Marjorie Dévoile Ses Arguments À Son Patron Au Restaurant Pour Négocier Son Augmentation.
René jubilait intérieurement. Lentrée de Marjorie dans le restaurant avait été accueillie dans un silence total. Elle était en retard de cinq petites minutes mais la silhouette toute en courbes de la jeune femme aurait justifié même une heure dattente.
La plupart des hommes présents navaient quune idée en tête. Se précipiter sur la jeune femme et lui faire payer linsolente beauté de ses courbes.
Le serveur posté à lentrée de létablissement en avait fermé malencontreusement la porte au nez dun couple qui pestait de rage dans lindifférence générale, ledit serveur ainsi que tous ses collègues ayant les yeux rivés sur la poitrine somptueuse qui se déplaçait dans la salle.
René se leva autant par galanterie que pour contempler le spectacle merveilleux des seins de rêve de la jeune femme qui sasseyait sur la chaise quil lui avait tenue.
Il faut dire quà cinquante neuf ans il navait plus si souvent loccasion de contempler ce genre de spectacle. Marjorie avait quarante ans de moins que lui mais il se sentait des pulsions de jeune homme à chaque fois quil voyait son employée. Il ne regrettait pas davoir renouvelée cette jeune intérimaire à chacune de ses fins de contrat depuis un an. La jeune femme avait souvent sollicité une entrevue avec lui et il avait retardé léchéance, pensant mettre la pression sur la jeune femme et en espérant mettre toutes les chances de son côté.
Car si Marjorie souhaitait conclure un contrat à durée indéterminée ce quil souhait lui, cétait conclure avec elle ce soir mais pas pour le même genre de durée indéterminée
Il lui avait demandé de préparer ses meilleurs arguments pour lentrevue et le moins quon puisse dire cest quelle était effectivement venue avec des arguments convaincants.
Deux obus qui auraient convaincu tous les hommes présents dans la salle même si on leur avait éteint la lumière.
Pour lheure René essaya de se concentrer car en cet instant précis Marjorie aurait pu lui demander nimporte quoi.
En voyant le regard de son interlocuteur fixer son décolleté Marjorie comprit quelle avait pris un avantage certain dès le début.
- Bonjour monsieur, je vous remercie davoir accepté de me rencontrer. Mais il ne fallait pas minviter au restaurant !
Sil sétait écouté, René lui aurait bien dit quil aurait préféré linviter dans son lit et que le restaurant était un moindre mal pour elle mais il se raisonna.
- Cest tout à fait normal madame.
Le « madame « raisonnait dons son cerveau. Cest justement ce qui lavait contrarié durant tous ces mois où Marjorie avait sollicité une entrevue. Elle navait beau navoir que dix-neuf ans elle était déjà mariée et René avait du mal à se faire à lidée. Marjorie lui sourit :
- Vous savez vous pouvez mappeler Marjorie !
Ces mots raisonnèrent comme un appel au sexe dans son esprit. Dailleurs ce soir tout était un appel au sexe chez Marjorie : sa robe pourpre au décolleté vertigineux et qui mettait en valeur sa croupe mais aussi son sourire et ses yeux de biche.
- Daccord Marjorie mais à une condition. Que vous mappeliez René.
- Daccord René, répondit Marjorie en souriant.
- Alors je vous écoute Marjorie. Quels sont ces fameux arguments dont vous me parliez au téléphone ?
A ces mots Marjorie se pencha en avant vers son interlocuteur, offrant une vue imprenable sur son incroyable poitrine qui menaçait de sortir de son écrin de pourpre. Les rondeurs qui tendaient le tissu pourpre ne changèrent pas de forme quand elle se pencha, signe dune fermeté à toute épreuve. Y compris et surtout à celle que René rêvait de lui faire subir avec la chose qui commençait à se tendre dans son pantalon. Si René hésitait depuis le début du repas entre ses lèvres et ses seins, là pour le coup il nhésitait plus
Le serveur non plus qui à la vue du décolleté plongeant offert par Marjorie versa sur sa robe quelques gouttes du grand cru que René avait commandé.
- Excusez-moi madame, lança le serveur en rougissant.
Trop occupé à fantasmer sur le même décolleté que le serveur René ne se mit même pas en colère.
- Il ne faut pas lui en vouloir Marjorie, je crois quil avait les pensées absorbées. Tout comme moi dailleurs
René mourait denvie de lui dire quil rêvait de lui faire absorber quelque chose à son tour mais il se retint.
- Je dois mabsenter quelques instants. Je vais me nettoyer.
Marjorie se rendit aux toilettes et avait commencé à passer du savon sur la tâche quand la porte souvrit sur une apparition attendue mais pas voulue. René venait de la rejoindre dans les toilettes et avait refermé le verrou de la porte derrière lui.
- Quest-ce que çà veut dire monsieur ? demanda Marjorie inquiète de ce quelle lisait dans le regard de son patron.
- Tu ne dis plus René ? Remarque je te comprends. Dans quelques instants tu ne diras plus rien du tout chère Marjorie. Tu auras la bouche bien trop occupée pour cela !
Il sapprocha delle et la plaqua dos contre le lavabo. Puis il se pencha et lembrassa de toutes ses lèvres. Marjorie tenta de résister mollement mais fondit en sentant le désir prendre forme dans le pantalon de son patron. Après tout elle savait à quoi elle sexposait en acceptant son invitation. Et puis elle ne craignait pas grand-chose. Il avait quarante ans de plus quelle. Au mieux elle le soulagerait entre ses seins. Après tout il les avait fixés toute la soirée comme sil avait été hypnotisé par les globes ronds et fermes. Au pire elle le soulagerait entre ses lèvres. Son honneur et celui de son mari nen souffriraient pas trop. Et puis elle avait besoin de ce job. Jeune mariée elle débutait dans la vie mais avait de grandes ambitions. Des ambitions pour lesquelles elle avait été bien aidée jusquà présent par les arguments dont elle avait été dotée. Des arguments que son patron était en train de pétrir à pleines mains tout en continuant de lembrasser goulûment.
Les seins palpitants et fermes quil pétrissait à pleines mains laissaient présager de biens meilleures dispositions chez Marjorie. La jeune femme ne lui avait pas menti. Elle était effectivement venue ce soir pour lui présenter ses meilleurs arguments en vue de son embauche.
- A toi Marjorie. Quels sont ces arguments qui pourraient bien minfluencer ?
Marjorie se libéra de létreinte de son patron et sagenouilla devant lui. Elle le fixa avec ses yeux bleus tout en descendant le zip de son pantalon. Elle glissa sa main à lintérieur de son slip et sourit au contact de ce qui semblait être une saucisse chaude. Elle sortit le sexe encore mou et se pencha. Le contact de son sexe encore mou avec les lèvres de Marjorie fit comme une décharge électrique dans la colonne vertébrale de René. Marjorie sentit le membre se durcir peu à peu et bientôt elle eut contre ses lèvres le contact dun gland qui navait rien à envier à celui de son mari ou des jeunes amants quelle a connu avant son mariage. Intriguée mais flattée dinspirer autant de désir chez un homme aussi âgé Marjorie écarta ses lèvres et engloutit le sexe de son patron qui ferma les yeux sous la caresse.
- Alors René ? pas envie de te plonger dans mes arguments ?
René ferma les yeux en sentant les deux globes soyeux et fermes se refermer autour de son sexe.
- Petite garce !
- Je le prends comme un compliment
Marjorie serra très fort ses seins lun contre lautre autour du sexe raide de désir de René. Tant et si bien que le sexagénaire a bien cru éjaculer immédiatement sous lincroyable sensation. Il dut se concentrer de toutes ses forces pour résister à lenvie de se dégager et de retourner la jeune femme contre le lavabo pour lui faire payer son impudence. Il avait tout de suite compris que Marjorie comptait le soulager entre ses seins ou ses lèvres. Mais ce que la jeune femme navait pas envisagé, cest quen plus davoir été généreusement doté par la nature René avait décidé de donner un coup de pouce à cette nature. Les comprimés quil avait pris avant le repas commençaient à agir et Marjorie devait commencer à sinterroger sur lextraordinaire résistance de cet homme de quarante ans son aîné
En effet elle lavait sucé dix bonnes minutes et cela faisait maintenant près de dix minutes supplémentaires quelle le masturbait entre ses seins. Dhabitude avec son mari elle sarrêtait avant car malgré sa vigueur et son jeune âge il arrivait parfois audit mari de ne pas résister longtemps aux préliminaires mammaires de sa ravissante épouse. Elle avait bien connu plus jeune un garçon qui résistait quinze minutes entre ses seins mais il était bien au moins trois fois moins âgé que celui qui résistait ce soir entre ses seins
Au début Marjorie sourit en songeant à la comparaison mais son sourire sestompa en poussant la comparaison plus loin. Elle se souvint que si le garçon en question résistait longtemps entre ses seins il éjaculait également comme une fontaine et elle avait encore en mémoire les jets violents et interminables qui lui collaient à chaque fois le cou et les seins. Une vision quelle ne voulait pas voir devenir réalité avec le sexagénaire qui nen finissait plus daller et venir vigoureusement entre ses seins. Comme sil avait lu dans ses pensées, René se dégagea des seins somptueux de Marjorie. Celle-ci dabord soulagée sen offusqua ensuite.
- Mes arguments ne vous plaisent pas ?
Tout en se masturbant René sapprocha du visage de Marjorie levé vers lui.
- Si ils me plaisent mais avant je voulais te dire quelque chose !
- Quoi ?
- Çà !
René éjacula à grands jets qui se perdirent sur le visage de Marjorie. La jeune femme aussi surprise par la soudaineté des jets que par leur violence et leur abondance ne sétait pas méfiée. Au moment de léjaculation massive de René elle lui tendait son visage, lèvres écartées sur un sourire éclatant et les yeux grands ouverts. Du coup le résulta final était bien au-delà des espérances de René. Le visage de Marjorie était maculé dépais filaments blancs qui lui collait ses magnifiques yeux et qui obstruaient lentrée de sa bouche. Elle en avait les dents et les lèvres collées. Le spectacle redonna de la vigueur à René.
- Tourne-toi ma petite Marjo !
Abasourdie par la violence et labondance de léjaculation de son patron la jeune femme ne protesta pas quand il la retourna dautorité contre le lavabo. René releva la robe pourpre de Marjorie sur son dos et descendit son slip à ses pieds, dénudant une superbe croupe fine qui contrastait avec sa poitrine généreuse.
- Superbe ! ricana-t-il en contemplant dans le miroir le visage maculé de blanc de Marjorie. Maintenant je veux étudier tes arguments de manière plus approfondie si tu vois ce que je veux dire ma belle
Marjorie se rebella quand elle sentit le gland de son patron se présenter à lentrée de ses reins.
- Non ! Non !
Pour toute réponse il agrippa les seins somptueux par en dessous et les empoigna à pleines mains, les malaxant comme un ado en rut. Puis dun coup sec il força lentrée des reins de Marjorie, arrachant à la jeune femme des cris étouffés par lépaisseur du sperme quelle commençait à déglutir, le liquide blanc et visqueux de son patron accroché à ses dents et à ses lèvres sétant mélangé à sa salive quand elle a crié. Excité par le contact des seins fermes quil tenait à pleines mains René senfonça au maximum entre les fesses de Marjorie, son gland heurtant le fond de ses reins.
- Quest-ce que vous faites ? demanda Marjorie inquiète de la tournure des évènements.
- Cest pourtant évident ma petite Marjo ! jexamine tes arguments à fond ! ou plutôt au fond devrais-je dire.
Marjorie sentait le souffle de son patron dans son cou. Ce dernier ahanait comme un âne et la comparaison ne sarrêtait pas là ! Il était monté comme un âne. Elle navait connu un membre aussi imposant. Elle aurait préféré quil éjacule autant de fois quil voulait sur son visage ou même ses seins plutôt que davoir à le subir dans les reins. Mais il était trop tard. Elle était prise à son propre piège. Elle avait voulu allumer son patron. Elle y était parvenu. Mais le problème cest que maintenant elle ne savait plus comment léteindre !
Rien ne semblait pouvoir arrêter la cavalcade de cet homme qui la sodomisait à grands coups de reins les mains crispées sur ses seins. Soudain Marjorie sentit le pieu de chair palpiter dans son étroit conduit. La respiration de son patron et ses coups de reins étaient de plus en plus rapides. Elle ne sentait plus ses reins tellement le membre imposant lavait forée comme un puits de pétrole. Les mains se crispèrent sur ses seins et son patron lui mordit lépaule en râlant.
- Aaaaaaaaaaaaaarrggghhh ! çà y est je crois que tu las la place
Marjorie sentit ses reins se remplir du liquide épais et chaud qui lenvahissait au plus profond de son intimité. Marjorie se regarda dans le miroir. Le blanc du sperme de son patron avait laissé la place à son rimmel qui coulait sous la violence de ses assauts par derrière.
- Oh monsieur !
- On avait dit que tu ne mappellerais plus monsieur ! et puis avec tout ce que je tai vidé sur ton joli visage et au fond de tes reins je crois que ça crée des liens dintimité non ?
Marjorie se retourna dos contre le lavabo. La vision des seins en obus redonna à nouveau de la vigueur à René. Entre ses aptitudes naturelles et les comprimés il nen revenait pas. Il se sentait capable dhonorer Marjorie encore une fois. La jeune femme le sentit et saffola.
- Non René on avait dit que cétait fini !
- Ce sera fini quand ce sera vidé. Entièrement vidé si tu vois ce que je veux dire. Et puis bon penses-y bien. Tu as la place. Ce qui va se passer maintenant cest du bonus pour toi. Tu pourras me demander ce que tu veux dans la limite du raisonnable bien entendu.
Marjorie ne dit rien et laissa son patron saisir à nouveau ses seins à pleines mains. Résignée mais avec une idée en tête elle glissa ses mains entre leurs deux corps et saisit le sexe encore raide de désir. Elle le masturba énergiquement jusquà tenir à nouveau entre ses doigts un membre dur comme de la pierre.
Elle se laissa faire quand il la fit sasseoir sur le rebord du lavabo. Puis il plaça les jambes de Marjorie au dessus de ses épaules et la pénétra dun coup sec dans le ventre. Marjorie manqua défaillir en sentant limposante colonne de chair envahir son ventre. Elle avait beau lavoir subi dans la bouche et dans les reins elle ressentait quelque chose détrange pour la première fois depuis que son patron avait refermé la porte des toilettes derrière lui. Une sensation de plénitude. René ressentit la sensation de Marjorie et profita quelle relâcha les muscles de son ventre pour lembrocher à fond. Incroyable sensation du collégien qui découvre les joies de lamour , il senfonça au maximum dans le ventre de Marjorie et se mit à la culbuter à une cadence infernale, mordillant les seins qui gigotaient sous la violence de ses coups de boutoirs. Cette fois-ci Marjorie accompagna les râles deffort de René avec ses propres gémissements de bonheur à elle. Elle en eut presque honte quand pour la première fois de la soirée elle se mit à espérer que le pieu de chair qui lui forait le ventre puisse le faire encore longtemps. René aurait bien voulu lui offrir ce plaisir comme pour lui dailleurs mais comme il ne voulait pas prendre le risque de vider sa semence dans le ventre offert de Marjorie il se dégagea et força la jeune femme à sagenouiller une dernière fois.
- Non pas le visage cette fois !
- Pas cette fois ma belle ! rassures-toi.
Il plaça son sexe gorgé de désir entre les seins de Marjorie et les pressa lun contre lautre. La jeune femme fixa son regard tout le temps quil se masturba énergiquement entre ses seins, flattée davoir été prise par un amant dune telle fougue et dune telle résistance en dépit de son âge.
- AAaaaarrrggggghhh ! tu vois bien que je les aime tes arguments ! lâcha-t-il en inondant le cou et les seins de Marjorie.
- Merci ! ajouta-t-il en secouant son sexe sur ses seins pour y déposer ses dernières gouttes de sperme.
- Pourquoi merci ?
- Parce que jai envie darroser tes seins depuis le premier jour où je tai vu dans mon bureau. Cette fois-ci je te le confirme. Tu las ta place. Et je dirais même que je sais où exactement dans lentreprise.
- Dans votre bureau ?
- Non ! dessous
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