa langue sur la base de mon gland et commença à létaler en lenveloppant petit à petit.
Je sentais la sève monter de plus en plus. Je lui pris les bras pour lobliger à se redresser, et je la dirigeais vers le lit où elle sallongea sur le dos. Je me mis à genoux et mes mains derrière ses jambes les écarter. Je me retrouvais face à face avec son minou, que je contemplais un instant. Puis je commençais à la lécher timidement en profitant de son odeur de femme. Je salivais de plus sur sa chatte déjà trempée et je mélangeais avec délectation nos deux sécrétions. De temps en temps je descendais plus bas pour ne pas épargner sur son petit trou. Ma langue alternait entre les titillements sur son petit bouton et les pénétrations, et de mes lèvres je pinçais et aspirais sa vulve (jadore ça). Elle commençait à tressaillir, Je la sentais se cambrer, elle gémissait la tête en arrière les yeux fermés, elle ne me regardait plus...Je me suis relevé et je me suis mis à genoux sur le lit. Je continuais à linonder de baiser sur son ventre en descendant et je repris mon nettoyage en règle. Elle a tout de suite compris. Elle posa une main sur mes fesses pour les attirer à elle. Dans la manuvre me pris le sexe par la main, et commença à me sucer mais dune façon plus vigoureuse que la fois précédente. Je râlais de bonheur.
Au réveil nous avons remis ça. Depuis le début de nos ébats, notre conversation na pas été longue. Mais quel bonheur. Son sourire et ses yeux parlaient deux même.
Mais il fallait que je rentre. A grand regret je me suis rhabillée. Elle remit sa chemise de nuit et maccompagna sur le perron ou elle me roula une pelle dune grande tendresse et me regarda tristement avec un sourire. Je luis dis que javais passé un moment magnifique et elle me répondit quelle aussi. Un peu plus loin je me suis retourné, elle était toujours là. Je pense souvent à elle et je ne regrette rien. Je ne loublierai jamais.
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