Chantal Et Mon Pote Complices (7 Et Fin)
Les jours qui suivirent sa dernière nuit au musée, Chantal paraissait renfermée, peu bavarde. Elle mavait bien tout raconté et cela mavait encore une fois excité. Après cette dernière confession, jétais encore plus amoureux delle. Elle aussi me donnait des preuves damour mais je sentais bien que limage de son amant ne la quittait pas. A chaque fois que la sonnerie du téléphone résonnait, elle sursautait et courrait décrocher.
René resta silencieux plusieurs semaines et lentement Chantal reprenait des couleurs. Pour ma part jétais partagé entre la garder pour moi seul et la livrer aux caprices pervers de mon pote.
A plusieurs occasions je me masturbais en repensant à ce quelle mavait raconté. Souvent je lui demande des détails mais elle se refuse à parler.
- Je nai plus envie den reparler, je ten prie cest du passé.
Moi je voyais bien que ces souvenirs la tenaillaient.
Puis un jour en rentrant, elle mannonce demblée :
- Il me demande de venir demain soir au musée. Il veut que je m'habille avec une simple jupe coton et un fin pull en cashmere léger.
Je devine de suite quil sagit de René.
- Ce n'est pas dans cette tenue que tu as eu cette aventure avec ton jeune artiste que tu as revu à ta dernière visite ?
- Oui et il me la bien précisé : « comme la première fois au musée »
- pourquoi ? Et comment sait-il comment tu étais habillée ce jour là ?
- Je ne sais pas. Il a été très secret. Il ma seulement précisé que jallais avoir des surprises et que mon éducation de soumission allait éteindre un niveau de plus.
- Que veut-il que tu mettes en dessous ? En disant ces simples mots je suis pris dune violente érection. Tout va très vite, les images se bousculent dans ma tête. Je suis à deux doigts de me délivrer dans mon pantalon sans me toucher.
- Aux pieds mes petits escarpins mi talons, les jambes nues, un slip en coton blanc et pas de soutien gorge.
En disant ces mots je vois bien que ses yeux silluminent. Elle retourne sous linfluence de son gourou. Je la sens comme envoûtée, sans plus aucune volonté de résistance.
- Tu veux que je vienne avec toi ?
- Si tu veux. Puis après quelques secondes, elle ajoute :
- Il faut que je demande à René sil veut bien !
Là je crois mourir, elle va lui demander lautorisation que je puisse laccompagner. La jalousie me foudroie. Lâche, je lui réponds :
- Ok comme tu voudras.
On sest couchés sans rien dire de plus. Je la sentais absente et nerveuse ;
Le lendemain de toute la journée je nai pu penser à autre chose. Jattendais quelle mappelle pour me dire ce quelle faisait et si je pouvais venir avec elle au musée.
Puis ce carton dinvitation mest revenu à lesprit. Je le cherchais pour confirmer ce souvenir : Et bien oui, ce soir là il y avait un vernissage au musée !
Jy étais déjà allé lan denier. Il y a plein de monde à tous les étages.
Vers 17 heures, elle mappelle :
- René veut bien que tu viennes mais moi jaimerais y aller seule.
- Daccord dis-je en lui cachant ce que je savais de la soirée. De plus je savais que je pourrais y aller et rester invisible parmi tous les invités pour voir.
- Sois prudente et promets moi de tout me raconter dis-je meurtri.
- Bien sûr, ne tinquiète pas. Je taime.
Quand jarrive au musée vers 20 heures, la nuit est tombée. Des gens sont sur le trottoir. Jai du mal à approcher, tant il y a de monde. Chacun un verre à la main on discute, on rit.
Je la cherche, personne au rais de chaussée ni au premier ; je ne regarde aucune estampe, je suis tout à repérer ma femme. Je minquiète de plus en plus et si elle mavait menti pour sen aller avec René ? Cette idée me rend fou. Je coure au dernier étage et là je la vois et je comprends tout.
Au fond de la pièce, Chantal est attachée, les mains liées à une corde suspendue, étirée, les pieds à peine à toucher le sol.
René lexpose en un tableau vivant.
Autour delle une masse de voyeurs admirent la finesse de ses jambes, regardent le profil dun sein sous le mince tissu de son pull.
Elle est belle, exposée au regard des visiteurs qui ne sattendent pas à voir ce tableau si sexy. Chantal respire assez fort, montre son plaisir à cette exhibition.
Petit à petit le cercle autour delle se resserre. On veut la voir.
Soudain, une femme, botte de cuir et vêtements virils, se détache du groupe et s approche. Elle tourne autour de Chantal, sarrête derrière elle, passe ses mains sur son ventre et lentement remonte le pull pour exhiber les seins blancs de la prisonnière.
Elle les prend à pleine main et joue avec les bouts. Sur son visage, un sourire sadique ne cache pas le plaisir quelle prend à jouer avec cette femme livrée au public.
Un homme sapproche de face et se met à lui lécher le visage, les lèvres et force enfin sa bouche pour lui voler un baiser
En même temps il prend la jupe sous les reins et la remonte découvrant la petite culotte blanche. Ses mains redescendent entrainant le fin vêtement pour le laisser à mi cuisses. On sait sous la jupe qui est retombée que les fesses et le sexe maintenant sont nus. Il laisse la place à un autre qui relève la jupe, laccroche à la ceinture exhibant les fesses et le triangle du pubis.
Chacun compose son tableau et Chantal se laisse faire.
Une autre femme romantique se plante devant elle, lui enlève sn bandeau et doucement dépose un baiser chaste sur ses lèvres. Elle lui prend le bas du pull, le remonte et le place entre les dents de Chantal pour le maintenir relevé.
Beaucoup prennent des photos.
Jupe relevée, pull entre le dents, culotte à mi cuisses Chantal est terriblement belle. Des hommes sapprochent et comment à la caresser, les fesses, les seins, les cuisses, les bras chacun veut toucher un morceau de sa peau si douce et sans défauts. Chantal en perte déquilibre se laisse toucher, tourne sur elle même. Une main se glisse entre ses fesses et on devine quun doigt cherche à pénétrer son intimité. Elle serre les fesses, la main insiste et vaincue, elle souvre. Une autre femme devant, lembrasse pleine bouche tandis quelle la doigte avec violence.
Ma femme est prise de mille mains et commence à jouir.
Je vois soudain René qui assiste au spectacle avec un sourire de satisfaction. Il sapproche pour écarter un peu les violeurs car on frise lémeute chacun voulant toucher ce corps offert, livré en pâture.
Il lembrasse tendrement sur la bouche, elle le supplie de rester, mais il lui remet le bandeau sur les yeux.
Lentement il décroche la corde qui tient Chantal étirée. Il lassoit sur une chaise. Il lui attache les bras dans son dos, les deux pieds aux pieds de la chaise, lécartelant. Il lui roule la jupe sur le ventre découvrant sexe et cuisse, lui roule le pull sur les épaules dénudant ses seins. Puis il séloigne la laissant dans cette position de soumission aux regards avides des visiteurs. Elle reste ainsi une bonne partie de la soirée.
Et cest à nouveau la ronde des femmes, des hommes qui viennent la toucher, la caresser.
Puis il revient, la lève de sa chaise et la couche sur une sorte de billot de cuir, les bras ballants devant et la croupe offerte. Passant derrière elle, il lui écarte les fesses pour ouvrir sa raie et laisser paraître son petit trou quil enduit de vaseline avant dy introduire entièrement un gode.
Une fois ainsi exposée, René séloigne à nouveau laissant sa maîtresse exposée aux regards des visiteurs.
Un homme sapproche derrière elle et la branle dun doigt dans son vagin pour la faire jouir une autre fois. Chantal est très bandant ainsi courbée en deux offrant ses fesses violées par le gode aux jeux de visiteurs. Dautres sapprochent pour la peloter et René est obligé dintervenir à nouveau pour éviter le viol collectif.
Il se place devant elle et sans vergogne, il ouvre sa braguette et présente sa bite devant la bouche de la prisonnière qui souvre largement pour sucer ce membre quelle a dû reconnaître comme celui de son amant.
Très excité, il se vide rapidement dans la bouche de ma femme qui avale dun trait toute la semence du mâle.
Un vieux sest glissé derrière, la bite à lair et dun coup il la plante dans le sexe ouvert devant lui et sans attendre entreprend de limer ce sexe pour à son tour se déverser en son ventre en poussant des cris de jouissance. Très vite un autre prend sa place avec une bite énorme. Quand il la pénètre sans douceur, il lui arrache une grimace de douleur. Mais très vite, elle accompagne les va et vient de la colonne de chair qui la pilonne. Elle pousse ses petits cris que je lui connais bien quand elle jouit. Après de longs moments, le jeune a le visage qui se crispe et à son tour il déverse sa semence dans le ventre de Chantal qui jouit en même temps que lui. Fatiguée, elle sétend sur le billot devant elle. René vient la délivrer et lemporte sur un divan à lécart et la couche pour lui laisser le temps de se reposer. La soirée se termine. Je mapproche de ma femme.
- Ca va ? Tu as été magnifique.
- Je veux renter, jen ai assez. Je ne veux plus le revoir. Il ne maime pas. Je ne laime plus.
Je la prends dans mes bras et sous le regard de tous ceux qui se sont amusés delle je la ramène dehors à la fraicheur de la nuit qui nous redonne des forces. Elle sendort dans la voiture. Nous ne devions jamais plus entendre parler de René.
Par contre cest moi qui maintenant allais profiter de cette initiation à la débauche que lui avait prodigué mon pote. Chantal allait savérer une sacrée salope pour le bonheur de son mari.
Je vous la montre si vous le demandez
AL
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