Un Copain De Régiment Dans Le Cul

Patrick recevait Raoul, un copain de régiment. Raoul est grand, brun, de petites moustaches. Je me suis aperçue de suite que je lui plaisais. Lui aussi était à mon goût, et Patrick, pas myope, a pris les devants. Le soir venu, il m’a demandé :
- Il te plaît mon copain, ma petite salope ? Tu aimerais bien t’envoyer en l’air avec lui ? Avoue que tu aimerais te le faire !
Je n’avais jamais menti à Patrick et j’ai répondu :
- Il n’est pas mal, ça ne doit pas être désagréable de se trouver dans ses bras.
- Et bien ma chérie, ce soir, fais toi une beauté et excite-le au maximum, il va craquer.
J’ai servi le dîner dans un chemisier transparent. Mes tétons érigés tendaient le tissu. Je portais une jupe fendue et extra-courte, un porte-jarretelles et bas ; un string noir sur ma peau blanche faisait contraste. J’avais pris le soin d’en faire déborder ma toison blonde. Raoul a demandé à Patrick :
- Comment as tu fait pour te dénicher une beauté pareille ? Cathy est la plus belle que je connaisses !
- Tu n’as pas tout vu ! Tu en resterais muet. Si tu veux, elle te montreras son corps, c’est vraiment un amour.
- Mais Patrick tu n’y penses pas ! je n’en te demande pas tant ! Si elle se dénude, tu vas être jaloux.
- Jaloux de quoi ? Ma petite salope se plaint que je ne lui suffis plus ; elle ne veut pas rester sur sa faim.
La braguette de Raoul était tendue à l’extrême, Patrick m’a fait signe d’honorer son vœu, ce qui m’a ravie. J’ai effeuillé mes vêtements un à un, puis je me suis rapprochée de Raoul, et je lui ai demandé de m’ôter mon string. Ma toison était à quelques centimètres de sa bouche. Il en bandait déjà , il humait mon odeur et ça me faisait mouiller énormément.
Patrick a sorti sa queue bandée comme un bout de fer. Jamais je ne lui avais vu une érection pareille. Je me suis penchée vers lui et j’ai pris sa queue en bouche. Dans cette position Raoul avait ma croupe à sa disposition.

Je n’ai pas attendu longtemps, des doigts m’ont fouillée, taquinant mon clitoris. Et très vite, j’ai senti une queue me flatter les fesses. Elle allait de mon clitoris érigé comme une petite verge, jusqu'à mon petit trou. Au début j’ai cru qu’il allait profiter de la situation pour m’enculer, mais il n’en fit rien et à mon grand regret, il s’est engagé dans la voie normale, sans difficulté vu ma mouille abondante.
Quand ses couilles ont butées sur mes fesses, je me suis sentie toute molle. Raoul me limait à grands coups, et j’ai du garder la bite de mon mari en bouche en guise de bâillon, car le salaud en avait une belle et ne me ménageait pas. Ils ont joui presque en même temps, mon mari dans ma bouche, son copain dans ma chatte.
Heureuse de cette innovation ( me sentir désirée, et baisée par deux queues à la fois était pour moi un régal), je me suis décidée à leur donner du plaisir en même temps. Je me suis appliquée à sucer leurs deux pafs simultanément ; quand ils ont bien bandé, ils m’ont reprise dans la même position, mais en échangeant leurs places. Mon mari m’a écartelé fesses, dégageant bien mon petit trou, a posé son gland dessus et a commencé à m'enculer. Il commentait son plaisir :
- Ça aussi elle aime la salope se faire enculer, elle adore ! Cathy est une véritable salope. Entends-la glousser, cette garce ! Heureusement que tu la bâillonnes bien avec ta queue, sinon elle gueulerait.
Le lendemain matin Raoul a demandé à Patrick la permission de m’enculer. Naturellement celle-ci lui fut accordée. Raoul a posé son gland sur mon cul, a et a réussi à rentrer. Bien que mon sphincter fut habitué, j’ai crié car il avait une pine nettement plus grosse que celle de Patrick.
- Doucement ! Tu vas me déchirer ! J’ai le cul en feu, tu m’ouvres trop, tu ne vas pas pouvoir me la mettre !
Patrick l’a encouragé :
- Continues ! Mets-la lui toute, elle peut supporter encore ! Pousse ! N’écoutes pas ses cris ! Quand tu lui auras cassé le cul une bonne fois, elle en redemandera !
J’ai déguste cette pénétration, mais tout n’a pas été fini pour moi, car lorsqu’il m’a eu tout mis, Patrick a présenté sa queue à l’entrée de mon vagin et, malgré les difficultés, est rentré aussi.
Jamais, je n’avais été aussi ouverte de la sorte, j’avais le cul en compote ! Ils m’ont besogné en même temps, si bien que j’ai joui par tous mes orifices.

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