Enculé Par Mon Beau-Père
Je mappelle David,jai dix-sept ans. Depuis la mort de mes parents, je vis avec ma sur. Un an après mon arrivée, elle a divorcé. Elle a surpris son mari, nu, dans ma chambre. Ça a commencé dès mon arrivée. Pour me montrer ma chambre ou la salle de bains, il me tapotait les fesses. Ca ne me dérangeait pas tellement jétais habitué. Les voisins et les amis de mes parents le faisaient tous. A lécole, les filles se rassemblaient pour me coincer et toucher mes fesses. Plus tard, les garçons le feront aussi. Je ne sais pas pourquoi mon cul est si attirant.
Une nuit, il est venu dans ma chambre pour, parait-il, arranger mes couvertures. Il en a profité pour caresser mes fesses. Ca sest reproduit plusieurs fois. Après cela, il est venu en slip et comme je ne disais rien à ma sur, il a fini par venir dabord sans slip, le sexe en érection, puis, tout nu.
Ma sur sest remariée lannée dernière avec Mario. Je suis en conflit perpétuel avec lui. Il mimpose des contraintes dans le seul but de me dominer et de mhumilier. Par exemple, il me demande tout le temps si jai une capote sur moi. Il veut savoir si jai une copine, si jai déjà couché avec une fille
Ma sur ne cesse de lui dire de me foutre la paix, de guerre lasse.
Maintenant, à dix-sept ans, je suis devenu un ado à problèmes, comme on dit. Je mesure 1,62 m, maigre comme un haricot vert avec un cul proéminent, ce qui fait rire et attire les obsédés sexuels. Ce qui fait enrager Mario, cest la liberté que me laisse ma sur de faire ou daller où je veux. Je sais que par moment, il me suit dans la rue pour savoir ce que je fais.
Quelquefois, je me rend dans un cinéma porno. Jy vais pour me faire caresser et sucer la bite.
Jy ai pris goût à lécole. Jai déjà dit que les autres s aimaient caresser mes fesses. Aux alentours de mes quinze ans, jétais en train de pisser dans les urinoirs quand un autre élève me rejoint. Il sinstalla à côté de moi et je le vis qui regardait ma bite.
Quand je vais dans ce cinéma, je nattends pas longtemps. La forme de mon cul attire les regards et les mains. Quelques minutes suffisent pour quon vienne le palper ou le caresser. Jai même un habitué.
Il sait ce que jaime. Je me poste au fond de la salle, debout derrière les fauteuils. Il se met à côté de moi comme si cétait la première fois. Il frôle à peine mes fesses et après deux ou trois fois, il appuie sa caresse. Puis, il passe derrière moi et colle son pubis contre mon cul. Je sens sa bite raide chercher ma raie. Puis sa main sabat sur ma bite et cherche la fermeture. Il la fait glisser et sort ma queue. Il repasse devant moi, sassied et prend ma bite dans sa bouche. Une fois bien mouillée, il défait ma ceinture, laisse tomber mon pantalon et fait glisser mon slip à mi-cuisses. Alors, il pose ses mains sur mes fesses et imprime à mes hanches, un mouvement de va-et-vient entre ses lèvres. Quand jai joui, il crache ma semence à terre, se lève et sen va.
Ce jour, Mario ma suivi jusquau cinéma sans que je men aperçoive. Quelques minutes après avoir gagné ma place habituelle au fond de la salle, je le vois surgir devant moi.
- Quest-ce que tu fais là ? Chuchota-t-il.
- Je viens voir le film !
- Tu te fous de ma gueule. Pourquoi tu nes pas assis ? Ah ! Mais je sais pourquoi tu viens
.Tu viens te faire sucer
.Ou
.cest toi qui suces
? Au fait, ta sur sait que tu viens ici ?
- Tu vas pas lui dire, hein ? Demandais-je en gémissant.
- Ca dépend
.Enlève ta chemise !
- Maintenant, tes chaussures.
- Le pantalon, le slip !
Je suis nu. Les autres clients du cinéma sagglutinaient autour de nous. Mario mattira vers lui et me fit mettre à genoux. Il sortit sa bite.
- Suce-moi ! Ordonna-t-il.
Juste avant de jouir dans ma bouche, il me dit de recracher son sperme dans ma main et de me lubrifier le cul avec.
- Je vais tenculer devant tout le monde et après, je resterai pour te voir te laisser faire par les autres qui sont là.
Il me fit me relever et poser les mains sur le dossier du fauteuil devant moi. Me prenant par les hanches, il me tira vers larrière. Dans cette position, javais les fesses en lair.
- Allez ! Dit-il. Mouilles-toi !
Je passai ma main pleine de son sperme entre mes jambes et en tartinai mon trou du cul.
Il plongea sa bite toute entière et dun seul coup au fond de mon cul. Quand il eut fini et que son sperme coula dans mon cul, il invita les autres à profiter de laubaine. Pendant que les autres me prenaient le cul, il se pencha et murmura à mon oreille :
- Si tu dis quelque chose à ta sur, je te jure que je tencule devant elle.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!